Nuit blanche : Brève scène 2010-02-18
Côté danse, humour et théâtre, la 7e édition de la Nuit blanche à Montréal regorge de possibilités. Au Gesù, on vous propose de découvrir le travail de l’artiste en résidence, la chorégraphe Meena Murugesan. Dans le hall des Pas perdus de la PdA, les étudiants du Département de danse de l’UQAM s’intéressent à la lettre X. Au Studio 303, on présente DORS.install (photo), une pièce de Jacques Poulin-Denis qui plonge dans l’univers des rêves et de la nuit. Toujours au Belgo, Catherine Tremblay revisite certaines oeuvres de Montréal Danse. Au 374, rue Édouard-Charles, il y a de la Danse à tous les étages. À la maison de la culture du Plateau-Mont-Royal, on amalgame danse et improvisation. À l’aréna Camilien-Houde, on redéfinit le spectacle sur glace avec Ceci n’est pas un patin.
À la Galerie Off The Hook, le Panadream Theatre tient un Marathon des marionnettes. Chez Camellia Sinensis, le Théâtre Big Bang présente un spectacle de marionnettes inspiré de la musique de René Lussier. Dans les profondeurs de l’UQAM, on offre une performance déambulatoire immersive. Dans le métro, entre les stations Berri-UQAM et Lionel-Groulx sur les lignes orange et verte, on provoque des connexions entre les passagers. À La Licorne, on revient au début des années 90 le temps d’une nuit inspirée par la vie de Kurt Cobain. Dans la Tour de Montréal, deux explorateurs et un duo burlesque nous attendent.
Les amateurs d’improvisation se rendront au bar Les Katakombes, à la grande place du Complexe Desjardins, au Théâtre Jean Duceppe ou au bistro Le Parc des princes. Pour rire un bon coup, on visite le Studio Juste pour rire, le Théâtre Telus ou le bar Au Vol de nuit.