Il faudra ajouter l'ancien président de la Banque mondiale, un gau-gauche illuminé (ironie), à la liste des gens qui voient les changements climatiques comme le fléau de notre époque.
Les changements climatiques ont beau être à nos portes, il est encore temps d'agir, révèle la plus importante étude économique des changements climatiques publiée à ce jour. «Optimiste», cette analyse n'en constitue pas moins un véritable cri d'alarme.
Si la communauté internationale refuse de se mobiliser, les changements climatiques auront un effet aussi dévastateur sur l'économie mondiale que la Grande Dépression des années 30.
La facture pourrait dépasser les 7000 milliards de dollars.
Pour contrer cette menace, les pays du monde ne doivent pas hésiter à investir les sommes nécessaires, c'est-à-dire environ 1% de leur PIB chaque année. Cela impliquerait des coûts annuels de quelque 14 milliards de dollars pour le Canada.
[…]
«Les pays n'ont pas à choisir entre la lutte contre les changements climatiques et la promotion de la croissance et du développement», ajoute-t-il, démontant du coup la principale justification du laxisme du gouvernement Harper et de l'administration Bush.
Comme si la planète,la galaxie,l’univers au grand complet
avaient attendus la venue de l’homme pour se réchauffer.
La terre se réchauffe et se refroidit à intervalles
réguliers depuis des millions d’années.
Lâchez-nous avec votre »à soir,on fait peur au monde »,
les écolos!
Réduire la pollution d’origine humaine,j’en suis,mais
ce n’est pas ça qui empêchera la planète de se réchauffer,
ni la terre de devenir inhabitable,dans quelques
millions d’années.
It’s the sun,stupid,et accessoirement,bien avant la
pollution humaine,cette propension que nous avons à nous
reproduire comme des mouches.
Copulation et pollution:quels extraordinaires outils
qui permettront aux capitalistes sauvages certifiés-bio
d’engranger des sommes faramineuses de fric en misant
sur la peur et l’ignorance.
Plusse ça change,plusse c’est pareil.
Je donnerai jamais une cenne à ces prophètes du
malheur équitable,et je m’habitue lentement à l’idée
que nous devrons un jour déménager ailleurs dans une
autre galaxie.
Plus nous chercherons rapidement une autre planète
habitable,plus nous serons en avance sur le terrible
échéancier qui nous attend.
C’est le télescope qui nous la trouvera.
Le télescope,la science, qui remplaceront l’art dans notre
compréhension du monde.
L’artiste s’en portera mieux,enfin libéré de ses
prétentions à se croire le centre de l’univers.
Ça me fait penser à Al Gore qui avec son ducumentaire sur le réchauffement climatique ne s’en sert que pour mousser sa campagne éléctorale. Ceci contribue à enlever de la crédibilité à la thèse selon laquelle il y a urgence. Maintenant l’ancien président de la Banque mondiale.
Allez voir ce que j’ai écrit sur le sujet:
Quand il y a un incendie.
http://www.voir.ca/actualite/actualite.aspx?iIDArticle=43867
Quelle belle expression.
J’imagine qu’ici il vous faudrait voir.
…ça les instruit. (Michel Audiard)