Franco Nuovo annonce la fin de sa chronique dans le Journal de Montréal, le 14 novembre prochain. Sa dernière chronique, je l'avoue, est touchante…
Alors, le 14 novembre ? Eh bien ! le 14 novembre, je vais arrêter de vous écrire, chers amis. Je vais délaisser, non sans un petit pincement, ce box si familier de la page 6 pour me ressourcer, comme on dit officiellement. Ça durera au moins un temps. Il y aura la radio, heureusement, mais au début du moins, je vais me sentir tout seul peut-être mais peinard, comme le chantait Léo.
Come on!!!!!
Bon une chose certaine c’est que M. Nuovo n’était pas cuisinier, mais j’imagine qu’àprès 30 ans on se lasse. Alors Bonne Chance pour son avenir.
Oh !!! Déjà 30 ans ? Incroyable mais réel ! J’avais à l’époque que 26 ans lors de ses débuts à la télé : ah ! qu’il me tombait sur les nerfs ! ( rires ! ). Par contre, j’ai vite appris à le connaître davantage et surtout à l’aimer pour ce qu’il était ( et est ! ) J’ai toujours aimé son franc parler et surtout sa loyauté envers tout ce qu’il dit et fait !
Bon ! Il n’est quand même pas mort n’est-ce pas ? Il a bien le droit de se retirer quand bon lui semble !!! Alors bon cheminement mon cher Franco !
Nuovo, ce n’est pas ma tasse de thé, trop bcbg, mais il y en a pour tout le monde dans les médias.
Il dit s’en aller en ressourcement? OK. Une autre manière de dire qu’il est en sabatique.
Par ailleurs, est-il vraiment parti sans filet de sécurité? sans savoir où il va atterir après son ressourcement? Hummm…, j’ai de la difficulté avec celle-là.
C’est vrai que ça fait chic de le dire ainsi, mais que Nuovo parte à « l’aventure » sans avoir laissé son adresse à un patron d’une boîte de média, oui, celle-là je la trouve bien bonne.
À suiiiirrrre
Espérons que Nuovo utilisera sans ambages sa nouvelle liberté de parole face à l’empire Péladeauet le lockout qu’il vient d’imposer aux pressiers du JdeM.
Je me souviens d’un temps où des journalistes osaient dénoncer l’écoeuranterie des lockouts patronaux.
Pas étonnant que Radio-Canada et Quebecor préfèrent les pigistes…