Pop Culture : Le livre à la page, Queue de pie, jazz et DJ, Le court destination monde Le roi du Dagobert

Le livre à la page

Une kyrielle d’activités à caractère littéraire auront lieu le samedi 23 avril, à l’occasion de la 10e Journée mondiale du livre et du droit d’auteur. Ce même jour d’avril, en l’an de grâce 1616, s’éteignaient deux grands noms de la littérature, William Shakespeare et Miguel de Cervantès, ce qui explique pourquoi l’UNESCO a choisi cette date pour instaurer, en 1995, cette journée de festivités, célébrée aujourd’hui dans plus de 80 pays. Parmi les activités offertes à Québec, mentionnons la présentation du spectacle pour jeunes La Joyeuse Maison hantée, de 10 h à 11 h à la Bibliothèque de Charlesbourg, une rencontre avec l’auteure pour enfants Lucie Bergeron (à 13 h 30 à la Bibliothèque Gabrielle-Roy) puis avec l’écrivain parisien Mathieu Terence (à 15 h 30 à la Bibliothèque Vieux-Québec de la rue Sainte-Angèle), la présence de Claude Dufour à la Librairie Morency de Beauport et enfin, les pérégrinations aux quatre coins de la ville de l’Escouade des poètes volants, toute la journée. Renseignements supplémentaires: www.jmlda.qc.ca. (P. Ouellet)

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Queue de pie, jazz et DJ

Christopher Hall animera cette éclectique soirée. Photo: Luc Simard

La saison 2004-2005 touche à sa fin et l’Orchestre symphonique de Québec en profite pour sortir du Grand Théâtre afin de se joindre, le 23 avril prochain, à la Grande Nuit Ballroom, une activité-bénéfice coproduite avec le Centre des congrès. Cette soirée corporative sera animée par le chroniqueur-humoriste Christopher Hall (lui-même clarinettiste et ancien musicien de l’OSQ) et fera une place d’honneur à la musique et à la danse. En effet, les musiciens de l’orchestre se prêteront au jeu du big band à saveur jazz en compagnie de leur nouveau chef en résidence Richard Lee, en poste dès septembre prochain. Dans ce cadre dancing hall, un trio de jazz, composé du contrebassiste Pierre Cantin, du pianiste Sébastien Champagne et du batteur Denis Cantin, agrémentera la soirée de standards. Cette nuit mondaine, tenue de ville oblige, laissera un DJ conclure l’événement, pour le plaisir des insomniaques amateurs de musique électronique. Let’s dance… (A. Léveillée)

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Le court destination monde

Réalisé dans le cadre du projet 100 Pieds et présenté en ouverture des derniers Rendez-vous du cinéma québécois, notamment, le film Redite de Patrick Boivin (ex-Phylactère) continue à faire du chemin. En effet, il sera la seule œuvre canadienne en compétition lors de la septième édition du Festival des Très Courts, un événement qui se déroulera simultanément dans au moins 36 villes de la France, de la Réunion, de la Suisse, de la Belgique, du Luxembourg, de l’Allemagne, de l’Italie, du Canada, du Sénégal et de la Corée, et réunira une cinquantaine d’œuvres de 17 pays, dont l’Irlande, le Royaume-Uni, l’Argentine, le Japon, la Norvège, les États-Unis, l’Espagne, le Brésil, la Suède, la Slovaquie et l’Écosse. Sélectionnés en fonction de leur originalité, de leur impertinence, de leur humour, de leur générosité, de leur mauvais goût ou de leur qualité technique parmi plus de 500 productions reçues, ces films de moins de trois minutes se disputeront alors quatre prix qui, outre celui du public, seront décernés par un jury placé sous la présidence de Pierre Richard (projection le 23, à 20 h, au Musée de la civilisation). À noter que, depuis l’année dernière, le Festival propose également Around the Très Courts, une programmation de films locaux hors concours (présentation le 22, à 20 h). Info: 628-0529. (J. Ouellet)

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Le roi du Dagobert

Photo: François Gariépy

Felix da Housecat est arrivé de Los Angeles jeudi pour une escale de 19 heures à Québec, avant de repartir pour Washington, puis le Brésil, et Montréal à la fin du mois. Tant de voyages enfilés que la station américaine MTV prépare un show de téléréalité sur la vie trépidante de ce vagabond du son. À sa sortie de scène chez Dagobert, il déclarait: "C’est ma meilleure soirée de l’année, les gens étaient fous et le son était croustillant… À ma retraite, je viens m’établir ici!" Il revient pour Noël. (F. Gariépy)