Stéphane Rousseau : Les confessions de Rousseau
François Gariépy
Photo : William Let
Stéphane Rousseau monopolisait la Salle Albert-Rousseau mardi dernier pour présenter son nouveau solo, Les confessions de Rousseau, un clin d’oeil à son ancêtre philosophe. Comme prévu, le fantaisiste chante, danse et enfile les numéros avec une aisance fascinante, dans une mise en scène et un décor qui repoussent les limites du genre. Quelques moments semblent sortir de nulle part, comme ses revisites discutables de Bowie et Radiohead, mais on retombe vite sous son emprise, surtout lors du monologue sur son enfance chez les nudistes ou lorsqu’il reprend Si j’étais un homme de Diane Tell pour en faire Si j’étais une femme, véritable éclat de génie. De retour les 23, 24 et 25 mai.