Montréal, 18 janvier 2010 – J’ai pris l’habitude, il y a un an ou deux, d’écrire sur un bout de papier une sorte d’appréciation des livres que je termine. Et je glisse le bout de papier à l’intérieur du livre.
Je me dis qu’à ma mort, celui ou celle à qui je léguerai ma bibliothèque appréciera la lecture de ces petits mots. Ou peut-être pas.
Bref, en attendant, je vous partagerai ici, de temps en temps, les notes appréciatives de mes derniers livres lus.
Justement, je viens de terminer De l’eau pour les éléphants, de Sara Gruen. C’est mon intérêt pour le monde forain qui m’a poussé à acquérir ce livre voilà quelques mois.
Voici ma note…
« Voici un livre que j’aurais aimé écrire. J’ai beaucoup apprécié la qualité de la recherche historique. L’auteure réussit à nous faire entrer dans le ventre d’un cirque de l’époque Barnum. J’ai adoré m’y plonger. Or, si j’ai apprécié l’histoire d’amour entre les deux personnages principaux, un jeune vétérinaire et une dresseuse de chevaux, j’aurais peut-être apprécié que l’on découvre davantage le cirque, les artistes. L’auteure a choisi de faire l’économie des personnages, j’aurais par contre aimé en rencontrer quelques-uns de plus… »