Je découvre aujourd'hui qu'il y a plus d'une semaine que j'ai la tague. Personne ne me l'a dit… C'est M. Hélicoptère TVA Maxime Landry qui me l'a refilé ici. Et c'est Dominic Arpin qui m'a expliqué qu'il circulait à travers la blogosphère un jeu de la tague. Le concept: celui qui a la tague doit dévoiler cinq choses inconnues à propos de lui-même, et ensuite refiler la tague à cinq autres blogueurs…
Jouons. D'abord, les cinq choses inconnues:
1. Je me suis moqué comme tout le monde de l'hélicoptère de TVA, mais au fond de moi-même j'aimerais bien y passer mes journées…
2. Dans mes rares temps libres, j'apprends à chanter des chansons compliquées à chanter. Ainsi, je connais par coeur We Didn't Start The Fire de Billy Joel et Lose Yourself d'Eminem.
3. Je traverse ma crise de la trentaine.
4. Pour m'aider à cesser de fumer, je me suis procuré un petit gadget qui bipe pour m'indiquer qu'il est l'heure d'en griller une. Actuellement, je fume une cigarette chaque 109 minutes. Et l'intervalle augmente chaque jour. Dans 14 jours, si tout va bien, j'aurai cessé de fumer et je pourrai faire des pubs comme Mireille Deyglun.
5. Je travaille depuis trois semaines avec certaines personnes dont je ne connais pas encore le prénom. Résultat: j'ai perdu cette immunité diplomatique non-écrite qui permet à un nouveau de s'informer du prénom de ses collègues sans passer pour un cave. Maintenant, il est trop tard. Shame on me
Et maintenant, je refile la tague à…
1. Fanny, qui un jour trouvera un homme qui voudra la mariner.
2. Cécile Gladel, qui me tuerait sur-le-champ si j'écrivais ici qu'elle soufflera bientôt quarante bougies. Oups.
3. Dompierre, qui vient de vendre son Petit pas pour l'homme à la Corée du Sud. Bravo! Faudrait bien que je le lise un jour son bouquin, d'ailleurs.
4. Charles Bolduc, l'auteur des Perruches sont cuites, qui a passé la soirée de mardi à La Quincaillerie à nous dire qu'il ne voulait pas trop ébruiter son existence de blogueur. Re-Oups.
5. Les Moquettes Coquettes. Simple prétexte pour vous avouer que je trouve l'une de ces moquettes particulièrement coquette…
*
Tiens, 109 minutes d'écoulées déjà. L'heure du bâton de goudron a sonné…
Le concours de Dompierre, ça vaut le coup d’oeil!
Le reste du site aussi, mais ça, c’est une autres histoire… 😉
Merci!
🙂
Parce que j’aime faire des lapsus littéraire insignifiant.
A un blogue aussi intéressant que son dernier livre.
Ce qui est plaisant avec un commentaire comme ça, c’est qu’on ne sait pas si c’est une vacherie ou un compliment tant qu’on a pas lu le livre et cliquer sur le blogue en question.
En fait, je l’avoue tout de suite il s’agit tout simplement d’un « compliment à retardement ». La principale caractéristique des compliments à retardements, c’est qu’ils explosent comme un bourgeon à l’arrivé du printemps.
Bref, monsieur Proulx, tout ça pour dire que c’est votre plus belle « entrée » du mois de janvier. J’espère que je ne serai pas le seul à le remarquer… 😉 Les blogues journalistiques aussi généreux qu’intéressant, c’est plutôt rare! (ben oui, pas le choix d’être téteux quand on est envahissant, les États-Unis devrait comprendre ça pourtant…)
Je vais le faire, promis.
Faut juste que je trouve des secrets avouables qui ne conduisent pas en prison.
C’est presque aussi pire que d’avoir 30 ans, 12 jours après moi hein Steve ?… Moi au moins je ne traverse pas de crise 😉
Je vais attendre que Stéphane Dompierre avoue ses secrets pour avouer les miens comme ça je pourrais copier 🙂 À presque l’âge-que-je-vais-avoir-mais-que-je-ne-veux-pas répéter-car-cela-fera-plaisir-à-Steve, on ne fait pas de crises mais on a des problèmes de mémoire…
J’avais déjà fait ce petit jeu à la fin décembre, mais bon, visiblement, tu n’avais pas lu et puis, ça me donnera la chance d’avouer des trucs encore plus croustillants!
Tu l’auras voulu…
À toi d’aller les lire maintenant, lover boy!
Je l’avais dit qu’à cause de mon grand âge je copierai Stéphane Dompierre. Voilà donc…
J’attends maintenant que Steve me le présente 🙂
Ah, mais t’es un parfait salaud ! Tu as traîtreusement retourné la pierre sous laquelle mes cafards intérieurs grouillaient discrètement, et maintenant ils se retrouvent au grand jour, éblouis, cocus..
Soit, j’accepte la game, puisque tu me mets devant le fait accompli. Mes cinq machins sont également prêts ; ne manque que la moquette pour compléter le tableau.
Nous acceptons avec joie de relever le défi! Avec cinq vérités à dévoiler, ça ne fait qu’une seule par Moquette. Disons que ce n’est pas trop compromettant… En voici donc une en bonus: chaque moquette espère secrètement être la coquette de Steve Proulx.
Marie-Hélène des Moquettes Coquettes