…Il poursuivra ses collaborations au Journal de Montréal. Voici le message qu'il affiche présentement sur son profil Facebook:
Certaines personnes m'ont demandé si j'allais poursuivre ma
collaboration au Journal de Montréal. La réponse est OUI, peu importe
la grève ou le lock-out. On m'a assez mis dans la face que je n'avais
pas d'affaires dans la chose publique sous prétexte que je n'étais pas
un journaliste! Et bien, croyez-moi que cette fois-ci, je ne suis pas
un journaliste et je vais poursuivre ma chronique avec beaucoup
d'enthousiasme et aussi longtemps que le Journal voudra me garder.Pourquoi? Parce que j'aime communiquer avec les gens et que le véhicule
privilégié du Journal de Montréal me convient à merveille.Quant au conflit entre la partie syndicale et patronale, je n'en
retiens que peu de choses puisque je ne suis pas au fait des détails
des négociations. Mais entendre un porte-parole syndical dire qu'il
s'agit ici d'un "Journal de Merde", et bien le tout me laisse perplexe.
Dans notre monde actuel, la sécurité d'emploi n'existe plus. Au moins
pour ma génération où l'excellence et le dépassement de soi sont des
valeurs obligatoires et que je partage.Voilà pour mon opinion, aussi brève soit-elle.
Stéphane Gendron
Collaborateur spécial – Journal de Montréal
Alors, je mets à jour de la liste…
Ceux qui sont partis:
- Jacques Demers est parti à cause du lock-out.
- Martin Brodeur aussi.
- L'avocat Julius Grey a signé sa dernière chronique fin décembre.
- Marie-France Bazzo a laissé tomber sa chronique (pour cause d’«horaire chargé», selon Quebecor).
- Geneviève Lefebvre
- Daniel Green (dont j'avais prévu le départ à 82%)
Ceux qui persistent et signent:
- Richard Martineau
- Stéphane Gendron
À suivre…
Stéphane Gendron devrait s’acheter la biographie de Pierre Bourque au lieu d’aller insulter les 6 députés qui ont été élus sous la bannière de l’ADQ en plus de méprisé tous les électeurs qui ont voter pour eux.
Pourquoi ?
Parce que si l’opportuniste qu’il est comprenait le moindrement le parti qu’il cherche a diriger quand tout ira mieux pour monsieur, il comprendrait que la lutte contre les clauses orphelins et les contrats abusivement favorables pour l’employeur sont a la base du parti, lorsqu’il fut fondé il y a 15 ans.
De plus, le parti de Dumont a autant besoin d’une guidoune comme Gendron autant que le Québec a besoin
d’une autre tempête de verglas.
Bref, monsieur peut « chroniquer » autant qu’il le veut, il restera celui qui voulait être la recrue vedette d’André Boisclair alors que l’ADQ se debrouillait très bien sans lui.
Gendron reste au JdeM ?
Raison de plus pour dire que le quotidien est dans la merde et que les syndiqués ont raison de se défendre.
l’excellence et le dépassement de soi sont des valeurs obligatoires et que je partage.
Laissez-moi rire.
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Stéphane Gendron, la Sarah Palin du Québec.
Pourquoi pas??
Je suis loin d’être un fan de Stephan Gendron, ni de Richard Martineau d’ailleurs. Par contre, je crois que leur commentaire, quoi quelque peu ironique, porte à réfléchir. Au risque de me faire tirer des roches, les syndicats doivent revoir leur fonctionnement. Le temps des coups forts et des propos injurieux sans valeur ajoutés ne portent plus. Les journaux s’effondrent l’un après les autres. Ne serait-il pas plus pertinent de faire un compromis afin de conserver son travail que j’aime? Il me semble que la réflexion doit se faire.
Bonne chance pareil à tous ces travailleurs.
À moins que j’ai mal compris, je crois que Facal reste aussi, non?
Hyper déçue, suis-je.
Tiens, ça me donne le goût de relire Germinal et d’aller faire un voyage en Chine, tout ça…
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Puisque vous êtes de plus en plus nombreux à vous exprimer sur les différents sujets de ce blogue, j