Pop Culture : Les deux personnalités de Vigneault, Place à la relève, Terre-Neuve, la bien-aimée
Gilles Vigneault s’amène dans la région pour deux concerts totalement différents, mais dont le but se révèle le même, soit d’amasser des fonds pour des projets jeunesse. D’abord, il montera sur la scène de la Salle J.-A.-Thompson le 14 mars, en compagnie des Petits Chanteurs de Trois-Rivières. Il présentera alors son spectacle Au bout du coeur. Les profits de cette soirée iront à la corporation qui s’occupe du choeur. Le lendemain, alors qu’il se produira dans le cadre d’une activité-bénéfice pour la 10e édition du projet Place aux jeunes de la MRC de Maskinongé, le poète sautera dans une tenue un peu plus simple. Il chantera seul au piano dans l’intimité du Studio Ricard, à Louiseville. De fait, la salle peut accueillir un maximum de 140 personnes.
Place à la relève
La Corporation culturelle de Shawinigan répétera l’expérience des spectacles gratuits dans les parcs de la ville, du 12 juillet au 19 août prochains. C’est pourquoi elle est actuellement à la recherche de musiciens et d’artistes de la scène originaires de la région, dont le travail s’adresse à un public familial. La date limite pour remettre sa candidature est le vendredi 10 mars. Chaque dossier doit inclure obligatoirement: un démo d’au moins trois chansons ou bien un extrait audio ou vidéo d’un spectacle; un devis technique; les coordonnées de la personne responsable de la formation. Le tout doit être envoyé au 2100, boulevard des Hêtres, Shawinigan, G9N 8R8. Info: (819) 539-1888, poste 234.
Terre-Neuve, la bien-aimée
Après le trajet qui lie Montréal à Halifax, c’est Terre-Neuve qui tient la vedette au Centre de diffusion Presse Papier de Trois-Rivières. En effet, Otis Tamasauskas, artiste ontarien spécialisé en gravure et en lithographie, présente jusqu’au 26 mars une série d’estampes portant sur l’étude du paysage de la fameuse province canadienne. Ces oeuvres (eaux-fortes, lithographies, gravures sur bois et images numériques), qui se distinguent par leur expression et leur variété, ont été réalisées sur une période de quatre ans. Aussi, une installation, où le spectateur est interpellé, dynamise la salle d’exposition.