Depuis trois ans, des écrivains québécois participent à un drôle de jeu à l’Agora de la danse. Tout de suite après la représentation d’un spectacle de danse, ils inventent une histoire en s’inspirant de ce qu’ils ont vu sur scène. Une fois le fruit de leur imagination jeté sur papier, ils en font aussitôt part à un public trop heureux d’assister au mariage du mot avec le mouvement. Le 18 septembre prochain, ce sera au tour des écrivaines Marie Laberge et Sylvie Massicotte, ainsi que des poètes José Acquelin et Stéphane Despatie d’utiliser papiers et crayons dans le cadre d’une soirée signée José Navas. Gageons que l’étonnant travail de ce chorégraphe d’origine vénézuélienne saura alimenter l’imaginaire des auteurs des semaines durant.