Souvenirs d’Halloween
Souvenirs, anecdotes, faits cocasses et beuveries… L’Halloween est prétexte à toutes les extravagances. Comme cette fête ne laisse personne indifférent, nous vous avons demandé votre avis sur la question!
JOANIE OU L’HALLOWEEN RURAL
"Quand j’étais petite, nous habitions dans un rang et comme nos parents avaient peur de nous laisser passer seuls de maison en maison, nous prenions l’auto et nous allions cogner aux portes de quatre ou cinq maisons du rang. La maison de la vieille Mme Laplante était particulièrement plate à visiter parce qu’elle ne nous donnait qu’un dollar! Un peu plus tard, maman s’est tannée des tournées en voiture et a décidé de nous amener directement au dépanneur le jour de l’Halloween et de nous acheter pour 5 $ chacun de bonbons!"
DAVID, LE BÛCHERON MAISON
"Une année, j’ai décidé de me pointer à un party d’Halloween déguisé en Jason. Mes amis pensaient que je travaillais ce soir-là et ne m’attendaient pas avant tard dans la nuit. Alors ils ont eu la peur de leur vie quand je suis entré dans la maison couvert de sang, avec ma scie à chaîne en marche, ma "chienne" de garagiste et mon masque de gardien de but!"
ÉTIENNE, LE FARCEUR PYROMANE
"L’Halloween était une belle occasion de faire des mauvais coups. Une année, avec mes amis, nous avons rempli d’essence de grosses seringues et nous nous amusions à en mettre un jet dans les citrouilles allumées devant les maisons. C’était très drôle de voir le feu sortir par les yeux des citrouilles!"
AURÉLIE, VICTIME DE LA CRÉATIVITÉ MATERNELLE
"Je me souviens que, dans ma prime jeunesse, ma mère m’a un jour fabriqué de ses mains un horrible costume, celui de Madame Balloune. La chose consistait à m’habiller avec des vêtements beaucoup trop grands pour moi et de les remplir de "ballounes" gonflées. Sans doute la pire Halloween de ma vie puisqu’il me fallait tenter d’expliquer en quoi j’étais déguisée aux gens qui me donnaient des bonbons!"
JACINTHE, OPÉRATION NOSTALGIE
"À l’époque de l’université, pour l’Halloween, nous avions organisé un souper de filles. Nous avions loué pour l’occasion le film qui nous avait fait le plus peur durant notre enfance: Opération beurre de pinottes. Le pire, c’est qu’en le regardant pour une seconde fois presque 20 ans plus tard, nous avons toutes eu aussi peur que la première fois!"