Tout journaliste expérimente un jour ou l'autre le merveilleux monde de la coquille. Mal retranscrire un nom,
ça arrive. Parfois, cependant, on dépasse le stade de la simple coquille…
Prenez ce texte (de couverture) de la dernière édition du magazine Voilà!
Dans le même article, à cinq reprises, la journaliste donne au comédien Pierre-François Legendre le nom de François-Pierre Legendre. Une inversion, ça arrive à tout de monde. Sauf que dans un des cas, elle va jusqu'à le baptiser François-Pierre Gendron. Là, ça commence à être un peu gênant!
Merci à Antoine pour la piste…
Que voulez-vous, c’est difficile les noms composés. C’est vraiment ce qu’on appelle une « collaboration spéciale ».
Y a aussi quand les coquilles se ramassent dans le gros titre de la une:
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