C'est cette face là qu'on fait quand on réalise, avec effroi, qu'on est en direct…
Merci à Jean pour la découverte…
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2 commentaires
Say whaaaaaaaaaat ?!!!
Le vidéo est drôle, je l’avoue, mais la phrase finale l’est encore plus :
« Les funérailles de Jean Pelletier ont eu lieu par un froid mordant. Un détail que monsieur Pelletier n’a pu planifier. », dit la commentatrice radio-canadienne en voix off.
De kessé ?!
1) Depuis quand les morts planifie la température qu’il va faire à leur mort ?!
2) Pourquoi le terme « planifier », ICI ? Parce que Jean Pelletier était un tel control freak qu’on le soupçonne d’avoir planifier sa propre mort pour faire avancer le fédéralisme Libéral au pays ???
Décidément, la mort de Jean Pelletier nous rappelle la sombre époque où on jouait beaucoup à « Jean dit » au Canada.
Jean Pelletier prenait le téléphone et disait à Jean Chrétien quoi dire.
Et vogue la galère pendant 13 ans.
13 ans de « soft dictature » selon les mots même d’un journaliste du ROC.
Et là, on a droit aux larmes de crocodile de Coderre, de Dion, de Chrétien et même d’Ignatieff – le politicien supposément étranger à toutes les magouilles et les crosse que les Libéraux ont passés au Québec et au ROC pour conserver le pouvoir – dans un bulletin de nouvelles qu’on dit équilibré.
Elle est où la version objective du topo de la vie et l’oeuvre de Jean Pelletier ?
Dans le témoignage de celui qui a sorti les Nordiques de Québec du Québec ?
Dans le témoignage de l’ancien ou du nouveau maire de Québec ?
On me reprochera certainement de manquer de respect au mort, c’est la mode en ce moment de se rappeler à quel point le Canada est extraordinaire quand un bon canadien errant se fait tuer en Afghanistan.
Misère…
C’est incroyable.
Parfois il vaut mieux être sourd que d’entendre certains trucs sortir de la bouche de reporter ou de lecteurs-tristes de nouvelles radio-canadenadiens.
Le beau Jean Chrétien qui disait en pleine caméra ne pas parler anglais lors de son retour pour la formation de la coalition – main dans la main avec Ed Broadbent, l’ancien cocu de PET – et qui, en plus, lorsqu’il faisait de la politique appelait ce réseau « RDOui », joue maintenant les « plorines de Sénat » pour les obsèques du grand homme…
Pousse mais pousse égal, tsé !
Finalement, monsieur Proulx, nous ne sommes en direct avec RDI, on est en reprise, en ce moment !
Et on nous fabrique une belle « nouvelle funéraire » dans la plus belle tradition de la « fabrication du consentement ».
Oh, oui, pour être une vraie perle, c’est une vraie perle celle-là !
C’est plus qu’un blooper, c’est un lapsus dans la plus belle tradition radio-canadienne.
Une tradition qui s’est établie sur la réalisation de topos formidables et d’enquêtes de fond respectables sur les us et coutumes de tous les peuples du monde entier… mais quand il s’agit de mettre à jour la gammick fédérale, alors, là… on attend Fifth Estate, W5, CTV ou le Bloc Québécois.
Vous vouliez VOIR les limites d’un média d’État, elles sont là : dans son incapacité de faire la critique de ses propres chefs d’États – officiels ou officieux.
Quand j’ai vu ça en direct, je me suis dit « oh, pas l’fun pour elle ça ». Mais elle s’est bien repris, n’en a pas fait un plat. Vaut mieux en rire qu’en pleurer!
Say whaaaaaaaaaat ?!!!
Le vidéo est drôle, je l’avoue, mais la phrase finale l’est encore plus :
« Les funérailles de Jean Pelletier ont eu lieu par un froid mordant. Un détail que monsieur Pelletier n’a pu planifier. », dit la commentatrice radio-canadienne en voix off.
De kessé ?!
1) Depuis quand les morts planifie la température qu’il va faire à leur mort ?!
2) Pourquoi le terme « planifier », ICI ? Parce que Jean Pelletier était un tel control freak qu’on le soupçonne d’avoir planifier sa propre mort pour faire avancer le fédéralisme Libéral au pays ???
Décidément, la mort de Jean Pelletier nous rappelle la sombre époque où on jouait beaucoup à « Jean dit » au Canada.
Jean Pelletier prenait le téléphone et disait à Jean Chrétien quoi dire.
Et vogue la galère pendant 13 ans.
13 ans de « soft dictature » selon les mots même d’un journaliste du ROC.
Et là, on a droit aux larmes de crocodile de Coderre, de Dion, de Chrétien et même d’Ignatieff – le politicien supposément étranger à toutes les magouilles et les crosse que les Libéraux ont passés au Québec et au ROC pour conserver le pouvoir – dans un bulletin de nouvelles qu’on dit équilibré.
Elle est où la version objective du topo de la vie et l’oeuvre de Jean Pelletier ?
Dans le témoignage de celui qui a sorti les Nordiques de Québec du Québec ?
Dans le témoignage de l’ancien ou du nouveau maire de Québec ?
On me reprochera certainement de manquer de respect au mort, c’est la mode en ce moment de se rappeler à quel point le Canada est extraordinaire quand un bon canadien errant se fait tuer en Afghanistan.
Misère…
C’est incroyable.
Parfois il vaut mieux être sourd que d’entendre certains trucs sortir de la bouche de reporter ou de lecteurs-tristes de nouvelles radio-canadenadiens.
Le beau Jean Chrétien qui disait en pleine caméra ne pas parler anglais lors de son retour pour la formation de la coalition – main dans la main avec Ed Broadbent, l’ancien cocu de PET – et qui, en plus, lorsqu’il faisait de la politique appelait ce réseau « RDOui », joue maintenant les « plorines de Sénat » pour les obsèques du grand homme…
Pousse mais pousse égal, tsé !
Finalement, monsieur Proulx, nous ne sommes en direct avec RDI, on est en reprise, en ce moment !
Et on nous fabrique une belle « nouvelle funéraire » dans la plus belle tradition de la « fabrication du consentement ».
Oh, oui, pour être une vraie perle, c’est une vraie perle celle-là !
C’est plus qu’un blooper, c’est un lapsus dans la plus belle tradition radio-canadienne.
Une tradition qui s’est établie sur la réalisation de topos formidables et d’enquêtes de fond respectables sur les us et coutumes de tous les peuples du monde entier… mais quand il s’agit de mettre à jour la gammick fédérale, alors, là… on attend Fifth Estate, W5, CTV ou le Bloc Québécois.
Vous vouliez VOIR les limites d’un média d’État, elles sont là : dans son incapacité de faire la critique de ses propres chefs d’États – officiels ou officieux.
Quand j’ai vu ça en direct, je me suis dit « oh, pas l’fun pour elle ça ». Mais elle s’est bien repris, n’en a pas fait un plat. Vaut mieux en rire qu’en pleurer!