RueFrontenac.com, le site Internet de nouvelles des syndiqués en lock-out du Journal de Montréal est officiellement en ligne. Et on peut déjà y lire une petite nouvelle exclusive sur la situation au quotidien gratuit 24 Heures:
Un membre de la rédaction du quotidien gratuit 24 heures,
propriété de Quebecor Média, scab malgré lui, a pris la décision de
quitter le journal après avoir appris que le fruit de son travail avait
été utilisé à son insu par Le Journal de Montréal, en lock-out.«Je me suis senti coincé. Je me suis senti mal à l'aise quand j'ai réalisé que Le Journal de Montréal avait utilisé une partie de ma production illégalement. Moi, j'étais à l'emploi du 24 heures. Je n'étais pas à l'emploi du Journal de Montréal. Il y a d'autres de mes confrères de travail qui se posent des questions et
qui n'aiment pas ce qu'ils voient en ce moment», a-t-il confié à RueFrontenac.com.
Une autre bonne raison pour lire le Métro !
Ben voilà!
C’est ça le fond du problème
Vingt ans après la sortie de Plamondon sur les droits d’auteur, rien n’est réglé.
Droit de propriété, droit d’auteur, c’est ça que vise Péladeau
Dans ses journaux imprimés et ensuite, sur le web,ce sera nous les prochains, pourquoi pas, the sky ‘s the limit!!!
Et le gouvernement? Quel gouvernement? Il y aurait un gouvernement à Québec? Savait pas, pas au courant!!
Voyez-vous ce qui s’en vient?
Martineau, allo!,es-tu là??
Tu « piges » tu??
Il n’y a ni gouvernement à Québec ni à Ottawa.
Il n’y a que l’économie, en ce moment.
Et la dictature de l’actualité…
On vit une époque formidable…
http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5jhUDLqWlUbZKD3MqwmQq17ESV0jw
un bel exemple d’errance de la part des élus
la non-collaboration avec le JdeM en lock-out
Le porte-parole de la FPJQ a un problème avec cette initiative et il a raison.
Ce n’est pas au députés du PQ, du PLQ ou de l’ADQ de prendre position ou de faire des pressions sur Quebecor Medias.
C’est à la ministre ou aux ministres responsables des dossiers directement concernés par le conflit de réagir de manière appropriée.
Couper une source d’information au public, c’est ouvrir un dangereux précédent alors que de transmettre un message positif pour les grévistes du JdeM à travers les « cadres » qui remplacent les employés en conflit, cela m’apparaît une meilleure stratégie.
D’ailleurs, à quand une position claire des autorités du PLQ en ce qui concerne ce conflit de travail ?
Y a-t-il quelqu’un quelque part qui se sent responsable de la crise économique actuelle en ce qui concerne Québécor Médias (à travers l’acquisition de Vidéotron avec le soutien de la SGF, par exemple).
Et que dire du ministère qui s’occupe de la ligne directrice du CRTC lorsque vient le temps de partager la tarte des revenus du Fond pour la télévision, récemment augmenté par le dernier budget Flaherty ?
Bref, y a-t-il quelqu’un qui a un poste de DÉCISION qui a le goût de présenter un moyen de conciliation ou, à tout le moins, une explicaiton concernant ce conflit de travail ?
Pourquoi Rogers communications n’éprouvent pas les même problèmes en ce moment ? Et Canwest Global ?
Est-ce seulement dû à une philosophie d’entreprise particulière ou est-ce un signe avant-coureur de ce qui s’en vient dans le domaine des médias à la grandeur du pays ?
Si oui, on a des solutions ou simplement le goût de gérer la crise à distance, à la va comme je te pousse, mon Johnny ?