Dans le film Panic Room de David Fincher, Jodie Foster se barricade dans un bunker blindé et ultrasophistiqué alors que des voleurs pénètrent dans la maison.
Dans la réalité, les compagnies de sécurité font, depuis quelques années, des affaires d’or avec ce genre de pièce de sécurité, particulièrement prisée par les célébrités et les riches hommes d’affaires, qui craignent d’être pris d’assaut par des cambrioleurs, des kidnappeurs ou même des assassins.
Selon le site ABCNews.com, ces chambres fortes sont offertes en plusieurs modèles, simples (portes renforcées avec téléphone et réfrigérateur) aux plus élaborés (avec caméras vidéo, ordinateurs, système d’aération et protection contre des attaques de type bactériologique!). Les coûts peuvent varier entre 50 000 et plusieurs centaines de milliers de dollars. Contrairement au film, assurent les compagnies, il n’y a presque pas de probabilité à ce qu’une panic room puisse être enfoncée ou même endommagée de quelque façon que ce soit.
En ces temps d’insécurité, il y a fort à parier que cette industrie risque de rouler à fond de train.