L'anonyme répond!
Tenez, Nicole Roy de Québec dit être "l'anonyme" dont je me suis payé la tête dans mon autre billet. La lectrice invoque un problème technique pour expliquer son anonymat. Alors, histoire de rétablir les choses, je publie ici son commentaire… Avec les miens!
Comme je viens de le dire, je ne me suis pas cachée. J'ai donné mon opinion qui en vaut bien d'autres, et notez bien que si j'ai parlé du sida, ce qui n'est pas une maladie honteuse selon moi, ce sont d'autres personnes qui ont parlé de « gai ».
J'ai écrit: «.plus personne au Québec qui ose dire la VÉRITÉ et assumer».J'aurais dû écrire «qui ose dire son OPINION et s'assumer»,c'était plutôt cela que je voulais exprimer. En passant,le Doc Mailloux n'a rien à voir ici, j'ai écrit «au Québec» parce que je suis sur un blogue québécois, mais c'est beaucoup plus large que ça. cela s'étend sur la planète entière je pense.
Un forum ou un blogue c'est un endroit pour échanger et/ou donner son opinion et quand ça ne fait pas notre affaire, les grands mots viennent vite. Je n'ai pas l'impression d'avoir voulu «FAIRE LA LEÇON», mais seulement mes réflexions. Vous me demandez où je vais chercher cette information? Le lapsus de la lectrice n'est pas tellement important ici ! Suis-je connecté? Oui! j'ai une SOURCE privilégiée très sérieuse, issue du milieu journalistique(politique&social) et des communications et NON, je ne vous donnerai pas son nom.
Voilà une information intéressante! Évidemment, le nom de la source est utile pour véritablement juger de son sérieux.
L'expert en sources anonymes du quotidien La Presse, Denis Lessard, aurait certainement une opinion là-dessus. Son journal a dû reconnaître, cette semaine, que "les sources du journaliste Denis Lessard, dans une série d'articles publiés en 2002 au sujet de l'ex-ministre péquiste Yves Duhaime, "n'étaient ni fiables, ni crédibles" […] "Ces articles n'auraient pas dû être publiés", reconnaît le quotidien montréalais" (selon Le Devoir).
VOUS M'ÉCRIVEZ: «Si vous êtes incapables d'avoir le courage de vos écrits, n'écrivez pas» et «Je suis heureux de recevoir des commentaires sur ce blogue. Même des critiques acerbes. Mais je n'ai aucun -aucun- respect pour les donneurs de leçons qui se cachent derrière un anonymat commode».
Vous avez jugé sans même vous informer et sans même savoir, et par votre réponse, vous non plus ne méritez pas mon respect. La preuve que l'on ne peut presque plus rien dire: lorsque on le fait, on se fait tomber dessus à bras raccourci par tous les gens qui ont des opinions contraires et ne savent respecter les autres. À commencer par vous-même M.Proulx. Pour vous démontrez que je n'étais nullement anonyme et que je suis de bonne foi, je re-signe pour la dernière fois avec mon lieu de résidence.
D'abord, comment aurais-je pu m'en informer! Ensuite, publier ici votre commentaire n'est-il pas la preuve de ma bonne foi!
Nicole Roy de Québec
Allez, sans rancune?
Monsieur Proulx,
J’avais dit que je ne reviendrais plus jamais écrire sur «votre» blogue, mais le message que vous laissez ce 12 octobre vient me conforter dans ma décision :
« Tenez, UN AUTRE MESSAGE D’UN ANONYME – à prendre, donc, avec un gros gros grain de sel – sur l’affaire Boubou…»
Que veut dire l’expression « un autre anonyme » si ce n’est que vous redites implicitement et même explicitement que j’étais une anonyme ???
Vous n’avez donc rien compris, même après que j’aie clairement expliqué et signé trois fois plutôt qu’une avec ma véritable identité ? Je n’étais pas une anonyme et je n’ai jamais voulu l’être.
Et vous m’écrivez « Sans rancune? » Qu’en pensez-vous ????
Si vous trouvez que c’est du niaisage de ma part, eh bien tant pis. C’est mon honneur et ma crédibilité qui sont en jeu. Et au cas où, pour être bien sûre, je signe
Nicole Roy
Je regarde vers les autres blogues, il y en a d’autres qui m’intéressent beaucoup plus.