Une belle leçon sur les vertus de l’indifférence !
Merci.
En tous cas, Moisson Montréal ont un très bon porte-parole.
Y aura-t-il plus de dons de denrées périssables pour autant ? J’en doute.
Il est plus facile de s’indigner en achetant le journal ou en prenant le taxi qu’en essayant d’aider le monde qui sont trop pauvres pour se payer le luxe de détester la télévision qu’il ne pourront – les pauvres ! – jamais s’acheter. snif !
Dire que si les itinérants savaient lire, écouter la télévision, ils seraient tellement plus heureux, tsé… un peu comme quelqu’un qui s’en va se faire humilier au Banquier, par exemple, afin de devenir riche au lieu d’être heureux simplement de ce qu’il possède déjà.
—
En passant, le film sur Dédé Fortin, l’auteur de passe-moé la puck et je vais compter des buts va sortir bientôt.
Je n’irai pas le VOIR, je ne vais pas acheter des albums des colocs non plus.
Je vais donner 20$ à un tout-nu dans la rue qui va avoir assez de souffle pour m’envoyer chier quand je parle au téléphone cellulaire sur la rue Ste-Catherine.
La rue Ste-Catherine, là où les églises sont remplies de fidèles qui ne voient même pas le bon dieu dans la rue lorsqu’il passe devant eux.
Mais la façade revampé de l’église St-James est belle en câlice, par contre !
Félicitation !
Le bon dieu dans le ciel est fier de votre générosité.
Comme dirait Jordi qui se faisait exploité par son père pour des pinottes sonnantes et trébuchantes, dur dur d’être un chrétien aujourd’hui…
Quel génie, c’était tout calculé d’avance! lol
Mercier se sera mieux tiré d’affaire que les deux pseudo-comédiens de Novem, ben bon pour lui. C’est ça la différence entre un artiste et une vedette.
Avard ira-t-il quêter dans le métro?
Je me souviens d’une époque où RBO disait, dans Ça rend rap, que :
« un musicien du métro qui ne joue pas faux, ça c’est rare ».
C’était au milieu des années 80, si je me souviens bien. C’était les débuts dur rap également et je regardais Erbie Hancock faire du jazz avec des mannequins jouant des instruments de musique. C’étais l’époque du sythétiseur, de la new wave en conserve avec du spray net dans les cheveux.
Alors, Avard va-t-il se retrouver à quêter dans le métro ?
Avec l’ATSA, en tous ca, il a quêter sur la place Émilie Gamelin pour sauver les laissez pour compte déjà évoqué à l’époque de Jean Narrache.
Le problème avec Avard, c’est qu’il a laissé sa place à Pierre Falardeau dans le ICI.
C’est le seul reproche que je pourrais lui faire parce que, au fond, si je suis encore capable d’écrire aujourd’hui… c’est peut-être parce que j’étais entouré de Bougon dans ma jeunesse d’hier… et d’aujourd’hui.
—
En parlant de grand disparu, la dernière fois que j’ai été au Salon du Livre de Montréal, j’ai vu et entendu une discussion ouverte au public entre Maxime-Olivier Moutier et la super star de la littérature de la radio de Radio-Canada (je ne le nomme pas parce qu’il manque d’humilité même s’il fait semblant d’être pince sans rire).
Je m’ennuie encore de MOM, de ces livres, de ces sorties public à Christiane Charette – alors qu’elle était au petit écran – mais, j’ai été mangé au McDonald sur le plateau Mont-Royal en allant visiter ma mère… et je comprends pourquoi il ne nous écrit pas souvent.
Et ça, c’est dommage pour la littérature québécoise, moi je dis, mais pas vraiment pour la misère humaine qui a besoin de guérir.
Bref, rien n’est simple dans la vie… même quand on aime passionnément ceux qui parlent en public et qui sont de notre génération.
Ou devrais-je dire de notre dé-génération.
Car, des fois, pas tout le temps, j’ai l’impression que la génération de nos parents se rappellent moins que leurs enfants comment on vivait au Québec au sortir de la Seconde Guerre mondiale.
Et c’est la raison pour laquelle mon grand-père d’occasion, c’est parfois Jacques Languirand.
On ne me téléphone pas.
On ne m’offre pas de la bouffe.
On donne généreusement ou me traite de gros cave, moi je dis.
Une belle leçon sur les vertus de l’indifférence !
Merci.
En tous cas, Moisson Montréal ont un très bon porte-parole.
Y aura-t-il plus de dons de denrées périssables pour autant ? J’en doute.
Il est plus facile de s’indigner en achetant le journal ou en prenant le taxi qu’en essayant d’aider le monde qui sont trop pauvres pour se payer le luxe de détester la télévision qu’il ne pourront – les pauvres ! – jamais s’acheter. snif !
Dire que si les itinérants savaient lire, écouter la télévision, ils seraient tellement plus heureux, tsé… un peu comme quelqu’un qui s’en va se faire humilier au Banquier, par exemple, afin de devenir riche au lieu d’être heureux simplement de ce qu’il possède déjà.
—
En passant, le film sur Dédé Fortin, l’auteur de passe-moé la puck et je vais compter des buts va sortir bientôt.
Je n’irai pas le VOIR, je ne vais pas acheter des albums des colocs non plus.
Je vais donner 20$ à un tout-nu dans la rue qui va avoir assez de souffle pour m’envoyer chier quand je parle au téléphone cellulaire sur la rue Ste-Catherine.
La rue Ste-Catherine, là où les églises sont remplies de fidèles qui ne voient même pas le bon dieu dans la rue lorsqu’il passe devant eux.
Mais la façade revampé de l’église St-James est belle en câlice, par contre !
Félicitation !
Le bon dieu dans le ciel est fier de votre générosité.
Comme dirait Jordi qui se faisait exploité par son père pour des pinottes sonnantes et trébuchantes, dur dur d’être un chrétien aujourd’hui…
Quel génie, c’était tout calculé d’avance! lol
Mercier se sera mieux tiré d’affaire que les deux pseudo-comédiens de Novem, ben bon pour lui. C’est ça la différence entre un artiste et une vedette.
Avard ira-t-il quêter dans le métro?
Je me souviens d’une époque où RBO disait, dans Ça rend rap, que :
« un musicien du métro qui ne joue pas faux, ça c’est rare ».
C’était au milieu des années 80, si je me souviens bien. C’était les débuts dur rap également et je regardais Erbie Hancock faire du jazz avec des mannequins jouant des instruments de musique. C’étais l’époque du sythétiseur, de la new wave en conserve avec du spray net dans les cheveux.
Alors, Avard va-t-il se retrouver à quêter dans le métro ?
Avec l’ATSA, en tous ca, il a quêter sur la place Émilie Gamelin pour sauver les laissez pour compte déjà évoqué à l’époque de Jean Narrache.
Le problème avec Avard, c’est qu’il a laissé sa place à Pierre Falardeau dans le ICI.
C’est le seul reproche que je pourrais lui faire parce que, au fond, si je suis encore capable d’écrire aujourd’hui… c’est peut-être parce que j’étais entouré de Bougon dans ma jeunesse d’hier… et d’aujourd’hui.
—
En parlant de grand disparu, la dernière fois que j’ai été au Salon du Livre de Montréal, j’ai vu et entendu une discussion ouverte au public entre Maxime-Olivier Moutier et la super star de la littérature de la radio de Radio-Canada (je ne le nomme pas parce qu’il manque d’humilité même s’il fait semblant d’être pince sans rire).
Je m’ennuie encore de MOM, de ces livres, de ces sorties public à Christiane Charette – alors qu’elle était au petit écran – mais, j’ai été mangé au McDonald sur le plateau Mont-Royal en allant visiter ma mère… et je comprends pourquoi il ne nous écrit pas souvent.
Et ça, c’est dommage pour la littérature québécoise, moi je dis, mais pas vraiment pour la misère humaine qui a besoin de guérir.
Bref, rien n’est simple dans la vie… même quand on aime passionnément ceux qui parlent en public et qui sont de notre génération.
Ou devrais-je dire de notre dé-génération.
Car, des fois, pas tout le temps, j’ai l’impression que la génération de nos parents se rappellent moins que leurs enfants comment on vivait au Québec au sortir de la Seconde Guerre mondiale.
Et c’est la raison pour laquelle mon grand-père d’occasion, c’est parfois Jacques Languirand.
On ne me téléphone pas.
On ne m’offre pas de la bouffe.
On donne généreusement ou me traite de gros cave, moi je dis.
😉
savoureux… j’aime ce gars.