Sur l'affaire Boubou, un message d'un lecteur anonyme, et mes commentaires…
J'ai lu le commentaire titré « Rumeur persistante » et je suis d'accord avec cette personne. Moi aussi qui me tient assez loin de l'actualité je «savais» depuis toujours que cette rumeur du sida n'était pas vraiment une rumeur, mais. peut-être le fruit de la réalité ? Il suffit de faire 2+2=4 et vous l'avez ! Ne soyons pas naïfs à ce point-là tout de même !
2+2=4? C'est aussi simple que ça? Et d'où tenez-vous vos informations, je vous prie, Anonyme? Etes-vous une source privilégiée? L'avez-vous connu, M. Bourassa?
À mon avis, la naïveté, c'est de croire que les choses sont aussi simples que dans votre esprit.
Cela dit, je ne détiens pas la vérité. Mais mon petit doigt me dit qu'elle est plus complexe que 2+2=4.
La gestion médiatique d'une rumeur n'a rien d'une équation de prématernelle.
Même vous tous, gens des divers médias, vous savez beaucoup de choses… mais vous gardez l'information pour vous de peur de vous faire poursuivre et surtout, surtout parce qu'il n'y a plus personne au Québec (moins 1 ou 2 personnes) qui ose dire la vérité et assumer.
Effectivement. Et vous ne faites pas partie de ceux-là, cher Anonyme. J'attends qu'on me dise la vérité aussi. Sauf qu'il y a un problème, on ne peut pas prouver ce qui n'existe pas. Alors on pourrait l'attendre longtemps, la vérité.
Évidemment je le comprends un peu puisque toutes personnes qui se commettent à la dire cette vérité se fait automatiquement lynché sur la place publique. On aurait peur à moins.
Pourquoi donc cette lectrice de nouvelles a dit « SPONTANÉMENT » ce mot honni entre tous ? POSER LA QUESTION C'EST Y RÉPONDRE, NON ?
Euh… non. Poser la question, c'est poser la question.
La réponse n'est pas venue encore.Et savoir qu'il serait bien décédé de cette maladie, implique automatiquement une série de questions qui demanderaient réponses. Et de cela, nous ne voulons pas.
Au contraire. Ma curiosité morbide demande d'avoir des réponses. Mais le respect que j'ai pour la vie privée des gens me tiraille de l'autre bord.
Les médias reçoivent des pluies d'insultes quand ils grattent la vie privée des hommes politiques. Aujourd'hui on se fait dire qu'on "cache la vérité". Branchez-vous.
Continuons à nous laisser bercer dans la facilité de l'ignorance, c'est plus facile à vivre. Et en conclusion, je me fout complètement de quelle maladie est décédé cet homme et je parie que la majorité s'en contrefout elle aussi.
Alors, pourquoi tant de mystère?
Oui. Pourquoi tant de mystère, cher Anonyme?
Je suis heureux de recevoir des commentaires sur ce blogue. Même des critiques acerbes. Mais je n'ai aucun -aucun- respect pour les donneurs de leçons qui se cachent derrière un anonymat commode.
Si vous souhaitez critiquer les médias -ou n'importe quoi- ayez au moins l'honnêteté intellectuelle -envers vous-même d'abord- d'inscrire votre véritable nom. Et ce, même si je suis fort conscient que le système de commentaires de ce blogue ne l'exige pas. C'est une question de crédibilité.
Si vous êtes incapables d'avoir le courage de vos écrits, n'écrivez pas.
Bien dit.
C’est fou à quel point les gens qui prétendent ne pas respecter les médias et qui disent qu’il n’y a que des menteurs peureux parmi les journalistes sont prêts à croire tout ce que ces mêmes menteurs peureux peuvent lancer qui va dans le sens de leurs idées?
La fille à la tivi a fait un lapsus? Alors c’est la preuve que c’est vrai! Qu’importe si le reste du temps je me contente de dire qu’elle ne dit que de la connerie.
Ouais, ils ont raison: la télé ne dit que de la propagande et elle est contrôlée par des cliques et des sociétés secrètes. Je le sais, je l’ai vu l’autre jour à Canal D dans un fantastique documentaire sur les francs-maçons.
Monsieur X chiale sur madame Z, monsieur Proulx en rajoute et moi aussi!!
Est-ce qu’on veut vraiment savoir si Bill Clinton a du sperme sur son pantalon parce que Monica ne l’a pas tout avalé? Même chose pour monsieur Bourassa (qui doit giguer dans sa tombe en ce moment), est-ce qu’on veut vraiment savoir les causes de sa mort? Bon, disons qu’il est mort d’une maladie bien terrible. Que ce soit le SIDA ou le cancer m’importe peu et devrait laisser tout le monde indifférent. ÇA NE NOUS REGARDE PAS!
Et oui, Robert Bourassa était pédé comme un phoque………ce qui ne l’empêchait pas de faire sa journée de travail comme tout le monde, et le soir d’aller faire quelques longueurs de piscine au Centre Notre Dame.
Tout le monde le savait de son vivant, et je ne parle pas des journalistes, j eparle des politiciens de l’époque, et des ministres de son cabinet.
Et Churchill était bourré tout les jours………ce n’est pourtant pas ça que l’on retient de sa vie.
La même chose s’est passée en France lors de règne de Mitterand………tout le monde savait qu’il avait une fille illégitime, et pourtant personne n’en a parlé.
La vie privé des gens est une chose qui devrait le rester……..
Un innocent petit lapsus et puis boum ! Bourassa est gai !!
Ca se peut tu que des gens ont tellement pas de vie qu’ils se mettent à phantasmer sur les orientations de Robert Bourassa !!!
Ceci dit, voici une bien beau « payage de tête », fais poliement avec bon goût.
Tu devrais essayer le journalisme Steve, tu te débrouille bien la dedans. 😉
Imaginer et propager des rumeurs parce qu’une présentatrice a fait une erreur est une insulte à l’intelligence des auditeurs et des lecteurs. C’est aberrant de voir quelqu’un se baser sur un lapsus pour énnoncer une vérité ultime (comme 2+2=4). Je dirais même que ça fait peur…
Je pense que ce qui attirait l’attention, ici, n’est pas le fait (ou non) que l’ex-premier était – ou non – sidatique (ou dit-on le politiquement correct sidéen), mais plutôt la reconnaissance que les journalistes « ménagent » leur sources. Il y quelques années, Jacques Parizeau s’est pointé à l’Assemblée Nationale avec un look blow-dry qui ne lui faisait pas du tout. Seul la Gazzette à présenté (avec un délice évident) la photo. Même chose pour Mr Bourassa; à la colline parlementaire, on avait depuis longtemps cessé de publié des photos récentes du bonhomme avant même sa maladie. Alors que le quidam ordinaire ensanglanté « fait’ le front page de Journal de Montreal pour beaucoup moins.
C’était un secret de polichinelle que le journaliste Auger, victime d’une tentative d’assasinat, n’avait jamais quitté le Montreal General Hospital, malgré l’annonce officielle. Pourtant, le Journal de Montreal, lors de l’évènement Dawson, étalait en long et en large – et sans de retenue – sur les victimes, au point qu’il fallut hausser la sécurité aux Soins Intensif pour intercepter les journalistes dans les puits d’escalier.
Deux poids deux mesures? Évidemment. Car les journalises gèrent leur sources.
Bonjour Monsieur Proulx,
Je venais tout juste de faire la connaissance de votre blogue le 4 octobre, C’ÉTAIT MA PREMIÈRE INTERVENTION (et ma dernière). Vous m’appelez tout au long et avec un certain mépris sous-jacent : ANONYME et pourtant je n’ai aucunement écrit de façon anonyme… et je m’explique.
Après avoir lu votre texte sur le sujet le 4 octobre, j’ai vu au bas de la page : ÉCRIVEZ VOS RÉACTIONS.
Après avoir remplie les cases, j’ai écrit mon commentaire et l’ai envoyé. Quelle ne fut pas ma surprise DE REMARQUER QUE SEULES LES INITIALES DE MON NOM APPARAÎSSAIENT AU BAS DE MON COMMENTAIRE. Étant plus habituée aux forums de discussion qu’aux blogues, j’ai pensé que les renseignements donnés faisaient office de signature, que tout était OK.
Après avoir lu votre mot « Je me paie la tête d’un anonyme », j’ai entrepris d’y répondre et je l’envoie. Oh re-surprise ! On me dit que quelqu’un utilise déjà cette adresse courriel (c’était moi 2jrs. plus tôt) et on me demande mon mot de passe. Je n’en n’ai pas. Je réfléchis et regarde bien sur toute la page pour finir par comprendre que j’aurais dû m’abonner auparavant. ce que je n’avais pas fait. C’est la raison pour laquelle mon billet est sorti avec les seules initiales et que mon profil demeurait vide en attente de validation.
Mais je n’é-tais nul-le-ment vo-lon-tai-re-ment a-no-ny-me ! Je suis désolée que mon billet soit arrivé de cette façon-là. Je n’ai jamais eu pour habitude de me cacher ou d’avoir peur de mes opinions. Je ne sais pas si je dois signer où si la signature se fait d’elle-même. Alors désolée si elle s’y trouve 2 fois.
Nicole Roy
PS.: merci à tous ceux qui se moquent ou qui n’ont pas vraiment compris l’objet de mes propos, qui étaient moins en rapport avec le sida et encore moins avec le fait d’être gai, que sur la liberté d’expression, la peur et la protection des informations-sources. 😉
Re-Bonjour Monsieur Proulx,
Comme je viens de le dire, je ne me suis pas cachée. J’ai donné mon opinion qui en vaut bien d’autres, et notez bien que si j’ai parlé du sida, ce qui n’est pas une maladie honteuse selon moi, ce sont d’autres personnes qui ont parlé de « gai ».
J’ai écrit: «.plus personne au Québec qui ose dire la VÉRITÉ et assumer».J’aurais dû écrire «qui ose dire son OPINION et s’assumer»,c’était plutôt cela que je voulais exprimer. En passant,le Doc Mailloux n’a rien à voir ici, j’ai écrit «au Québec» parce que je suis sur un blogue québécois, mais c’est beaucoup plus large que ça. cela s’étend sur la planète entière je pense.
Un forum ou un blogue c’est un endroit pour échanger et/ou donner son opinion et quand ça ne fait pas notre affaire, les grands mots viennent vite. Je n’ai pas l’impression d’avoir voulu «FAIRE LA LEÇON», mais seulement mes réflexions. Vous me demandez où je vais chercher cette information? Le lapsus de la lectrice n’est pas tellement important ici ! Suis-je connecté? Oui! j’ai une SOURCE privilégiée très sérieuse, issue du milieu journalistique(politique&social) et des communications et NON, je ne vous donnerai pas son nom.
VOUS M’ÉCRIVEZ: «Si vous êtes incapables d’avoir le courage de vos écrits, n’écrivez pas» et «Je suis heureux de recevoir des commentaires sur ce blogue. Même des critiques acerbes. Mais je n’ai aucun -aucun- respect pour les donneurs de leçons qui se cachent derrière un anonymat commode».
Vous avez jugé sans même vous informer et sans même savoir, et par votre réponse, vous non plus ne méritez pas mon respect. La preuve que l’on ne peut presque plus rien dire: lorsque on le fait, on se fait tomber dessus à bras raccourci par tous les gens qui ont des opinions contraires et ne savent respecter les autres. À commencer par vous-même M.Proulx. Pour vous démontrez que je n’étais nullement anonyme et que je suis de bonne foi, je re-signe pour la dernière fois avec mon lieu de résidence.
Nicole Roy
Cette fois-ci je me suis bien inscrite avec un profil en bonne et due forme, pourquoi donc est encore seulement mes initiales qui signent mes commentaires ?
Si je n’avais pas signé mes deux commentaires, vous m’auriez encore accusé monsieur Proulx ?
Pourtant les autres ont leurs noms au complet.
J’ai été vérifié et tout est correct: mon inscription, mon profil, etc. mon nom est inscrit au complet et pourtant en rouge, ne s’inscrit toujours que les NR.
ALORS MAINTENANT, NE VENEZ PLUS M’ACCUSER DE ME PLANQUER DANS L’ANONYMAT comme une lâche.
Je suis déçue ! NR…oy
Bon.
Maintenant qu’on s’est expliqué,
on peux-tu arrêter la grosse chicane?
Je souhaite la bienvenue à madame Nicole Roy
dans NOTRE page de liberté,et désire lui faire
remarquer qu’on est tous ici pour apprendre.
Il n’y a pas d’infaillible ici et on va pas commencer
à se taire à cause d’un malentendu.
On est pas à Radio-Can,on est à « Voir »!!!