Comme vous le savez probablement, je signe cette semaine ma dernière chronique dans le journal VOIR après 20 ans de loyaux services. Je tire également le fil sur mon blogue, le temps de déménager dans un autre coin de la blogosphère… Je voudrais remercier Éric Taillefer et Mathieu Saint-Laurent pour leurs conseils, leurs encouragements et leur appui indéfectible. Si ce n'était d'eux, je n'aurais jamais duré aussi longtemps, car tenir un blogue est une aventure extrêmement exigeante (et parfois même éprouvante!)… Heureusement qu'ils étaient là quand j'avais une baisse d'énergie!!! A tous les lecteurs et lectrices qui m'ont écrit au cours des années, mille mercis. Vos réflexions intelligentes et vos remarques allumées me manqueront. J'aimerais particulièrement saluer mes "fidèles", comme Caroline Rodgers, Patrick Caza, Stéphane Lessard, Yves Bolduc, Jean Robert Bourdage, Johanne Veilleux et Hugo Pouliot qui m'ont brassé la cage à de nombreuses reprises. Vos critiques – et vos encouragements – m'ont été très utiles… J'espère vous relire tous bientôt.
Merci à toi aussi Richard pour nous avoir permis de s’exprimer sur ton blogue. Et bonne chance dans tes futurs projets. Malgré les divergences et les chicanes ce fût quand même un plaisir.
Je me demande lequel de toi ou ton acolyte de Franc-Tireur a obtenu la véritable promotion. Trève de plaisanteries car entre des photos de chiens écrassés et les exploits de Gui-Gui-Guillaume Latendresse, ça va bien prendre du contenu intelligent. Pour un gars qui a dénoncé plus d’une fois dans ce journal la convergence de PKP, va falloir que le gars se tienne tranquille si il veut obtenir les faveurs d’une pair de billets pour le Show de Star Académie. Je me demande, est-ce que Lise Payette travaille toujours au Journal de Montréal? (Ça promet pour le prochain party de nouelle!!!) La vrai promotion, c’est PKP qui l’a obtenu en t’engageant. Il s’assure qui tu ne le bitcheras plus sans que ça ne lui fasse vendre de la copie.
Adios!
Merci pour tes sujets intéressants. Il n’y avait pas de tabous sur ceux-ci… et je suis sûr qu’il y en aura pas au Journal de Montréal. Un Martineau tranquille ? Je n’y crois pas ! Bonne chance et à une prochaine !
En octobre 2004, vous écriviez ceci sur votre blogue :
« Et le milliard de dollars que la Caisse de dépôt a investi dans Quebecor, il vient d’où, vous pensez? De la tirelire de PKP? Il vient de nous tous, de vous, de moi. C’est NOTRE argent. PKP est un assisté social de luxe, c’est tout. Le fric qu’il pompe dans son empire est NOTRE fric. C’est grâce à NOTRE argent s’il peut vendre les beuglements de Wilfred dans ses magasins de disques, ses journaux à potins, ses sites Web, ses huit grands quotidiens urbains, ses 175 hebdos régionaux et ses 170 vidéoclubs. »
Aujourd’hui, vous faites partie de son club… Bon vent à vous !
Je compte bien suivre votre étoile. À bientôt dans une autre galaxie.
La convergence serait devenue un bienfait ? L’empire Quebecor un modèle de démocratie ? Faut bien gagner sa vie, hein !
Je ferai partie des moutons qui vous suivront. S’il nous reste encore quelques espaces de liberté, aussi bien s’en servir puisqu’on peut pas changer le système.
Bon succès !
Le dernier que j’aurais pensé qui se serait converti à la convergence, c’est toi. Pourras-tu conserver cette capacité à la « divergence » d’opinion ? Je nous le souhaite mais je ne serai probablement pas un de ceux qui pourra le constater. Bonne chance et que PKP veille sur toi.
Nous avons la preuve que l’argent achète n’importe qui, même martineau a dit oui pour avoir plus de dollars en poche. Nous aurions fait la même chose..
L’argent achète encore plus ceux qui écrivent, moi jamais, c’est eux que l’argent va chercher le plus rapidement. Nous avons tous une maison a payer et vouloir faire parti des grands un jour.
Bonne chance quand même. Tu sais maintenant pourquoi je trouve les journalistes amuseurs publiques.
Bonne Chance dans ta nouvelle job, vieille pantoufle!
j’suis content pour toi.
ça toujours été sur papier que tu m’as fait le plus triper
et je serais super heureux que ce changement te replogue et que tu nous ressortes des textes comme seulement Martineau peut le faire. Vraiment.
et ça peut rien qu’être bon pour le JdeM parce qu’à un moment donné ça fait beaucoup d’arbres coupés pour pas grand chose…
chiâle pour rien, ils les coupent pas pour moi.
Salut
All the Best, Man, all the Best.
Ce fut un plaisir de te lire et d’échanger. Je te souhaite de beaux et bons moments dans ta nouvelle position et tout le succès du monde. C’est la fin de ton passage à Voir (si on peut utiliser le terme « passage » étant donné ce que tu y représente et ce que tu y a investi) mais c’est aussi le début d’une autre belle aventure. Je suis très content pour toi. Et, comme tu m’y invite presque (:-)), il me fera plaisir d’aller gueuler et argumenter sur ton nouveau blogue!
Amicalement,
Stéphane
Je suis tres heureux de te voir arriver dans MON journal,comme dirait les jeunes ça va kicker des culs.Mais le depart de Pat me fait de la peine parce que je le sentais tres proche des lecteurs, pis ça ce n est pas donné
a tout les journalistes.Heureusement je vais pouvoir le lire sur la toile du coté obscur.Bonne chance et de ce pas je vais lire ton premier article dans le jdm.
Bonne route cher Richard ! Et ce n’est pas parce que tu t’en vas à la grosse Presse que tu dois être moins mordant !
Bonjour M. Martineau,
Simplement pour vous dire comment j’adore vos articles; surtout celui où vous parler (pardon écrivez) combien il est difficile de tout faire dans nos vies trop trépidantes.
Moi-même père de famille à temps plein, musicien et chef d’entreprise; vois très difficile de tout faire. Vous m’avez fait un grand bien en disant que, finalement, «foutez-nous la paix, nous faisons de notre mieux». Votre article m’a réconcilié avec ce que je fais toujours : Mon mieux ! Et, je continuerai !!
Merci encore et continuez à faire de votre mieux 😉
Ralph Côté
Directeur adjoint et musicien
École de danse Salsa Sans Frontières
65DANSE (653.2673)
http://www.salsasansfrontieres.com
Salut Martineau,
Je regretterai ce blogue, car il était très stimulant.
Tes sujets étaient généralement bien amenés, et tantôt pour, tantôt contre, je m’amusais à y prendre part, ou à reluquer les commentaires des autres intervenants.
Reste que je me demande comment toi, un libre penseur un peu rebelle, va tirer son épingle du jeu dans l’univers bassement mercantile et culturellement bas de gamme de la grande famille de Québécor.
Merci pour ces moments, les bons comme les moches, et bonne chance.
Ça chiale , ça chiale , mais ça finit toujours par rentrer dans les rangs . À grands coups de pied ou de piastres dans l’cul …
Penche-toi par en avant mon Richard et fait comme les autres, fait comme tout l’monde …
Take The Money And Go, Johnny Go Ho Ho
Merci Richard !
Avec ces contrats à TQS et maintenant au journal de mourial, vous voilà rendu dans les hautes sphères de la culture et du journalisme d’opinion! N’oubliez pas d’ajouter des fautes à vos textes: c’est bien vu dans ce torchon… Allez-vous fournir vous même le K-Y?
bon richard comme dans le film Harry Potter et l’Ordre du Phénix votre blog vas revenir a la vie au journal de montreal merci je vous envois le commentaire de bruneau de radio canada du 13 nov 06 qui fait le commentaire sur son blog
Le lundi 13 novembre 2006
23 h 29 – Carnet web
Fermeture des blogues de Lagacé et Martineau
Deux blogues importants viennent de cesser leur publication et dans un cas, de disparaître carrément de la blogosphère québécoise. Je parle ici des carnets respectifs des journalistes Patrick Lagacé et Richard Martineau. Le premier quitte le Journal de Montréal pour aller écrire chez La Presse et le second, quitte l’hebdo Voir pour aller chroniquer dans le Journal de Montréal.
Dans les deux cas, les éditeurs qui les employaient ont coupé l’accès des carnetiers à leur blogue, ce qui est normal, mais dans le cas de Lagacé, Canoë a tout simplement fait disparaître le blogue. Même si le blogue de Lagacé était un des blogues les plus influents du monde francophone, selon une étude de la maison Edelman.
Ces deux fermetures et surtout cette première disparition soulèvent chez moi un questionnement sur la pérennité du blogue. Les chroniques sur papier des Lagacé et Martineau pourront toujours être retrouvées dans des archives quelque part. Mais leurs propos et ceux de leurs lecteurs sur blogue, qu’est-ce qu’on en fait ? Devrait-il y avoir un dépôt légal pour les blogues ?
Car c’est une partie de notre patrimoine numérique qui disparaît avec la décision de Canoë de faire disparaître le blogue de Lagacé. Et il ne serait pas surprenant de voir disparaître le carnet de Martineau chez Voir. S’il y a une bonne nouvelle dans cette histoire-là, c’est que les deux Francs-Tireurs disent vouloir reprendre du clavier. Martineau d’ici deux semaines chez Canoë et Lagacé en décembre chez Gesca.
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9 commentaires
envoyer mercredi 15 nov 06
M. Martineau,
J’ai souvent ete plutot d’accord avec ce que tu ecris sauf quand ca touche le monde arabo-musulman ou la, des fois, pas toujours, tu deviens un « vulgaire polemiste » et non un « noble journaliste »…
C’etait un plaisir de te lire malgre les divergence d’opinions. Mais, n’est ce pas la l’interet des chroniques et des blogs.
Je te souhaite bonne chance dans tes projets. Sincerement…
Vous quittez le journal Voir ?
Maintenant je crois comprendre vos vitrioliques commentaires à propos de la religion (toutes confessions confondues) des derniers temps….
Prenez le temps de vous informer avant de lancer des informations qui ne font que propager des préjugés déjà assez largement véhiculés!
Vous avez manqué de sens journalistique à quelques reprises…
Bonne chance dans vos nouvelles fonctions!
Je trouve dommage le fait qu’il faudra dorénavent payer pour lire vos chroniques, mais c’est la vie!
J’ai hâte de voir votre passage à TLMEP!
Merci, pour votre interet a la chose publique,j’ai découvert par hasard votre style dans le journal voir , et depuis , j’ai beaucoup de plaisir a lire vos points de vue.
Il est tres difficile d’écrire, je m’en aperçois, lorsque je veux réagir a des commentaires. (fautes d’orthographes, style, et tant de choses).
Je tente de partager ce goût d’écrire avec mon fils cadet (15 ans) et j’ai le plaisir de vous annoncer qu’il se pique au jeu depuis.
Tout simplement merci, et au plaisir de vous lire ailleurs Mr Martineau.
Il y quelques années, lorsque vous avez écris:(…) « j’espère que les barbus (tous confondus) ont le sens le l’humour au Québec, parce qu’on va rigoler (…) ». Je l’avais trouvé très bonne… J’ai toujours trouvé que vous aviez un certain point de vue juste et ce, malgré les réactions que vous suscitiez. Bonne chance dans vos nouvelles fonctions, j’espère que vous continuerez à nous surprendre.
Salut Richard, et bonne chance dans l’Empire. Je n’aurai plus beaucoup l’occasion de te lire puisque je n’aime pas beaucoup la ligne éditoriale du JdM. Ça va quand même te faire drôle de te retrouver dans un univers séparatisse. Surtout quand tu vas croiser Madame Payette. Dis lui bonjour de ma part…
Allez, on se croisera ailleurs, c’est certain.
C est en lisant votre chronique aujourd hui que j ai appris votre départ
Ma seule raison qui me m incitait à regarder le magazine Voir chaque semaine c était pour prendre connaissance de vos points de vue
Ce que je trouve curieux c est que j ai 24 ans de plus que vous et je trouve que vous visez toujours dans le mille dans vos réflexions Je ne peux pas m imaginer que l éclairage que vous avez apportée soit la pleine noirceur pour les 24 ans plus jeune que vous
J espère que c est une farce cette raison ,mais si c était ce que vous pensez vraiment alors ça serait la première erreur de jugement que je vous aurai vu commettre depuis les nombreuses années ou j ai eu le privilège de vous lire
bonne chance
En fait de récupération d’éléments « pseudo subversifs », tu passeras à l’histoire cher Richard. Avec un peu de chance, les profs de Cégep te donneront en exemple de dégringolade journalistique. Tes fans pourront désormais fantasmer sur ta prochaine critique de Québécor.
Tu touches combien pour te faire couper les couilles?
C’est PKP qui doit rigoler…Je suis pas surpris remarques,depuis qque temps(des années?) tu te répètes inlassablement par manque de maturité intellectuelle, mais c’est toujours assez divertissant de voir une grande gueule se faire ramasser de la sorte, car c’est assez « royal » dans ton cas. Et que j’te récupère le Martineau toé. « Bienvenu au journal de Mourial, là où la réflexion est évacuée au profit d’une sauce blanche qui fait flic-floc. »
Au plaisir d’entendre ta nouvelle voix de soprano.
Ma routine médiatique est vraiment chamboulée. J’suis pas la seule à l’dire, mais mes jeudis ne seront plus jamais les mêmes. Finis ces moments où je lisais Ondes de choc en me bourrant la face, où je venais consulter votre blogue pour me changer les idées durant un travail chiant, où je m’émerveillais comme une enfant de pouvoir interagir avec un de mes journalistes préférés…
Mais bon. Je vais vous lire quand même, ailleurs.
Mon père est bien heureux; c’est la première fois qu’il vous lit, cette semaine. Il m’a dit que ça allait nous rapprocher.
Ben oui, pas du tout surprenante cette récupération! Il y a déjà quelques temps que les pseudos coups de gueule et vaguelettes de choc de Martineau dans VOIR, ou sur ce blogue, me semblaient quelque peu factices. En voici la preuve! Comme dirait l’autre, faut bien vivre! Au diable les scrupules : on a jadis craché sur l’empire Québécor, ben voyons, c’était pour rire! On jouait au matamore en faisant des gros HOU! pour épater la galerie, mais en cachette, on plaçait déjà ses pions dans la boite à PKP! It’s just a game, chose!
Les chroniques de Martineau : ben voyons, arrive en ville, chose! C’était juste du spectacle médiatique, du stand-up pas très comique, du brassage de m’lasse chip, du vitriol à quatre sous pour endormir les ceusses qui croient encore que la vérité, l’engagement, la rigueur intellectuelle et tout ce qui va avec, c’est chez nos patenteux montréalais de chroniques et d’édito qu’on les trouve. Tout le monde couche avec tout le monde dans ce milieu là, on fait semblant de se rôter une Mol’ ou une Bleue en pleine face, mais c’est rien que de la frime.
Martineau fait son saut de puce de VOIR chez PKP, Lagacé de PKP chez Desmarais: à quand Pétrovski chez ICI, Nuovo au Devoir, etc… ? La chaise musicale n’est pas bancale, désormais, on ne penche plus ni à gauche ni à droite : quelques billets verts suplémentaires, une assurance collective et un bon fond de pension stabilisent les humeurs des joueurs, modèrent leurs vélléités de se choquer pour vrai, et permettent aux PKP, Desmarais et leurs complices de continuer à faire tourner leur manège et à remplir leurs caisses. It’s just a game, chose! As-tu enfin compris?
Je travaille dans un centre d’achat. Et disons qu’il n’y a pas grand chose de gratuit dans un centre d’achat. Sauf peut-etre le journal Voir.
Heureusement! Jeudi soir, journal Voir. Ca allait de soi! Et surtout vos ondes de choc, Monsieur Martineau. Mais ils ont déplacés le rack à journal, je vous ai perdu pendant une semaine. Ce matin, Amélie Veille m’a rendu son regard et j’ai enfin pu lire mon Voir ce midi.
Je tenais juste à vous dire que je suis toujours en accord avec vos facons d’énoncer vos opinions. C’est pas pour licher, c’est vraiment juste la vérité. Quel vide! Ouff. Vous avez tellement le sens du punch! Votre départ est cruel… Ah! Les choses changent… Et je déteste ca! lol
Bonne chance parreil 😛
Madame tout le monde.
Monsieur Martineau,
Je trouve votre lettre de départ très condescendante. Il n’existe aucun rapport entre l’âge, le fait d’être branché, avoir des opinions et lire le Voir. Pourquoi ne pas simplement dire que vous êtes prêt à passer à autre chose sans nous servir ce »je ne suis plus de votre âge, mes idées vous emmerdent, gna, gna, gna »
Qu’est-ce qui vous fait croire qu’un jeune branché ou non, ne s’intéresse pas à l’opinion des générations qui le précède? Au contraire, une opinion est une opinion. Les opinions de ma grand-mère de 96 ans me fascinent et enrichissent mes réflexions.
Qu’est-ce qui vous fait croire que les gens votre génération ne lisent pas le Voir? J’en connais plusieurs.
On fait des choix dans la vie et c’est tout à fait légitime. Ne vous justifiez pas avec votre âge vénérable, j’ai l’impression que vous me prenez pour une valise et ça me déçois.
Je ne suis pas toujours d’accord avec vous mais j’aime vous lire et je respecte vos opinions. Quand j’ouvre le Voir, je me dit: »Voyons voir ce qu’il a à dire cette semaine? »
Respectez-moi aussi en laissant tomber les mea culpa de diva parvenue.
Bonne chance pour le futur.
Moi je vais probablement continuer a lire Martineau dans le Journal de Montréal. Je suis un de ces ignornants de la masse qui achète ce journal. Un pauvre travailleur au QI limité et culturellement handicapé.
Merci Martineau pour toutes les fois que tu m’a fait enragé et pour les quelques fois que j’ai été d’accord avec toi. Ceci est sincère et on se reparle dans le JdM avec quelques faites d’orthographes….Yea…..!!!!
Visitez le site suivant, vous ne serez pas déçu :
http://protectkid.blogspot.com/
Bravo pour votre travail !
Il devrait avoir plus de gens comme vous !
Même si je suis loin d’être daccord avec toutes vos opinions , je vous adore !
Continuez à réveiller les Québécois !
Ces gros paresseux avec du coeur ont besoin de vous !
Un petit mot pour vous souhaiter une bonne continuité. Je ne comprend pas votre décision de quitter Voir, mais ce n’est pas de mes affaires. Vous avez votre chemin à suivre et vous seul tenez les gouvernailles de votre vie en mains.
Voir est un véhicule d’idée extraordinaire et j’ai de la difficulté à vous dissocier l’un de l’autre.
Bonne route !
Je ne suis « fan » de personne pas même de M.Martineau, mais je respecte hautement les personnes qui par métier ou par conscience personnelel, professionnelle ou conscience collective ose faire entendre ce qui se pense, se réfléchi tout bas. Richard, tu as souvent parlé au nom de plusieurs minorités silencieuses et immobiles tantôt en prenant position et tantôt en partageant tes réflexions.
Souvent provocateur, tu sais nourrir nos réflexions collectives pour tenter de nous sortir de notre médiocrité, du notre petit pain québécois. L’important n’est pas que nous soyons d’accord ou pas avec toi, mais que tu puisses encore nous inspirer par ton honnêteté et ton intégrité intellectuelle dont tu fais preuve.
En tournant la page sur ton histoire avec Voir, je te souhaite de continuer à provoquer chez nous au Québec, la réflexion et la sensibilité que l’on découvre chez toi au fur et à mesure que nous te lisons ou t’écoutons.
Bon vent