Khomeiny a été, de 1979 à 1989, le chef politique et spirituel de la république d'Iran (après la Révolution iranienne). À l'époque, il disait: « En Iran, gouverner signifie mettre à effet les lois coraniques. Ces lois doivent être obéies et exécutées par tous, sans exception, et sans contestation. »
Un funny guy. Parlez-en à Salman Rushdie.
Khomeiny a aussi écrit un livre: Principes politiques, philosophiques, sociaux et religieux de l'Ayatollah Khomeiny, communément appelé le "Livre vert de Khomeiny".
J'ignore si ce livre a été la source du fameux texte de Guy Fournier dans le 7 Jours. On y trouve toutefois des informations très proches…
J'ai choisi au hasard de vous copier-coller quelques passages concernant les rites religieux islamiques (selon Khomeiny) concernant les femmes menstruées.
La richesse des détails est déconcertante…
1. La femme est pseudo-menstruée quand le sang s'écoule de son vagin en dehors de la période de ses règles. Ce sang peut être de couleur jaunâtre, froid, fluide, et s'écouler sans sensation de brûlure; il peut aussi être noirâtre ou jaune, chaud, épais et jaillir en provoquant une brûlure.
2. Les pseudo-menstrues sont de trois catégories : faibles, moyennes ou abondantes. Si le sang n'imprègne pas complètement le morceau de coton introduit dans le vagin, ce sont des pseudo-menstrues faibles; s'il imprègne tout le coton sans souiller l'étoffe placée sur la vulve, ce sont des pseudo-menstrues moyennes; si enfin le sang traverse à la fois le coton et l'étoffe, ce sont des pseudo-menstrues abondantes.
3. Dans le cas de pseudo-menstrues faibles, la femme doit se laver selon le rituel religieux avant la prière, changer le coton ou le laver, laver également la vulve si le sang l'a souillée.
4. La période menstruelle proprement dite est la période de quelques jours par mois durant laquelle le sang s'écoule du vagin des femmes. Ce sang est le plus souvent épais, chaud, rouge noirâtre ou rouge vif, et jaillit avec sensation de brûlure.
5. Les femmes de la lignée du Prophète de l'Islam sont ménopausées à l'âge de soixante ans. Les autres à cinquante ans révolus.
6. Le sang qui s'écoule du vagin de la fille de moins de neuf ans et de la femme de plus de soixante ans, ne peut pas être considéré comme le sang menstruel.
7. La femme enceinte et la femme qui allaite sont susceptibles d'avoir leurs règles.
8. Il est indispensable que durant les trois premiers jours des menstrues le sang ne cesse pas de s'écouler; donc, s'il cesse après les deux premiers jours pour reprendre un jour plus tard, ce n'est pas le sang menstruel.
9. Il n'est pas indispensable que le sang s'écoule hors du vagin pendant les trois jours; il suffit qu'il y en ait à l'intérieur du vagin.
10. Si la femme voit le sang s'écouler de son vagin pendant plus de trois jours et moins de dix jours, et qu'elle n'a pas la certitude qu'il s'agit du sang menstruel ou de celui d'un abcès, elle doit si possible introduire un morceau de coton dans son vagin et l'en ressortir; si le sang s'écoule du côté gauche c'est celui des menstrues; s'il s'écoule du côté droit, c'est le sang d'un abcès.
11. Si la femme voit le sang s'écouler de son vagin et qu'elle doute s'il s'agit du sang menstruel ou celui de sa virginité, elle doit introduire un morceau de coton dans son vagin et le retirer après un certain temps. Si le sang a taché seulement le pourtour du coton, il provient de la virginité ; si tout le morceau de coton est imbibé de sang, c'est celui des menstrues.
12. Si la femme voit son sang s'écouler du vagin pendant moins de trois jours, s'arrêter puis reprendre pendant trois jours, c'est ce deuxième flux qui doit être considéré comme celui des menstrues, même si le premier coïncide mieux avec son cycle menstruel.
13. Pendant les menstrues de la femme, il vaut mieux que l'homme évite le coït, même s'il ne pénètre qu'incomplètement – c'est-à-dire jusqu'à l'anneau de circoncision -, et même s'il n'éjacule pas. Il est également haute ment déconseillé de la sodomiser.
14. Si on divise le nombre de jours de menstrues de la femme par trois, le mari qui fait le coït pendant les deux premiers jours doit payer l'équivalent de 18 « nokhod » (3 g) d'or aux pauvres; s'il le fait pendant les troisième et quatrième jours, l'équivalent de 9 « nokhod » ; et s'il le fait les deux derniers jours, l'équivalent de 4 1/2 « nokhod ».
15. Sodomiser une femme menstruée ne nécessite pas ce paiement.
16. Si l'homme fait le coït avec sa femme au cours des trois périodes, il doit payer l'équivalent en or de 3 1 1/2 « nokhod ». Si le prix de l'or a changé entre le moment du coït et celui du paiement, c'est le prix au jour du paiement qui doit être choisi.
17. Si l'homme s'aperçoit pendant le coït que la femme vient d'avoir ses règles, il doit se retirer; s'il ne le fait pas il doit faire la charité aux pauvres.
18. Si cet homme n'est pas en mesure de faire la charité aux pauvres il doit faire un don à un mendiant. Si cela non plus ne lui est pas possible, il doit demander pardon à Dieu.
19. Après la période menstruelle de la femme, son mari peut la répudier, même si elle n'a pas encore fait ses ablutions. Il peut également avoir un rapport avec elle, mais il vaut mieux qu'il attende que la femme ait fait ses ablutions. La femme n'est pas autorisée entre-temps à accomplir des actes qui lui sont interdits pendant ses règles : aller à la mosquée ou toucher l'écriture du Coran, tant qu'elle n'a pas fait ses ablutions.
Des extraits du livre en question sont disponibles ici.
« rites religieux islamiques », vraiment…?
L’ajout entre parenthèses n’affaiblit pas vraiment cette malheureuse contre-vérité.
Je suggère que le titre de ce thread soit modifié pour se lire « Les Protocoles de l’Islam ».
Un « sequel », ça marche toujours…
Le site où est affiché ce livre (hyperlien ci-haut) est celui du Front Nouveau de Belgique, un parti d’extrême-droite qui affiche fièrement ses liens avec le « grand parti » qu’est pour eux le Front National de Jean-Marie Le Pen.
Exemple de leur rhétorique:
« Le FNB veut rétablir des valeurs que la droite a abandonnées: l’attachement à notre pays, à notre territoire, à nos familles, à notre culture. Nous sommes fermement opposés à l’immigration massive en provenance du tiers monde. Nous pensons que les Belges ont le droit de vivre, entre eux, sur leur territoire, et en sécurité! Le FNB veut dès lors une police, une armée et une justice efficaces.(…) » (http://www.fnb.to/FNB/presentation.htm)
Tant qu’à marcher z-au front contre la Bête, aussi bien savoir lequel…
J’ai trouvé drôle l’extrait qui parle de sodomie: « il est hautement déconseillé de la sodomiser » mais la « sodomiser ne nécessite pas [ce] paiement »!!
Elle est où la logique??? Mais surtout, quels principes!!!
Un Goyim ou goy = goya non juif
Puisque » la chair des goyim est semblable à celle des ânes et que leur rut est comme celui des étalons « , (Ezéchiel 23 20) les relations sexuelles d’un juif marié avec une goya ne sont pas de l’adultère mais de la bestialité. Selon Maïmonide, toute femme non-juive est considérée comme non purifiée de ses menstrues, esclave, païenne et prostituée (niddah, shiftah, goyah, zonah). Par conversion elle perd les trois premières marques mais reste toujours zonah (prostituée) pour le restant de ses jours. Pour une femme, la conversion au judaïsme est assortie de conditions humiliantes : inspection corporelle par trois rabbins après avoir été dénudée lors d’un bain de purification. On imagine les hurlements médiatiques si l’église catholique se permettait le moindre projet en ce sens.
Selon l’Encyclopédie talmudique, le juif qui a des rapports charnels avec la femme d’un Gentil ne mérite pas la peine de mort. Selon ce qui est écrit : » La femme de ton prochain et non la femme de l’étranger » et le précepte selon lequel » un homme restera fidèle à sa femme » qui est adressé aux Gentils ne s’applique pas au juif parce qu’aux yeux de la Loi il n’y a pas de mariage valide entre les Gentils (I.S. p 87). Cette interdiction ne s’adresse donc pas au juif. Cela ne veut pas dire que les rapports sexuels entre un juif et une goya sont permis, bien au contraire. Mais la punition principale est infligée à la goya et doit être exécutée même si celle-ci a été violée par le juif. Lorsqu’un juif a un coït avec une goya, cette dernière, qu’elle soit une enfant de trois ans ou une adulte, qu’elle soit mariée ou non, et même si elle est une mineure âgée seulement de neuf ans et un jour, par le fait même qu’elle a eu un coït » volontaire » doit être TUEE, comme c’est le cas pour une BETE, simplement parce qu’elle a occasionné des ennuis au juif
Ben…dites donc, c’est pas banal être Goya!!!
Savez vous que j’ai eu peur d’être une goya!
Cela me semble dangereux..
Je pense que cela bat le Coran, mais, c’est
en dessous de Saint-Augustin….
C’est bête, hein?
Pas jojo d’être femme!
Dans toutes les religions…fiououou!
c’est quand même pas banal de détenir un tel
pouvoir sur l’autre et de rendre tout ce beau
monde tellement malheureux….
« Tout le monde est malheureux
tam di li di dam
Tout le monde est malheureux……
Tout le monde est malheureux
tam di li di dam
tout le monde est malheureux tout le temps… »
La presse israélienne est constamment agitée par les querelles qui opposent les différentes factions religieuses et qui versent souvent dans la trivialité. Voici les questions qui, selon Shahak, passionnaient les lecteurs en août 1993 : les corps des soldats israéliens nés de mère non- juive et tués au combat doivent-ils être inhumés dans un espace ségrégé ou dans un cimetière militaire ? Les associations religieuses qui ont le monopole des enterrements, excepté de ceux des membres des kibboutz, vont-elles encore être autorisées à circoncire les défunts incirconcis et ceci sans l’accord des familles ? L’importation de viande non casher en Israël, officieusement interdite depuis la fondation de l’Etat, sera-t-elle enfin autorisée ou interdite légalement?
Shahak jette un éclairage inattendu sur la personnalité de « l’apôtre du judaisme auprès de l’humanité », le philosophe Martin Buber, celui dont Elie Wiesel, entre autres, célèbre la sagesse hassidique. L’auteur dénonce en lui l’inspirateur des chefs hassidiques « sanguinaires » (l’expression est de Shahak) dont la philosophie a développé le chauvinisme et la haine du non-juif en Israel. Selon lui, Buber porte une grande responsabilité dans la propagande hassidique qui incitait les infirmières de Tsahal à refuser de soigner les blessés ennemis. Dans « Hatanya », le livre fondamental du mouvement habbad, l’une des branches les plus importantes du Hassidisme, il est écrit : « … TOUS LES NON-JUIFS SONT DES CREATURES SATANIQUES DANS LESQUELLES IL NE PEUT Y AVOIR ABSOLUMENT RIEN DE BON ».
Tout ce je viens de mettre sur ce blog provient du livre de Shahak
L’édition originale de l’ouvrage d’Israel Shahak a paru aux éditions « Pluto Press », Londres, 1994. Sa traduction française a paru aux éditions « La Vieille Taupe », Paris, 1996
Il est bien entendu qu’un juif ne peut épouser une non-juive. Les mariages mixtes sont une abomination pour les rabbins. Il est interdit aux descendants mâles des Kohanim (prêtres) d’épouser des divorcées. Les mariages célébrés par des autorités civiles en dehors d’Israël, forcément, sont déclarés invalides (*5). Précisons qu’en Israël le mariage est religieux et les registres sont tenus par la Synagogue. Qu’en pensent les philosémites laïcards qui baisent les tsitsith (franges) du Grand rabbin Ouaknin de Marseille ?
« Les enfants nés de mariages invalides sont déclarés illégitimes par les rabbins. Les rabbins libéraux ne sont pas autorisés à célébrer les mariages en Israël. Le divorce est interdit à la femme, sauf si elle obtient le consentement écrit de son mari. La veuve doit obtenir l’autorisation de son beau-frère pour se remarier. Elle peut être amenée à abandonner une partie de son héritage à son beau-frère pour qu’il ne fasse pas usage de son droit de lévirat. Si elle est mineure, la veuve peut devoir attendre jusqu’à sa majorité pour se remarier. Les enfants nés de relations avec une femme mariée ou d’un mariage civil hors Israël sont considérés comme bâtards et, ayant atteint l’âge adulte, ne sont pas autorisés à se marier selon la loi israélienne » (*6).
Il y a beaucoup plus de choses dans la religion juive qui peuvent choquer la sensibilité occidental que dans l’islam ou même chrétienne.
Très rare les juifs ou non juifs qui ose critiquer ou poser un jugement sur la religion juive.
L’interprétation rigoureuse de la loi dite « anti-missionnaire » de décembre 1977 punit de cinq ans d’emprisonnement celui qui fait du prosélytisme même en offrant une Bible, un chapelet ou une médaille religieuse. En effet, selon le texte, le don du moindre objet de piété peut être considéré comme « incitation matérielle » à changer de religion (*9).
Le Talmud (Shabbat 116a) ordonne de brûler publiquement les Evangiles chaque fois que l’occasion s’en présente. Le 23 mars 1980, un autodafé de plusieurs centaines d’exemplaires du Nouveau Testament a été organisé par les rabbins de Yad Lehakhim, organisation religieuse subventionnée par le ministère israélien des cultes (I.S. p 21).
Conformément au judaïsme, le meurtre d’un juif est un crime capital et l’un des trois péchés abominables avec l’idolâtrie et l’adultère. Mais tout change lorsque la victime est un goy. Le juif qui tue un goy se rend coupable d’un péché contre » La Loi divine » uniquement, non punissable par un tribunal. Le juif qui cause indirectement la mort d’un goy ne se rend coupable d’aucun péché. (En Israël, l’objection de conscience est interdite).
Je peux encore vous publier plein de chose si vous le désirez, mais je préfère m’arrêter là.
L’ Université Roosevelt à Chicago (Illinois) a mis à pied un professeur de philosophie et de religion parce qu’il avait permis à ses étudiants de poser des questions sur le judaïsme et l’islam. La directrice du département, Susan Weininger, a fait destituer Douglas Giles, sous prétexte que les étudiants ne devraient pas pouvoir poser n’importe quelle question en cours. Mme Weininger a ordonné au professeur Giles de censurer son programme, de restreindre le champ des questions de ses étudiants, et de ne pas répondre aux questions ou aux commentaires sujets à débat de ses étudiants. Mme Weininger s’est expliquée : un libre débat sur les différentes religions pourrait « ouvrir la porte à la critique du judaïsme. » Il n’est pas envisageable de mentionner de thème de ce type, dit-elle, que ce soit dans les cours, dans les manuels scolaires ou dans le cadre des examens. Ensuite, elle a ordonné au professeur Giles d’interdire toute discussion sur « la question palestinienne », ou sur les droits des Palestiniens, ou encore sur Jérusalem comme ville sainte selon la foi musulmane, et sur le sionisme. Quand le professeur a refusé de sanctionner ses étudiants, Mme Weininger l’a mis à la porte. L’Organisation de la Faculté Associée à l’Université Roosevelt (RAFO) a enregistré une plainte, car Gilles invoque la charte de la Faculté qui interdit à l’Université de restreindre la liberté académique. Le vice doyen de l’Université Roosevelt, M. Louis Love, a rejeté la plainte de la RAFO en disant que Weininger était habilitée, en tant que directrice du département, à établir les normes du programme d’un professeur, et qu’il ne s’agissait pas là de liberté académique, mais « d’une question pédagogique ». La RAFO a fait appel et demande un arbitrage, persuadée qu’il s’agit d’une violation de la liberté académique du professeur Giles, et qu’un arbitre impartial confirmerait cette analyse. Ce cas n’est qu’un exemple parmi des tentatives en nette augmentation, provenant de la droite…
Dans le no 1, on dirait qu’il parle d’acide qui s’écoule. Dans le 15, ça révèle presqu’un penchant, enfin, comme une permission qu’il s’accorde.
Côté gauche du sang, côté droit un abcès. Pas croyable!
Bien que la théologie soit une science, à lire ce texte on a l’impression qu’il s’agit d’un cours de médecine datant d’avant Jésus-Christ quand on y connaissait rien de rien.
J’espère qu’il ne fallait pas que je l’apprenne par coeur.
me payer un plat de boudin , avec une salade de betteraves……….
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A force de trop en faire,
on devient suspect….
Si c’était pour faire bonne mesure,
ben, vous la dépassez!
Cinq textes autour d’un même sujet…
vouliez vous convaincre???
« Je peux vous publier encore plein de choses »….
Boff! Pas nécessaire…
S’il reste du boudin et des betteraves…
Je m’en contenterai.
Quand j’étais très très très jeune…
j’ai lu « Le Petit et Le Grand Albert »
toutes sortes de recettes assez spéciales…
Je vous le conseille!
Cela va vous reposer de vos recherches ardues,
sur cette sympathique communauté que vous semblez
particulièrement décidé à nous faire découvrir!
Est-ce que vous croyez aussi, que les Juifs attrappent
les bébés chrétiens pour en faire du pain, lors de leurs
cérémonies??? Après tout, une de plus une de moins!
Des règles semblables, on ne peut pas inventer cela,
huummmmm?