L'État d'urgence n'aura pas lieu : Foutre le camp
Société

L’État d’urgence n’aura pas lieu : Foutre le camp

Les Forces canadiennes n’entendent pas à rire avec le terrorisme. C’est ce que disent avoir découvert à leurs dépens Annie Roy et Pierre Allard, le couple à l’origine des coups d’éclat de l’Action terroriste socialement acceptable (ATSA). Depuis trois hivers, ces artistes engagés montent, en collaboration avec l’armée, un camp de réfugiés en plein centre-ville, pour offrir aux sans-abri un peu de chaleur humaine et sensibiliser la population à la pauvreté. Mais la quatrième édition de L’État d’urgence n’aura pas lieu comme prévu cette année. L’armée se désiste, une décision prise "en raison du "T" de notre nom", dénoncent les deux militants de  l’ATSA.