Dans la foulée des Pamela Anderson et autres Lollo Ferrari, les femmes sont de plus en plus nombreuses à passer chez le chirurgien pour se faire gonfler la poitrine à gros coups d’implants. Rien qu’à Québec, elles sont des dizaines à avoir participé à un concours radiophonique dans l’espoir d’hériter gratuitement d’une paire d’obus.Toutefois, si l’on en croit le magazine Vice, on est peut-être à la veille d’atteindre le point de saturation. Chez nos voisins du sud, des clubs ont commencé récemment à annoncer des spectacles de danseuses avec des seins 100% naturels. Dans la même veine, l’éditeur de Perfect 10 s’est adjoint les services d’un chirurgien pour s’assurer que les poitrines des modèles posant pour son magazine n’avaient jamais subi la moindre altération esthétique. Jusqu’aux producteurs de films pornos qui emboîtent le pas en affichant «all real tits» sur les pochettes de vidéos.Bientôt, on ne saura vraiment plus à quels seins se vouer.
