Samedi dernier, au party de Noël du Voir, j'ai croisé celui qui fait la Une de mon journal cette semaine: (Steve) Dumas. Quelqu'un a croqué l'instant.
Je tenais à lui témoigner mon admiration, tout en lui soulignant la petite déception que j'ai ressentie en constatant que, pour des raisons de marketing, il avait décidé d'enrayer le "Steve" de son nom d'artiste.
Jadis, Rock et Belles Oreilles a efficacement détruit le peu de crédibilité des Steve du Québec. C'est vrai, la plupart de leurs personnages jeunes et débiles légers s'appelaient systématiquement "Steve". Voilà le genre de chose qui marque l'imaginaire.
Toujours est-il que les Steve du Québec se sentent souvent ostracisés lorsque, contre toute attente, leur prénom ne colle pas aux préjugés tenaces. Etre "Steve" en 2006, c'est partir une coche en-dessous de tout le monde.
Voilà pourquoi je me ferai toujours un point d'honneur d'encourager l'épanouissement des Steve. À mon avis, les Steve du Québec ont besoin d'exemples positifs et inspirants. Comme l'ont été, à leur époque, les Steve McQueen, Steve Austin (L'homme de six millions) ou le regretté chasseur de crocodiles Steve Irwin…
Dumas aurait pu être un grand Steve. Hélas, il a fait d'autres choix.
Steve Marin, heureusement, ne l'a pas imité…
Wow! Il y en a deux sur la photo. J’aime ça Steve moi.
Party bien arrosé.
Le bon vin m’endort mais l’amour me reveille encore.
Steve, mon chéri. Tu devrais être content de ton nom car comme tu le sais, tu as bien failli t’appeler …. Nelson!!! 😉 ha! ha!
Maryse (ta mouman)
Ah, monsieur Proulx, monsieur Proulx, monsieur Proulx!
On vous aime tellement cheu nous! Me, myself and I capotons complètement sur vous!
Vous lire est un délice qui donne le goût de lire et du délire.
Vous lire, c’est comme se dire: me semble que je ferais queq’ chose de l’fun a souère pis qu’allez voir sur le site de Voir la bonne blague du jour du blogue de Steve me donnerait bien du plaisir.
Et GUESS, what? Aussi vrai que je ne porte jamais de jeans, je vous trouve toujours divertissant et ouvert aux commentaires les plus trippants…
Peut-être est-ce là votre petit côté « artiste », votre petit penchant « artisan de la critique médiatique » qui vous rend aussi brillant?
Provoquer la colère primaire en s’attaquant connement à des phénomènes grégaires… ou s’attirer démagogiquement l’approbation béotienne de n’importe qui… eh ben, n’importe quel individu insignifiant peut le faire.
Mais attention, foi de Steve impérial (oui, oui, c’est de moi que je parle – la première fois que je vous écris, je vous parle à la première personne du pluriel tout le long de mon commentaire lol), donc, foi de Steve, disais-je tout juste avec entrain, je vais vous avouer un secret tout aussi mystérieux et impérieux que le secret de Fatima: Steve Dumas est un artiste profondément modeste, et c’est la raison pour laquelle il a magnanimement abandonné en choisissant son nom d’artiste une caractéristique de conquérant. Dumas, le ratoureux, a décidé de garder enfoui dans son intimité tout son potentiel de prince charmant afin que seul son entourage immédiat, tous ces gens smarts et souriants, qui forment son cercle d’amis et « fixe » son temps, soient les seuls bénéficiaires et dépositaires de son plus grand talent: être un osti de bon gars presque à plein temps!!
Bon, parlons de nous, mon cher homonyme pronominal proéminent. Nous, nous savons dire les vrais affaires, n’est-ce pas? Vous savez être un as de la critique et moi, un lècheux de Q mystique et héroïque.