La première ligne que j’ai couchée sur ma liste de résolutions « 2012 » était de consacrer plus de temps à l’écriture. C’est ce qui me passionne le plus dans la vie. En écrivant, je découvre un monde de connaissances mais également se dévoile une partie de moi-même dont j’ignorais. Ça, et comme ma mémoire est phénoménalement défaillante, l’écriture me permet de conserver ce dont je dois me rappeler. Bref, étant curieuse et ouverte sur un nombre incalculable de sujets, je ne me lasse jamais de rechercher, de dépoussiérer et de divaguer pour améliorer mon écriture.
Vous devinerez donc que l’enthousiasme et l’excitation sont à leur comble depuis que j’ai appris pouvoir bloguer sur le Voir.ca! Je lis moi-même le Voir depuis les quinze dernières années. Je l’ai accueilli adolescente, me forgeant des idées suite à la lecture d’articles, me procurant tel album ou tel livre comme le suggérait l’auteur. Toujours observatrice, j’ai hâte d’y devenir « créatrice». Le Voir, pour moi, rejoint plusieurs de mes passions: arts, politique, livres, musique, cinéma, société et j’en passe. Même le hockey me galvanise: j’en voue un culte insensé! Vous constaterez donc que je ne choisirai aucunement de sujet de prédilection: cela pourrait brimer mon envie de m’empiffrer à volonté dans ce buffet exquis qu’est la culture. Ma soif insatiable de nouveauté n’est d’égale mon étrange attirance envers ce que l’on nomme « l’être humain ». S’ouvre donc à moi un monde infini de possibilités que j’aspire conquérir avec vous, mes accompagnateurs. Vos opinions et commentaires me serviront de boussole.
Mais assez là-dessus…
Pour terminer, laissez-moi me présenter très brièvement: Stéphanie Alcaraz Robinson. Pas de trait d’union entre les deux noms de famille. Je suis aussi grande que mon nom est long. Ce dernier est d’ailleurs très révélateur: comme lui, j’ai diverses origines. Comme lui, je suis trilingue. Comme lui, ma personnalité contient plusieurs facettes. Et comme lui, mes opinions s’ouvrent aux quatre coins du monde. Je suis une québécoise qui habite la planète terre, qui n’a aucune conscience des frontières mais qui trimbale toujours un passeport, « au cas où ». Je pars donc à la recherche de la prochaine chose qui m’allumera. Oh! J’oubliais… je suis très enchantée de faire votre connaissance!