Tournée Juste pour rire : Les quatre mousquetaires

Max Leblanc

, qui a eu la piqûre pour l’humour alors qu’il animait un défilé de mode à l’Université Sherbrooke est totalement emballé par le spectacle. Il le décrit en utilisant quatre mots: diversité, chimie, dynamite et énergie. "Y’a un rythme incroyable. Une avalanche de gags", dit Leblanc, bon vendeur.

Sur la scène, les quatre humoristes se retrouvent dans une cellule de prison et tout le spectacle, mis en scène par Guy Lévesque, tourne autour du thème de la geôle. Les numéros solos alternent avec les duos, les trios et les quatuors. "Tout ça, ça fait une bombe! Vraiment!" s’enthousiasme l’humoriste. Selon lui, la chimie sur scène est attribuable aux liens d’amitié qui unissent les gaillards. "Ça se ressent beaucoup sur la scène. On a du fun! On se fait rire."

Tout près de la trentaine, Max Leblanc est le plus vieux de la bande, ce qui se reflète, considère-t-il, dans les sujets qu’il aborde. Le jeune papa se décrit aussi comme le plus corrosif du groupe. Voici comment il perçoit les trois autres…

Christopher Williams: "C’est la vedette de notre gang. C’est le plus connu et le plus éclaté."

Alexandre Barrette: "On a pu le voir à Tête à Kat à Radio-Canada. Lui, c’est le côté absurde. C’est dans le même registre que Jean-Thomas Jobin."

Billy Tellier: "Il est à C’est mon show à TQS. Il a gagné le Prix de la relève au Festival Juste pour rire. Il traite de phénomènes sociaux, il est très politisé."

Parmi les quatre, Max Leblanc est le seul à ne pas avoir fait l’École nationale de l’humour. "Je voulais vraiment rester moi-même. Je ne voulais pas me faire mettre dans un moule", affirme celui qui planche présentement sur différents projets télé.

Le 24 février 20 h
À la Salle Odyssée de la Maison de la culture

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