Rentrée théâtre : Des incontournables à ne pas rater
Le iShow, par Les Petites Cellules Chaudes, à l’Usine C
Ce spectacle intelligent et éclaté explore la manière dont les réseaux sociaux changent notre rapport au monde.
Villa Dolorosa, de Rebekka Kricheldorf, mise en scène par Martin Faucher, à l’Espace Go
Le metteur en scène Martin Faucher se passionne pour les dramaturgies allemandes et autrichiennes contemporaines. Nous aussi. Très hâte de voir cette relecture aussi comique qu’effroyable des Trois sœurs, de Tchekhov.
Drugs kept me alive, de Jan Fabre et Antony Rizzi, à La Chapelle
Une rencontre entre le sulfureux metteur en scène flamand Jan Fabre et l’inclassable performeur new-yorkais Antony Rizzi autour d’une quantité vertigineuse de substances illicites. Ça promet.
Clôture de l’amour, de Pascal Rambert, mise en scène par Christian Vézina, au Quat’Sous
L’écriture de Pascal Rambert est faite de mots qui claquent et rebondissent pour dire l’effondrement du couple. Dans la mise en scène de l’auteur, vue en France il y a deux ans, c’était un vrai choc théâtral.
Oxygène, d’Ivan Viripaev, mise en scène par Christian Lapointe, au Prospero
Au FTA en 2008, la mise en scène de ce texte par Galin Stoev avait été convaincante. Reste à voir comment Christian Lapointe s’appropriera cette écriture rythmée et puissamment critique.
Freetown, de la compagnie Dood Paard (Pays-Bas), à l’Usine C
Travaillant le texte comme un matériau libre, en circulation d’un acteur à l’autre, la compagnie Dood Paard s’intéresse au tourisme dans ce spectacle performatif qui devrait marquer la première édition du festival Nederlands à l’Usine C.
La concordance des temps, de Jérémie Niel et Evelyne de la Chenelière, à l’Usine C
L’amour est un grand vertige et une éternelle disjonction, dans ce roman d’Evelyne de la Chenelière que Jérémie Niel portera à la scène avec, on suppose, son inclination habituelle pour le mystère.