Après avoir tenu une conférence de presse annonçant le Nouvel Ordre Télévisuel selon l'Évangile Quebecor, Pierre Karl Péladeau fait volte-face…
Grand soupir de soulagement dans l'industrie de la télévision: Quebecor Media a finalement décidé de reprendre le versement de ses contributions mensuelles au Fonds canadien de télévision.
Que l’avenir de la télévision soit à la merci des caprices et des ambitons monétaires d’un seul homme en dit long sur
l’état lamentable de ce médium de communication au Québec…
Et c’est ce médium qui couvrira de la façon la plus visible,la plus spectaculaire,la prochaine élection,
au Québec.
Vite,tous aux abris!!!
J’ai de la difficulté à comprendre les moindres tenants de cette histoire de pouvoir, mais une chose me saute aux yeux, un homme d’affaires veut imposer sa notion de qualité en faisant des menaces (fort de sa proposition de mettre 11 millions de plus mais dépensé à sa manière) et cette notion de qualité est en relation directe avec le « comment ça rapporte ? ».
Il n’y aurait pas dû y avoir de volte-face, car ce cranage de la part d’un … rebelle, aurait dû être tué dans l’oeuf. Qui sait … peut-être que son père lui-même l’aurait traité de voyou ! Morale de cette histoire ; l’argent n’achète pas tout.
Ce Péladeau. Déjà qu’il est le principal pouvoyeur de cochonneries insignifiante et bas de gamme. Mais comment le blâmer quand il ne fait qu’offrir de ce que le bon peuple demande. Business is business.
Mais qu’il vienne faire sa scène de contributeur brimé en refusant de verser l’argent qu’il prend sur MA FACTURE de câble pour le fonds canadiens afin de financer sa programmation de dollorama !
Ce ne serait pas nouveau de voir l’argent que je verse servir à financer du bois mort et autres bonus de rendement. Parlez-en à la gouverneur générale, qui au moins à le mérite de ne pas nous imposer ses performances médiatiques.
Péladeau nous prends sûrement pour des imbéciles, théories certainement renforcées par les côtes d’écoute de ses productions minables. Encore une fois. comment le blâmer ?
Sur une planète de zombie, c’est la larve qui régale.
Ou quand un syndicat empêche ses membres de travailler, qu’il fait de la désinformation et joue de mauvaise foi. L’art de négocier d’excellentes conditions de travail tout en faisant en sorte qu’il n’y ait pas de travail! With friends like these, who needs enemies?
À qui profite la désertion des majors à Montréal?
Pour ça, j’imagine qu’il faut aller voir sur le site de la commission des relations du travail.