Pop Culture : Garderie bio, Le St-Camille renaît, Étiquetage humanitaire, Politique culturelle, Hymne aux non-fumeurs, Histoires d'amour
Société

Pop Culture : Garderie bio, Le St-Camille renaît, Étiquetage humanitaire, Politique culturelle, Hymne aux non-fumeurs, Histoires d’amour

Garderie bio

Équiterre poursuit sa mission en faveur des choix écologiques et socialement équitables en se tournant vers les CPE de la province. Mené depuis 2003, le projet Garderie bio a pour but de sensibiliser les enfants, parents et intervenants de la petite enfance au sujet des liens existant entre l’agriculture biologique locale, la santé des enfants et la protection de l’environnement. C’est donc en facilitant l’approvisionnement des CPE en aliments biologiques et locaux que cette nouvelle formule prend forme, transformant les garderies en points de chute de paniers de fruits et légumes distribués par le Réseau de l’Agriculture soutenue par la communauté. En 2004, le nombre de CPE qui se sont joints à cette initiative novatrice est passé de 5 à 20. Les organisateurs espèrent que l’expérience s’étendra au sein des foyers familiaux… Pour en savoir plus, visitez le www.equiterre.org. (M. Pietracupa)

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Le St-Camille renaît

L’équipe de Concerts Spectaculaires relance les activités du St-Camille, une salle de spectacles parmi les plus importantes de Montréal entre 1968 et 1996. Le lieu de diffusion, qui portait autrefois le nom d’Habitat St-Camille, était alors considéré comme un incontournable pour les grands de la chanson. Dalida, Jean-Pierre Ferland, Claude Dubois, Serge Lama et Yvon Deschamps ont entre autres foulé les planches du 5220, rue Charleroi, à Montréal-Nord. C’est le légendaire Gilles Vigneault qui assurera la réouverture de la salle lors d’un spectacle intime prévu pour le 20 février prochain. (M. Pietracupa)

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Étiquetage humanitaire

"Fabriqué dans des ateliers de misère, 50 % coton, 50 % polyester, 14 heures de travail par jour, 7 jours sur 7, 28 cents/heure, assemblé par des enfants"… Dans le cadre de sa campagne contre les ateliers de misère, le Groupe Économie et Droits humains d’Amnistie internationale demande aux autorités gouvernementales de modifier la réglementation sur l’étiquetage des vêtements. Selon Amnistie, l’inscription du nom du pays où l’article a été confectionné n’est pas suffisante. Ainsi, une nouvelle loi prescrivant de l’information sur l’usine ou le lieu spécifique de production des vêtements est revendiquée. Cette requête a été déposée avec une pétition totalisant 13 500 appuis. (M. Pietracupa)

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Politique culturelle

Le maire Tremblay s’était engagé à doter Montréal d’une politique culturelle. Le 11 novembre dernier, il s’acquittait de sa promesse en dévoilant le premier plan de développement culturel de Montréal, que l’on peut consulter au www2.ville.montreal.qc.ca. Afin d’améliorer le contenu de cette proposition et de favoriser les échanges sur les moyens dont doit disposer Montréal pour assurer une pérennité culturelle, une période de consultations publiques est actuellement en cours. Des ateliers thématiques et des assemblées de consultation destinées au dépôt de mémoires sont au programme. Pour y participer, informez-vous auprès de l’Office de consultation publique de Montréal. (M. Pietracupa)

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Hymne aux non-fumeurs

Le vendredi 28 janvier, le Conseil québécois sur le tabac et la santé rend hommage aux jeunes non-fumeurs avec le spectacle êtreallumé. Cette célébration de grande envergure rassemblera plus d’une vingtaine d’artistes québécois dont Martin Léon, Vincent Vallières, Yelo Molo, Martin Deschamps, Lulu Hughes et la troupe Les 7 doigts de la main. L’événement se tiendra à la salle de la TOHU, où, pour accueillir les 1000 jeunes invités, les sièges auront été retirés et trois scènes auront été installées. Avis au grand public, l’événement est à guichets fermés mais sera diffusé simultanément sur le site Web www.lagangallumee.com. (M. Pietracupa)

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Histoires d’amour

Le 24 janvier, au TNM, on procédait au lancement du coffret Mille mots d’amour, un recueil de lettres signées par des personnalités du milieu artistique et par des membres des Impatients, cet organisme qui propose un lieu de création aux personnes connaissant ou ayant connu des problèmes de santé mentale. Sur la photo: Clémence DesRochers, porte-parole de l’organisme, Monique Giroux, marraine de l’événement, et Pascale Montpetit, auteure d’une lettre d’amour. L’activité marquait l’ouverture prochaine de la 7e expo-encan des Impatients, qui se tiendra du 8 février au 15 mars au 100, rue Sherbrooke Est (4e étage). Info: (514) 842-1043. (T. Malavoy-Racine)