Une critique virulente mais magnifiquement écrite du dernier film de Sofia Coppola, Marie-Antoinette.
Régalez-vous!
Sofia Coppola is the Veruca Salt of American filmmakers.
She's the privileged little girl in Charlie and the Chocolate Factory whose father, a nut tycoon, makes sure his daughter wins a golden ticket to the Willie Wonka factory by buying up countless Wonka bars, which his workers methodically unwrap till they find the prize.
If Coppola's 2004 Academy Award for best original screenplay for Lost in Translation was her golden ticket to big-budget filmmaking, Marie Antoinette is her prize, a $40 million tour through the lush and hallucinatory candy land of 18th-century France.
Of course, Roald Dahl's insufferable Veruca Salt was eventually seized by angry squirrels and hurled down a garbage chute. Will Coppola suffer a similar fate when Marie Antoinette opens this Friday?
Seul l’avenir nous dira si le public va se laisser séduire par ce « coming of age movie » de luxe ou non. Concernant le ticket d’or de Mme Coppola (son Oscar du meilleur scénario pour Lost in translation), ne trouvez-vous pas que tout était très bien dans ce film, SAUF le scénario? Les images sont superbes, les deux acteurs principaux justes et magnifiques, les décors superbes, la musique à propos, la réalisation sobre et efficace, etc. Même la prémisse est très alléchante. Mais il ne se passe rien! On dirait un court-métrage étiré sur 2 heures!! Deux solitudes se rencontrent et vivent une liaison platonique dans un hôtel japonais. 15 minutes, merci, bonsoir. Mais 2 heures??!! Meilleur scénario? Devant « The Barbarian Invasions », « Dirty Pretty Things » ou « In America »? Come on!! Expliquez-moi quelqu’un…