Selon le Top 5 de l'actualité (les nouvelles les plus "lourdes" de la semaine dernière selon Influence communication), les regrets de Brian Mulroney pour avoir accepté la valise pleine d'argent de Karlheinz Schreiber arrive en 3e place.
Or, mystérieusement, alors que le Journal de Montréal et le Journal de Québec contribuent généralement à environ 30% de la couverture écrite à propos d'un sujet, cette fois "l'apport des deux quotidiens s'est limité à seulement 10%" selon Influence.
En d'autres mots, le Journal de Montréal et le Journal de Québec ont parlé du bout des lèvres de cette histoire.
Je ne veux pas échafauder de grandes théories du complot, mais relevons toutefois quelques faits…
-Qui a porté les regrets de Brian Mulroney dans les médias? Luc Lavoie.
-Qui est aussi le vice-président exécutif, Affaires corporatives chez Quebecor Inc.? Luc Lavoie.
-Qui est le président du conseil d'administration de Quebecor World Inc.? Brian Mulroney.
-Qui est Quebecor Inc.? Le propriétaire du Journal de Montréal.
J'imagine qu'il s'agit d'un hasard complet que les tourments actuels de M. Mulroney soient si peu couverts par le Journal de Montréal et le Journal de Québec. On n'en fera pas une histoire nationale, après tout…
Eh oui! N’en faisons pas une affaire nationale!
Mais n’oublions pas de remuer et de tripoter nos méninges!
Il n’y a pas nécessairement un gros complot. Il y a pire que cela! Il y a une logique institutionnelle et structurelle qui fait en sorte que les filtrages se font toujours de manière telle que certains intérêts ne soient pas trop perturbés ou dérangés.
Ce ne sont pas des Luc Lavoie qui vont garantir une bonne information! Cela, j’en suis certain.
JSB
Cette situation, comme tant d’autres qui nous parviennent ayant trait à cette convergence contre laquelle on se sent bien impuissant, est affligeante.
Je ne suis pas certaine qu’il faille en parler avec tant de cynisme. Je me sens, souvent, totalement démunie devant ces géants qui nuisent à la qualité de notre information et, partant, à notre capacité de nous penser collectivement.
Bien sûr, je privilégie les publications indépendantes. Je fuis pour ainsi dire tout ce qui concerne de près ou de loin Quebecor… Mais pour une personne comme moi, combien se contentent des bribes d’informations qu’ils sélectionnent et de leur télévision
populiste ? Sans parler d’un certain hebdomadaire qu’il convient désormais d’appeler par son nom : un Publi-Reportage…
J’ignore tout de la chose journalistique. Je n’en suis que consommatrice. Je ne sais qu’une chose : plus que jamais, au lieu de se contenter du cynisme, il faut rester vigilant, et avoir conscience que le récit journalistique repose, comme tous les autres, sur des choix, intéressés de surcroît.
Un cas patent de mémoire sélective.
Tout comme la mémoire sera aussi très sélective, j’en suis certain, lorsque viendra le temps de diffuser le vidéo promotionnel (oups ! ) le documentaire sur feu Pierre Péladeau au réseau TVA (propriété de Quebecor World, qui ne va pas très bien non plus sur la place de la Bourse à NYC, en passant).
J’imagine qu’on n’oubliera de dire comment s’est fondé le JdeM et au détriment de quel(s) journaux le grand timonier (euh, le grand pionnier !) du journalisme jaune à Montréal à éclipser le Montréal Matin (comme dans Québec Matin toujours lock-outé et bientôt obligé de passer à des moyens de pression moins civilisés et plus musclés parce que le monde n’a pas de mémoire dans la province du « Je me souviens pus de rien »).
Dommage que dans la Belle Province, on oublie si rapidement que ce sont deux grèves quasi simultanées (à la Presse et à Radio-Canada) qui a donné toute la lattitude requise au bon Pierre, pour s’asseoir sur une caisse de bière et bâtir un empire que le plus brillant de ses fils va finir par entièrement démolir (morceaux par morceaux) parce qu’il s’entoure de gros tata comme Luc Lavoie qui, non content de jouer les porte-voix de BM se met à faire croire au monde, en plus, qu’il était en plus un porteux de valises du p’tit gars de Baie Comeau !
Ayoye…
En passant, monsieur Baribeau, vous qui étudiez les médias, comment avez vous trouvé ma performance de vendredi dernier sur les ondes de Maisonneuve à l’écoute ?
Pas pire, hein, pour un tit-Q de Hochelaga de Maisonneuve que son prof de Droit de secondaire IV appelait Wayne Gretzky (parce que la commission scolaire lui interdisait de donner des notes parfaites) ?
Moi, sur une échelle de 1 à 10, pour parler dans un language de sondages que j’ai pratiqué pendant 7 ans de malheurs pour la luck, je me donnerais 10 sur 10.
10 sur 10 comme 5 sur 5 avec monsieur Bougeaons quand il répond en différé au question du public… 😉
Eh, monsieur, j’ai 34 ans et déjà 16 d’expérience en politique active… pas pire, non ? Je ne sais pas si ça fait de moi un maître ou un docteur en la matière… mais pour planter un appel dans une ligne ouverte, y’a vraiment pas mieux que moé ! Surtout quand je le fais pour la première fois à mon compte, juste pour fourrer le chien comme du monde dans les hautes sphères de la dactylographie démocratique ou les dictées sont toujours bien transcrites dans les grandes Assemblée.
Que celle-ci soit National (comme dans bureau de relations publiques) ou que celles-ci soient communes, comme dans la Chambre des Communes. Une chabre à coucher comme pas une.
D’ailleurs, j’ai toujours pensé une chose dans toutes mes années de sondages et de politique combinées : « J’aurai toujours plus de resptect pour la dernière des putes que pour le premier des ministre. »
Et mon humble opinion n’a toujours pas changé avec les années.
Car dans le mot député, il y a le son pute, et ce n’est pas un hasard si on l’entend si bien en cette joyeuse fin d’année.
Bon, c’est plate à dire, mais j’aimerais bien aller jouer au gofl avec la balle qu’a offerte Jean Chrétien à TLMEP afin de tirer une couple de balles de golf près de l’Auberge de Grand-Mère…
UN CONFLIT D’INTÉRÊT DE PLUS
Le monde du travail cache de nombreux conflits d’intérêts. Que ce soit dans le secteur public ou privé et cet exemple le démontre bien, on tente toujours à tirer profit d’une situation et on cherche à protéger les siens avant tout. Brian Mulroney a déjà empoché quelques millions de dollars avec une aventure du genre et les conclusions de celle-ci ne devraient pas manquer à lui rapporter à nouveau un important magot.
On a beaucoup cité la convergence dans le domaine de l’information, mais les conflits d’intérêts ont toujours régné et démontrent bien, comment notre société est remplie de tribus bienveillantes. On se regroupe, se monte des barricades et attention à celui qui cherchera à attaquer les têtes dirigeantes. On risque de se brûler tout simplement et passer son tour, lorsqu’un poste intéressant devient accessible. Vous n’êtes pas de la famille, sanguine ou élargie, alors dehors.
Et de toute façon, on a déjà tout entendu à propos de cet ancien premier ministre. La nouvelle trouverait-elle de nombreux preneurs tout en favorisant la vente de ces quotidiens? Permettez-moi de croire que le sujet est saturé et que la désillusion est suffisamment importante, pour avoir besoin de se ventiler un peu de toute cette magouille corrompue.
La preuve que Brian avait besoin de cet argent pour joindre les deux bouts est que Ben a été élevé au Hot Dog!!! Dans une entrevue émouvante à Flash cette semaine il a dit que ce qu’il lui manquait de montréal depuis qu’il est à Toronto sont les « steamés » et les « toastés ». Pas la poutine au foie gras, non les roteux!
On n’en fera pas une histoire nationale.
Non, on va en faire une histoire internationale en commençant par la Suisse.
http://www.cyberpresse.ca/article/20071127/CPACTUALITES/71127262/6488/CPACTUALITES
Cet homme-clé, ce nouvel élément-surprise qu’est Monsieur Pellosi, ce fameux complice dont la Justice canadienne a besoin pour corroborer les dires de Shreiber tout en salissant la réputation de ce dernier « maintient que l’homme d’affaires germano-canadien a refusé de lui verser «sa part» des commissions obtenues de compagnies allemandes pour son rôle d’intermédiaire dans différents contrats internationaux, incluant la vente d’avions Airbus et d’hélicoptères au Canada. «Je lui ai proposé de régler ça sans faire de vagues. Mais il n’a pas voulu», relate M. Pelossi, qui a cessé sa collaboration avec M. Schreiber en 1991. »
En 1991 !!! T’imagine, Steve ! On est en 2007, 16 ans plus tard dans les « Maritimes », et la GRC – malgré le fait qu’elle a ce témoignage dans les mains depuis tout ce temps – maintenant qu’ils ont arrêté Schreiber, il n’y a pas un seul « chrétien » pour commander la réouverture de l’enquête ou traîner tout ce beau gratin là, tous ces gras-dur du pot-de-vin devant les tribunaux pour malversation, abus de confiance et de pouvoir, entre autres chefs d’accusation possibles !!
Wow ! On voit à quel point le pouvoir Judiciaire est « indépendant » du pouvoir Législatif/Exéxécutif au Canada… Et le troisième pouvoir, dans tout ça ? Ben, on dirait qu’elle fait sa job la supposée « putain de la rue St-Jacques »…
Enfin, la vie est remplie de hasards, Steve. Et c’est bien comme ça. « Le hasard fait bien les choses », comme on dit.
« On dit aussi que les requins se mangent entre eux », aussi.
Et on dit également que la foudre ne tombe pas deux fois au même endroit. Faux. L’odeur de la corruption, la très forte présomption de culpabilité commande de plus en plus l’ouverture d’un beau procès, comme dans Franz Kafka. Et Brian Murlroney y sera en joyeux Joseph K. a se demander pourquoi on vient frapper à sa porte un matin, lui qui faisait rire ses petits chums de la chambre de commerce pas plus tard que la semaine dernière … et qui, encore récemment quand j’étais au salon du livre, donnait des autographes en faisant semblant de sourire dans la barbe qu’il rase tous les matins pour se penser big shot.
Mais tu sais ce qu’on dit, mon Brian, chez les arnaqueurs professionnels qui fuckent le chien avec la Balabushka* qu’on leur a prêté pour se faire séché les dents devant le monde : « parfois, quand tu gagnes, en fait tu perds ; et quand tu perds, en fait, tu gagnes, buddy ». The Color of Money.
Si j’étais toi, ti-cul, j’irais me le louer. Et j’inviterais ton fils à le regarder aussi afin qu’il ne devienne pas un crook comme toé pour nourrir sa belle Mila et tout le reste de sa famille.
* http://www.balabushkapoolcues.com/
Pauvre toé. Tu commences à sentir la soupe chaude bien assis sur la bolle en train de lire la Grosse Presse… et tu te demandes encore comment on fait disparaître une autre preuve… mais une preuve vivante, tu ne peux pas l’éliminer comme tu veux. Surtout si elle prend un beau bain de soleil en Suisse, mon ti-pit.
Oui, je ne suis pas Jean Chrétien, Steve. Oui, je ne suis personne pour appeler la police. Oui, c’est vrai, c’est seulement un endroit ou on parle des médias icitte. Oui, c’est « vrai », personne ne lit ton blogue ou n’y participe… mais ça va faire tout un fromage pareil, cette affaire-là, « mon » Steve. Pourquoi ? Parce qu’on a créé de toutes pièces le pays fictif que l’on appelle le Canada (et que les MicMacs appellent Ac’nada dans leur langue Algonquine) en le fondant sur un scandale Conservateur orchestré par Sir John A. McDonald à travers le financement occulte du parti et les contrats gouvernementaux accordés au Candadien National par son ministre des travaux publics de l’époque.
Ainsi, non seulement le Canada est un pays ridicule qui porte l’expression algonquine « Je ne comprends pas » comme nom de famille, mais en plus ce pays a été fondé sur les bases du premier scandale du Transport. Le même gars qui a fait pendre le métis Louis Riel au Manitoba, et qui avait fait dire et qui fera écrire Wilfrid « silvertongue » Laurier cela dans son journal « blog personnel » – le Canadien (journal de l’époque), il écrit, lui aussi en novembre (mais en 1885, 20 ans seulement après la création de la Confédération et à 122 ans de distance d’ici), ainsi, il dira, au lendemain de la pendaison de Riel :
« La race et la religion sont sur le point de dominer la politique au Canada. Pas la justice, pas la liberté, la race et la religion. Un gouffre séparera nos deux peuples. »
http://history.cbc.ca/history/?MIval=EpisContent&series_id=1&episode_id=10&chapter_id=3&page_id=1&lang=F
Steve, nous sommes au bord du gouffre. Mais un gouffre qui nous mènera à la création d’un « nouveau pays » qui attend de célébrer sa fête Capitale en grand depuis Samuel de Champlain, depuis la fondation de la ville de Québec, depuis 400 ans déjà.
Oui, tout comme Honoré Mercier sera, en son temps, j’aimerais célébrer et encourager l’existence d’un « nouveau » parti : le parti National, l’ancêtre spirituel de l’Union nationale de Duplessis… dont l’actuel héritier est Mario Dumont de l’Action Démocratique du Québec.
Le problème, c’est que Dumont est en cheville avec Harper dans son combat politique populiste et opportuniste.
http://www.cyberpresse.ca/article/20071127/CPACTUALITES/71126266/1019/CPACTUALITES
Enfin, cela étant dit, si les manigances de Schreiber pour le compte de Airbus ont été capable de faire chuter le gouvernement Chrétien-Démocrate de Helmut Kohl en Allemagne, pourquoi ne menacerait-elle pas l’avance de l’ADQ et du PCC de Dumont et Harper EN MÊME TEMPS, dans les sondages, hum ?
Comment ? Après tout, indirectement le gouvernement Harper est impliqué dans cette affaire internationale puisque le ministre actuel de la Défense Nationale du Canada est Peter Gordon McKay
http://www.forces.gc.ca/site/home_f.asp
et que le père du Peter Pan du ministère de l’Offesive militaire en Afghanistan est LE TRÈS INFLUENT Elmer Mckay.
http://www.cyberpresse.ca/article/20071115/CPACTUALITES/711150802/1019/CPACTUALITES
Eh oui, « M. Schreiber avait accepté de verser 300 000$ en espèces à M. Mulroney pour l’aider à établir une usine de pâte alimentaire en Ontario et une usine militaire en Nouvelle-Écosse. Durant les années des conservateurs au pouvoir, M. Schreiber a pris soin de cultiver aussi ses relations avec ELMER MacKay, ministre influent de la Nouvelle-Écosse qui est le père de l’actuel ministre de la Défense, Peter MacKay. »
Le fun continue ici, mon cher Steve :
http://www2.parl.gc.ca/HousePublications/Publication.aspx?DocId=2332842&Language=F&Mode=1&Parl=36&Ses=1
Ce n’est pas tout. Ce scandale potentiel ne concerne pas que les Conservateurs de Harper, il concerne un ancien gouvernement Libéral qui a fourré le chien lors de l’expropriation des paysans afin de créer l’éléphant blanc de Mirabel. Et j’ai nommé l’honorable Marc Lalonde (l’homme qui aimait se sentir Montréalais avant même d’être Québécois ou Canadien dans les pages de Cité Libre, un moment donné), Marc Lalonde étant l’ancien ministre qui affirme qu’il serait prêt à verser une nouvelle caution pour obtenir la libération de l’homme d’affaires controversé germano-canadien Karlheinz Schreiber. Rappelons également au passage qui était M. Lalonde : un ministre influent dans l’ancien gouvernement libéral de Pierre Trudeau, a déjà versé une caution de 100 000$ pour aider M. Schreiber à recouvrer la liberté dans le passé.
Moi, Steve, quand je vois tout ça, j’aime ce type de déclaration rapporté par les journaux de Gesca… supposément près du pouvoir libéral fédéral…
http://www.cyberpresse.ca/article/20071116/CPACTUALITES/711160777/5155/CPACTUALITES
Et pour ceux qui pensent, chez les ti-namis péquistes, que je déVIAraille en disant cela, j’aimerais porter à leur attention que lors de la pendaison de Riel, « à Montréal, La Presse se prononce en faveur de l’indépendance de la province » suite à la réaction populaire.
À méditer. Car, après tout, le big boss de la Presse, c’est qui ? Ceux qui la font, ceux qui l’enrichissent de leur compétences transversales, bref, ceux QUI LA LISENT.
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post-criptum en forme de post-mortem :
Pour tous ceux qui pensent que je suis trop sévère et irrespecteux envers le petit gars de Baie Comeau dans cette missive, j’aimerais rappelé à ces plorines de Sénat ceci :
«On lui adressa une pétition, signée par plus d’un million cinq cent mille Canadiens-Français, lui demandant d’être miséricordieux et de commuer la peine. Il ne fit pas la moindre attention à cette pressante supplique.
«Cet homme qui est époux et père, apprit que la vieille mère de Riel était écrasée par le chagrin et les angoisses; que sa jeune femme, sur le point de donner le jour à son troisième enfant, avait le coeur brisé, et se mourait de chagrin, de désespoir; que ses deux petits enfants demandaient leur père. Ce tigre à face humaine resta sourd à toutes les supplications.
«Ce Ministre de la Couronne britannique, qui se montrait insensible aux appels, à la clémence, à la pitié, au pardon et à l’humanité, écoutait la voix satanique d’une haine odieuse et malfaisante, et, le 16 novembre 1885, pour venger la mort de Thomas Scott, un scélérat, il se faisait le bourreau de Louis David Riel, l’héroïque métis canadien-français, dont le seul crime avait été un trop ardent amour pour son pays, et dont le dernier souffle fut une suprême invocation et une prière au Dieu de ses croyances. »
Steve, ceci n’est pas un commentaire comme les autres. Ceci n’est pas même une leçon de journalisme. Non, il s’agit simplement d’un truc que m’a appris The Punisher : « He who does not punish evil commands it to be done. » « Si vis pacem, para bellum / Si tu veux la paix, prépare la guerre. »
Mais puisqu’on se parle entre « Steve », Steve, je préfère cite Steve Rogers (alias Captain America) :
« I’m loyal to nothing, General.. except the Dream. » – After an army general confronts him about his loyalty, Daredevil #233
Une idée de film pour la nouvelle année 2008 pour Hollywood ? Pourquoi pas la baser sur ça : http://en.wikipedia.org/wiki/Captain_America
« Captain America is the alter ego of Steve Rogers,[3] a sickly young man who was given enhanced strength and reflexes by an experimental serum in order to aid the United States war effort. Some have drawn parallels between the Super-Soldier Serum and the steroid scandals of today.[4] Captain America wears a costume that utilizes an American flag motif, and is armed with an indestructible shield that can be thrown as a weapon.
An intentionally patriotic creation who was often depicted fighting the Axis powers of World War II, Captain America was Timely’s most popular character during World War II. After the war ended, the character’s popularity waned and he disappeared by the 1950s aside from an ill-fated revival in 1953. Captain America was reintroduced during the Silver Age of comics when he was revived from suspended animation by the superhero team The Avengers in Avengers #4 (March 1964). Since then, Captain America has often led the team, as well as starring in his own series. Steve Rogers was killed in Captain America vol. 5, #25 (March 2007), although the Captain America series continues publication.[5] »
Cette fois, j’ai une question pour vous, monsieur Proulx.
Comment se fait-il que PERSONNE parmi les journalistes francophones ne soulèvent la question troublante reliée à l’une des révélations de monsieur Mulroney voulant que l’une des journalistes principales reliée à la resurgence de cette affaire (Stevie Cameron) était en fait un agent infiltré de la GRC ? C’est ce que j’ai entendu au à CBC Newsworld suite à une question du doyen du comité d’éthique, en plus !
Alors, je me demande une affaire : pourquoi CBC Newsworld interview immédiatement McIntyre de Fifth Estate suite au témoignage diffusé en direct alors que TOUS les autres journalistes ne font rien de cette info – ne serait-ce que pour nier ou déboulonner cette accusation extrêmement grave !!??
Je vais le répéter en d’autres mots : une journaliste est accusée publiquement par un ancien premier ministre (avec une formation d’avocat en plus !) d’être à la solde ou sur le payroll de la plus haute police canadienne ?
Et personne ne réagit ?!
Sacrament, moi, je me demande comment BM peut affirmé une chose pareille sans :
a) se faire accuser de diffamation par la principale interessée ;
b) lui-même exprimé son intention de poursuivre la dame en question suite à ses démêlés avec le comité d’éthique des Communes ;
c) qu’un seul journaliste ne fasse la lumière sur cette histoire tout aussi peu crédible que le reste du témoignage de Brian Murloney.
Franchement, je suis perplexe. Qui dort au gas, ICI ??
Tiens, est-ce que ce n’est pas moi qui disait que PKP était dans la marde ?
Quebecor World pourrait faire faillite tellement il a des problèmes en Bourse.
Merci beaucoup de me traiter de devin, Steve.
Luc Lavoie, le plus fidèle des petits soldats de l’empire Quebecor, et grand ami de Patrick Lagacé (pointe