Pop Culture : Le P’tit Rire jaune, Dernier rappel, Premières impressions, Aznavour symphonique

Le P’tit Rire jaune

La Salle Multi de Méduse accueillera jusqu’au 12 juin d’insolites artisans du théâtre et de l’humour dans le cadre du P’tit Rire jaune. Les 9 et 10 juin à 19 h 30 puis le 11 à 14 h et 20 h, vous êtes conviés au Two-Men Chou, intrusion dans le bordel artistique des comédiens Éric Marcoux et Jean-Philippe Lehoux, avant quoi il sera possible de visiter le Musée Mime (ouvert 30 minutes avant chaque représentation). Le théâtre spontané de Cinplass sera à l’honneur les 9 et 10 juin à compter de 22 h. Sans thème ni maître de jeu ou limite de temps, Antoine Vézina, Anaïs Favron, Édith Cochrane, Frédéric Barbusci, Louis-Martin Guay et Guillaume Lemée mettront en forme des univers théâtraux complètement improvisés. Finalement, entamé lors de la soirée d’ouverture par l’imposition de contraintes, le Marathon d’humour connaîtra son dénouement avec la présentation d’un spectacle concocté sous pression en six jours par autant de créateurs, le dimanche 12 juin à 20 h, en première partie du concert de Plastic Lite. Réservations: 806-6512. (P. Ouellet)

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Dernier rappel

Variance, de Josée Mainguy.

En septembre dernier, la Ville de Québec lançait la première édition de son concours d’œuvres d’art, sous le thème Le Corps, métaphore de la demeure. Ouvert à tous les artistes de la Vieille Capitale, celui-ci attirait alors plus de 200 participants, dont les contributions furent évaluées par un jury de professionnels du milieu sous la présidence de Céline Allard. La population était pour sa part invitée à décerner son propre prix, en votant par Internet pour l’une ou l’autre de la quinzaine d’œuvres d’artistes non professionnels qui lui était proposées. Les réalisations de ces récipiendaires, tantôt du Prix Cornelius-Krieghoff, attribué à l’auteur du meilleur projet professionnel, tantôt d’un des 16 Prix d’arrondissement, remis à deux artistes de chaque secteur, un professionnel et un non-professionnel, ou encore du Prix du public, font, depuis janvier, l’objet d’une exposition itinérante, qui se terminera à la Bibliothèque Chrystine-Brouillet, du 10 au 26 juin. Avis aux retardataires… (J. Ouellet)

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Premières impressions

On pourrait parler d’agriculture, acrylique sur tissu de Francis Arguin.

Vous n’avez plus que quelques jours, soit jusqu’au 12 juin, pour visiter l’exposition de la quarantaine de finissants en arts plastiques de l’Université Laval et ainsi vous faire une idée de ce que nous réserve l’avenir dans ce domaine. À l’occasion de cet événement intitulé A priori, les étudiants ont été invités à présenter des projets traduisant une vision de la société et une réflexion artistique qui leur soient propres. On y retrouve donc des œuvres diversifiées, allant de la peinture, souvent de très grand format, à la sculpture, en passant par la photographie, l’installation et la vidéo, comme les sérigraphies Mes Made in China de Catherine Blanchet, révélant la beauté du kitsch, la série de tableaux tenant de la bande dessinée de Marc-André Drouin ou l’installation de Jean-François Lahos, issue d’un questionnement sur la société de l’information, où des images sont projetées sur un radeau fait de pages d’annuaires et de romans ainsi que de photos. Aux deux derniers étages de l’École des arts visuels. (Source: Le Fil des événements) (J. Ouellet)

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Aznavour symphonique

Photo: Erick Labbé

De sa retraite, Charles Aznavour passait par Québec pour un unique récital, accompagné de l’Orchestre métropolitain de Montréal. Lancé sur une Autobiographie, c’est avec La Mamma que le tour de chant a vraiment pris son envol. Aznavour a raconté 60 ans de carrière: Sa jeunesse, Ils sont tombés, La Bohème, Comme ils disent, Quand tu m’aimes, Hier encore, Emmenez-moi. Un pur délice. (G. Tremblay)