pour ceux qui voulait passer à une autre étape, constitutionnellement, c’est le retour à la case départ.
Je me demande même si ça va pas donner un mandat majoritaire à Harper.
Son politicien préféré va peut-être devenir Premier-ministre du Canada! Mais bon, ça serait surprenant, car au lieu de se faire une nouvelle image, le PLC vient de retomber dans ses vieux souliers. Ignatief aurait vraiment pu donner un nouveau souffle à ce parti, mais ce sera pour la prochaine fois… Dorénavant, le chef du PLC est le «charismatique» Stéphane Dion!
Dion chef du PLC!
Bande de caves!
Avec Harper dans l’Ouest,Duceppe au Québec et Dion
au centre de nowhere,on s’en va vers quoi,pensez-vous,
aux prochaines élections fédérales?
La partition du Canada,yes sir!!!
… Dion était le candidat le plus intéressant du côté de ses positions internationales et environnementales.
Oui, il est arrogant, mais il est aussi intouchable, intègre et c’est un « debater » extrêmement habile.
Sa nomination me surprend autant que vous, mais je me demande si ce n’est justement pas de ce genre de changement qu’avait besoin le parti libéral…
Je suis tout à fait d’accord avec ce que Mathieu Harvey vient d’écrire.
Les problèmes constitutionnels canadiens sont moins importants que la crise climatique mondiale que l’on devra affronter.
Il est temps de revoir ses priorités.
Stéphane Dion possède l’intelligence nécessaire pour enfin débattre de ces enjeux et permettre au Canada de réellement s’attaquer au problème.
On ne peut plus laisser les conservateurs régler ce problème car ils n’ont aucune volonté politique de s’y attarder.
On pourrait peut-être s’occuper de la nation québécoise plus tard…
S’il y a un politicien dont la vision idéologique se rapproche de celle Trudeau, c’est bien Stéphane Dion. Intelligent, habile, intègre, mais dont «l’aveuglement dogmatique, digne d’un fondamentalisme religieux», selon Gil Courtemanche, risque de figer à jamais des enjeux importants pour le Québec. L’indéniable souci du nouveau chef du PLC pour le développement durable sera-t-il l’arbre qui cachera la forêt ?
L’intention exprimée dans son discours d’acceptation de faire appel à la diversité de points de vue qui s’expriment dans son parti pourrait laisser entrevoir une lueur d’espoir quand on pense au chemin de la victoire que lui a tracé Gerard Kennedy en lui cédant ses délégués. Kennedy est plus souple, plus près des positions de Lester B. Pearson en matière de fédéralisme coopératif, et de Laurier, pour qui le Canada devait réconcilier et aménager les différences.
Rien qu’à l’entendre dire que ce qui est bon pour Vancouver pouvait aussi l’être pour MOntréal, j’ai quand même de sérieux doutes.
Une nation unie autour du PLC qui est le véhicule de la haute finance, même avec une direction renouvelée, sans un changement de mentalité, ce parti politique ne représente rien de moins qu’un retour en arrière.
Les Québécois sauront-ils enfin discerner où est leur véritable intérêt ? Ils n’auront peut-être plus le choix.
Si Dion peut s’attaquer aux problèmes écologique comme il s’est attaqué à la question constitutionnelle, il y’a peut-être de l’espoir pour la planète.
Je n’aime pas son attitude « smart ass » avec les souvrainistes, il manque énormément de charisme et d’entregens, mais c’est un anti-politicien que je considère incoruptible et pour faire changement, IL SEMBLE AVOIR UNE VRAI VISION !
Tant qu’on fait partie du Canada, on est certainement mieux avec un Dion qu’un Harper.
Harper a un sérieux adversaire et c’est tant mieux car pour l’instant il n’y a rien de plus sérieux.
Vous avez le choix.
Soit vous votez pour Stephen Harper qui se fait familièrement appeler « Steve » par le président de la plus puissante démoncratie du monde.
En passant, si vous trouvez insultant qu’un homme tel que Georges W. Bush soit aussi cavalier avec un homme qu’il devrait avoir la décence d’apperer « sir » ou « mister Harper » devant les journalistes, n’oubliez pas que Tony Blair se fait apostropher avec un « Yo, Blair! » tout aussi affectueux…
Mais, après tout, quand on est l’homme le plus puissant du monde, pourquoi s’embarasser avec la politesse ou la diplomatie? Et pourquoi faudrait-il qu’un chef de parti Républicain ait de la classe? Richard Nixon, ça, c’était de la classe, non? Ben oui, et il était dans la même situation que l’actuel président États-Unien: en train de se foutre dans le pétrin en prétendant que tout va Vietnamement bien en Irak… alors que le président Jordanien (chef d’un pays arabe allié d’Israël) dit carrément que le Liban, l’Irak et l’Afghanistan sont au bord de la guerre civile. Comme dirait la poète de l’Hexagone en 1968 : « Tell us again about freedom and democracy. » Yeah, baby!
Soit vous votez pour Stéphane Dion, qui se fait demander par Jean Chrétien s’il peut l’appeler « Steve »… Wow! Ça, si c’est pas l’équivalent politique du « baiser de Judas » ou « le baiser de la femme araignée », si vous préférez le cinéma; qu’on me dise que la marde goûte le chocolat!
Franchement, recevoir l’appui d’un homme qui symbolise la « crosse à ciel ouvert impunie », je ne crois pas vraiment que ce soit comme recevoir « l’appui d’un ami ». Surtout si cet ami est un politicien fini… qui se comporte exactement comme son mentor avant, pendant et après sa carrière politique.
Wow! même au fédéral, il y a des belle-mères qui donnent le goût de divorcer. lol Et Dion est tellement perdu dans ses illusions victoriennes, depuis cet élection surréaliste, qu’il considère la sortie de monsieur Chrétien comme une bénédiction…
Wake up, man!!!
Dion a joué profil bas durant la campagne et laissé Ignatieff se mettre le pied dans la bouche. Moi aussi, je suis aussi surprise que vous mais je fais confiance à son intelligence. Le manque de charisme et la froideur ne veulent rien dire. On a élu un québécois, n’est-ce pas mieux qu’un anglophone qui joue la carte cool auprès des francophones?Donnons-lui une chance et cessons de le comparer à Pet.
pour ceux qui voulait passer à une autre étape, constitutionnellement, c’est le retour à la case départ.
Je me demande même si ça va pas donner un mandat majoritaire à Harper.
Son politicien préféré va peut-être devenir Premier-ministre du Canada! Mais bon, ça serait surprenant, car au lieu de se faire une nouvelle image, le PLC vient de retomber dans ses vieux souliers. Ignatief aurait vraiment pu donner un nouveau souffle à ce parti, mais ce sera pour la prochaine fois… Dorénavant, le chef du PLC est le «charismatique» Stéphane Dion!
Dion chef du PLC!
Bande de caves!
Avec Harper dans l’Ouest,Duceppe au Québec et Dion
au centre de nowhere,on s’en va vers quoi,pensez-vous,
aux prochaines élections fédérales?
La partition du Canada,yes sir!!!
… Dion était le candidat le plus intéressant du côté de ses positions internationales et environnementales.
Oui, il est arrogant, mais il est aussi intouchable, intègre et c’est un « debater » extrêmement habile.
Sa nomination me surprend autant que vous, mais je me demande si ce n’est justement pas de ce genre de changement qu’avait besoin le parti libéral…
Je suis tout à fait d’accord avec ce que Mathieu Harvey vient d’écrire.
Les problèmes constitutionnels canadiens sont moins importants que la crise climatique mondiale que l’on devra affronter.
Il est temps de revoir ses priorités.
Stéphane Dion possède l’intelligence nécessaire pour enfin débattre de ces enjeux et permettre au Canada de réellement s’attaquer au problème.
On ne peut plus laisser les conservateurs régler ce problème car ils n’ont aucune volonté politique de s’y attarder.
On pourrait peut-être s’occuper de la nation québécoise plus tard…
S’il y a un politicien dont la vision idéologique se rapproche de celle Trudeau, c’est bien Stéphane Dion. Intelligent, habile, intègre, mais dont «l’aveuglement dogmatique, digne d’un fondamentalisme religieux», selon Gil Courtemanche, risque de figer à jamais des enjeux importants pour le Québec. L’indéniable souci du nouveau chef du PLC pour le développement durable sera-t-il l’arbre qui cachera la forêt ?
L’intention exprimée dans son discours d’acceptation de faire appel à la diversité de points de vue qui s’expriment dans son parti pourrait laisser entrevoir une lueur d’espoir quand on pense au chemin de la victoire que lui a tracé Gerard Kennedy en lui cédant ses délégués. Kennedy est plus souple, plus près des positions de Lester B. Pearson en matière de fédéralisme coopératif, et de Laurier, pour qui le Canada devait réconcilier et aménager les différences.
Rien qu’à l’entendre dire que ce qui est bon pour Vancouver pouvait aussi l’être pour MOntréal, j’ai quand même de sérieux doutes.
Une nation unie autour du PLC qui est le véhicule de la haute finance, même avec une direction renouvelée, sans un changement de mentalité, ce parti politique ne représente rien de moins qu’un retour en arrière.
Les Québécois sauront-ils enfin discerner où est leur véritable intérêt ? Ils n’auront peut-être plus le choix.
Si Dion peut s’attaquer aux problèmes écologique comme il s’est attaqué à la question constitutionnelle, il y’a peut-être de l’espoir pour la planète.
Je n’aime pas son attitude « smart ass » avec les souvrainistes, il manque énormément de charisme et d’entregens, mais c’est un anti-politicien que je considère incoruptible et pour faire changement, IL SEMBLE AVOIR UNE VRAI VISION !
Tant qu’on fait partie du Canada, on est certainement mieux avec un Dion qu’un Harper.
Harper a un sérieux adversaire et c’est tant mieux car pour l’instant il n’y a rien de plus sérieux.
Vous avez le choix.
Soit vous votez pour Stephen Harper qui se fait familièrement appeler « Steve » par le président de la plus puissante démoncratie du monde.
En passant, si vous trouvez insultant qu’un homme tel que Georges W. Bush soit aussi cavalier avec un homme qu’il devrait avoir la décence d’apperer « sir » ou « mister Harper » devant les journalistes, n’oubliez pas que Tony Blair se fait apostropher avec un « Yo, Blair! » tout aussi affectueux…
Mais, après tout, quand on est l’homme le plus puissant du monde, pourquoi s’embarasser avec la politesse ou la diplomatie? Et pourquoi faudrait-il qu’un chef de parti Républicain ait de la classe? Richard Nixon, ça, c’était de la classe, non? Ben oui, et il était dans la même situation que l’actuel président États-Unien: en train de se foutre dans le pétrin en prétendant que tout va Vietnamement bien en Irak… alors que le président Jordanien (chef d’un pays arabe allié d’Israël) dit carrément que le Liban, l’Irak et l’Afghanistan sont au bord de la guerre civile. Comme dirait la poète de l’Hexagone en 1968 : « Tell us again about freedom and democracy. » Yeah, baby!
Soit vous votez pour Stéphane Dion, qui se fait demander par Jean Chrétien s’il peut l’appeler « Steve »… Wow! Ça, si c’est pas l’équivalent politique du « baiser de Judas » ou « le baiser de la femme araignée », si vous préférez le cinéma; qu’on me dise que la marde goûte le chocolat!
Franchement, recevoir l’appui d’un homme qui symbolise la « crosse à ciel ouvert impunie », je ne crois pas vraiment que ce soit comme recevoir « l’appui d’un ami ». Surtout si cet ami est un politicien fini… qui se comporte exactement comme son mentor avant, pendant et après sa carrière politique.
Wow! même au fédéral, il y a des belle-mères qui donnent le goût de divorcer. lol Et Dion est tellement perdu dans ses illusions victoriennes, depuis cet élection surréaliste, qu’il considère la sortie de monsieur Chrétien comme une bénédiction…
Wake up, man!!!
Dion a joué profil bas durant la campagne et laissé Ignatieff se mettre le pied dans la bouche. Moi aussi, je suis aussi surprise que vous mais je fais confiance à son intelligence. Le manque de charisme et la froideur ne veulent rien dire. On a élu un québécois, n’est-ce pas mieux qu’un anglophone qui joue la carte cool auprès des francophones?Donnons-lui une chance et cessons de le comparer à Pet.