Société

La fin des afters hours?

Heureusement, il reste encore le Sona! Depuis quelques semaines, les couche-tard n’ont plus qu’une seule tribune festive, le Pop et le Box-Office ayant rendu l’âme. Dans le milieu, on implore la sainte loi de l’offre et de la demande, ou la loi de la jungle – le Sona jouissant de promoteurs plus expérimentés, davantage capables de s’aventurer dans la brousse de la faune nocturne. D’autres attribuent les fermetures des Dômes du lever du soleil au syndrome du post-after. La mode des nuits blanches aurait fait son temps; les droppeurs d’ecstasy s’essoufflent et redécouvrent benoîtement les joies des bars et de l’alcool. Heureux qui comme les proprios du Sona cumulent les covers des clubbers… et les files d’attente.