À noter: dans la dernière chronique du ICI* de François Avard portant sur les "peurs épaisses" colportées par le Journal de Montréal**, vous auriez dû lire la dernière phrase (qui a été coupée): "Donc, si vous voulez éliminer vos peurs, éliminez Le Journal de Montréal."
De plus, à la une du Journal de Montréal d'hier, plutôt que le titre sensationnaliste "La série Elvis Gratton censurée à TQS: trop vulgaire pour la télé". Vous auriez dû lire: "TQS retire quelques sacres de la série sur Elvis Gratton". Selon François Avard, script-éditeur la série, il ne s'agit pas de censure:
«On a retiré des sacres et je ne crois pas que ça nuise à la vulgarité de la série. Elle est tout aussi vulgaire. Qu'il y ait un sacre ou 12, ça ne change pas grand-chose»,
Merci d'en prendre bonne note.
*Propriété de Quebecor
**Propriété de Quebecor
A quand une série sur les parvenus des quartiers
riches de Montréal qui bossent dans les médias
et qui engagent un mercenaire de la littérature
pour rire des caves d’Hochelaga Maisonneuve?
Titre suggéré: »Les couillons ».
Monsieur Proulx,
je vais vous appelez Steve à présent. Parce que, aujourd’hui, vous avez fait preuve d’un courage exemplaire qui, j’espère, sera reproduit à plus de 100 000 exemplaires.
Dire ce que l’on n’ose plus dire. Répéter ailleurs ce que l’on essaie de censuré à un endroit. C’est comme ça qu’un vrai journaliste indépendant devrait travailler: pas à l’envers mais à l’endroit!
Comment? En allant de l’avant en assurant ses arrières et en crachant contre le vent quand on sait que le vent qu’on affronte n’est pas aussi puissant qu’on le prétend.
Et que ce vent-là, que l’on VEND à plus d’un million d’exemplaires n’est pas un vent de changement.
Tout au plus une avalanche de mauvaises nouvelles rassemblées sous forme d’appel ridicule à un nouveau rassemblement. Et ce nouveau, c’est toujours la même mautadine de bouète dont on veut plus, tabarouète!
La convergence, c’est bien beau… mais ça fait pas des enfants forts… ça donne l’illusion de la cohésion.
Mais tout ce que ça fait c’est des dégâts, des erreurs et des gaffes aussi monumentales que l’Empire familial qui dirige les destinées de ce petit commerce-là… et quand ça se trompe, quand ça trompe, ces gens-là, ça demande jamais « pardon »… et quand ça se fait « fronter », ça n’a pas plus de « pardon »…
Bref, mon cher Steve… j’admire beaucoup votre courage. Je considère votre employeur comme un homme de haut lignage avec lequel il doit être bon de faire un bon partage. Un bon partage entre bagage et copinage. On a toujours besoin d’un plus petit que soi, disait-on chez les Grecs anciens qui connaissaient Ésope et ses héros.
Voir est peut-être plus petit. Mais ce qu’il fait, ce qu’il écrit, lorsqu’il le fait, lorsqu’il l’écrit… même si ça demeure pratiquement tout le temps gratuit, cela possède une énorme valeur.
Et tout comme vous, ça reste brillant, même dans la nuit. Et dans des jours obscurs, il est bon d’être un allumeur et une bougie, ou un moteur qui chasse l’ennui.
alors, cet erratum est nécessaire et généreux!
il est brillant et audacieux.
et cet hommage, il est bien senti.
et ce bavardage, il est petit.
mais ma plume danse comme elle est sage, comme un image… et ce qui est là, sur cet écran, c’est ce que je me dis:
Merci d’
Etre un
Ratoureux
Comme il n’y en a aussi dans le journal
Ici
merci!
7 millions de fois, merci!
p.s.: ben oui, c’est vrai, j’exagère et j’en rajoute… mais pourquoi pas, pourquoi se taire? quand on est aussi heureux qu’on voudrait bien en avoir l’air lorsqu’un homme intelligent réussi intellectuellement parlant à nous plaire?
😉
je suis une bande de jeunes, Steve
et là
me
myself
and
I
on vous relit
et on trouve ça bon
et super drôle
en osti
parce qu’on imagine la tête du monde
bien occupé à décidé du sort du monde
au CRTC
et qui reçoit en secret
dans le creux de l’oreille
la belle balle fronde
que vous venez de lancer là
dans ce merveilleux château de verre
qui voudrait se prendre pour
un vaisseau d’or diaphane
révélant des trésors
aux prophanes…
mais tout ce que ça fait de leur vie
ce beau monde là
c’est amener de la chicane
dans ma cabane
au
Canada
lol
pas besoin d’être Ted Rogers ou Stéphane Dion pour comprendre ça!
mdr
je l’ai déjà écrit, je le sais… mais vaut mieux se répéter que se contredire, non? 🙂
moi, c’est ce que ma mère m’a bien appris… parce que, moi, tout comme vous, monsieur Proulx, j’ai bien été élevé…
pas juste nourri, gâté pourri
élevé
au-dessus de la mêlée
comme il se doit
quand on fait au Voir
ce que l’on ne fait plus au Devoir
quand on ne fait plus
ce qu’il se doit
comme dirait le premier des Bourassa!
Henri de son prénom
pour tout ceux qui ne prendrait jamais le métro
à Montréal
ou qui ne se rappelerait pas leur nom
et leur lien de descendance avec tous les colons
qui ont bâti cette nation
avec courage
probité
et même passion!
Ça de l’air que Steve a un « stalker » comme le personnage de Macha Limonchik dans Tout sur moi
C’est quoi un « stalker », monsieur Bouchard… et c’est qui Macha Limounchik? Est-ce que c’est la femme qui pleure devant une espèce de patente qui ressemble à un autel dressée en l’honneur de la vierge Marie dans le film d’un très peu connu Charles Binamé? Macha… je connais bien Macha Grenon de nom et de réputation, snif! snif!, mais Macha L., elle, non… ça ne me dit rien… mais j’ai bien aimé le film Eldorado… on y voyait Montréal, ma ville natale, comme jamais auparavant… et, finalement, j’en parle toujours comme si dans ce film-là – le seul de Binamé que je suis capable d’endurer – comme si la ville elle-même était au centre de cet exercice de style musical et théâtral filmé comme un récit de fiction.
Coudon’ est-ce que c’est moé ou le gars qui jouait de la contrebasse dans ce film-là, on en entend plus assez parler???
Enfin, c’est ça qui est ça… y’a des affaires qu’on aime dans vie… et on peut pas s’empêcher de le dire… mais toute bonne chose a une fin. C’est toujours ça que je dis quand on me demande ce que je suis.
Je dis: toute bonne chose a une fin.
On me dit: c’est quoi le rapport avec la question?
Je répond: ben oui, toute bonne chose a une fin. Je suis une bonne chose alors j’ai une fin. Et c’est depuis ce temps là que je n’ai plus le goût d’être éternel. Et c’est comme ça. Je suis un osti de bon gars parce que je vais mourir un jour… Mais je sais pas quand… ce qui rend le monde intéressant. Et c’est pour ça que je n’attend pas que le monde disparaisse avant de leur faire des caresses avec mes doigts… mais comme je n’aime que toucher à distance…. ben, j’écris des lettres de bêtises et de félicitations à ceux que j’aime bien.
Oui, j’aime autant me lire que de m’entendre parler. D’ailleurs, la seule manière qu’on a de me faire écouter… c’est de m’inviter à manger pour me la fermer. lol
Avez-vous un restaurant à me proposer, monsieur Bouchard? J’espère que oui, vous avez l’air aussi de vous ennuyer. lol
Vraiment, oui bravo pour cet affront à l’Empire Québécor. Dans certains pays, on vous enfermerait pour avoir écrit ces quelques mots. Chapeau! Affronter ce vent – comme l’a dit votre « stalker » et avec raison – c’est signe d’un grand courage. Où est-ce de la folie? Qu’importe: il faut être courageux pour être fou, à moins de s’appeler Doc Mailloux!
Mais de grâce, faites moi plaisir et restez au Voir! Ne faites pas comme votre illustre ex-collègue en fuyant dès qu’un poste s’ouvre dans ce « Vent », que dis-je, cette puanteur qu’est le Journal de Montréal! N’importe où ailleurs s’il le faut, mais pas là…
Monsieur Descent, au nom de tous les « Steve » de la terre qui ne savent que se battre quand les autres veulent se taire: je vous suis vaniteusement reconnaissant.
Bref, il n’est pas indécent d’encourager un étranger dans son propre pays à avoir la franchise et la probité d’un homme qui sait ce que veut dire travailler mal sans avoir été pour autant dans le passé un curieux homme d’église.
Bon, ma job est finie ICI, je vais aller faire chier du monde sur Canoe.ca… Canoe.qc.ca… ça me fait tellement penser à la Chasse-Galerie cette affaire-là… ça sent le diable et c’est tellement le fouillis qu’on ne s’y entend même pas penser en paix! lol
Mais ça demeure un plus grand défi.
Bon, ciao, les aminches, moi je vais continuer à me contenter de parler pour des jetons ICI, parce que lol… j’aime bien quand on me « Call me poupée » même si je suis un gars. Pourquoi? Parce que je suis une bonne secrétaire: j’aime les fleurs et aussi le chocolat.
Comme l’a déjà dit la secrétaire de monsieur Zapata, j’aime mieux te sucer à genoux que de crever debout. La révolution, il faut faire ça tranquile… et c’est pour ça qu’on se cache sur un blogue pour écrire ce qu’on rêve toujours de dire: le Journal de Montréal, ça peut être utile, quand on a besoin de litière à chat le samedi.
Ça vous rappelle RBO ce que je vous dis là? Moi, ce que ça me rappelle, c’est que je m’ennuie de Pierre Bourgault, un point (de mire) c’est tout, et ça finit là.