Me revoici me revoilà, frais et dispos. Je me suis ennuyé un peu de mon bureau enseveli sous les livres, mais 2 semaines loin d'un portable et d'une souris, ça fait du bien, y a pas à dire. Évidemment, je n'ai pas pu m'empêcher de glisser quelque titres dans mes bagages… Faut pas trop m'en demander. Entre autres, le nouveau Nina Bouraoui, sur lequel je devrais publier un papier cette semaine, et Istanbul – Souvenirs d'une ville, ce récit qui fait revivre la ville natale de l'immense écrivain Orhan Pamuk, Nobel de littérature 2006. Sur le ton de l'anecdote et de la naïveté retrouvée, Pamuk raconte son enfance dans les rues d'une cité qui n'est plus ce qu'elle a déjà été, mais dont les splendeurs décrépies et le Bosphore indolent ont encore des accents de grandeur et de magie. Une belle lecture d'été, tiens.
Moi qui pensais que je lirais une pile de livre cet été, j’ai pris congé de la lecture…presque. Je me suis procuré tes ouvrages de poésie. C’est eux que j’ouvre quand je ne peins pas. C’est inspirant…
Lecture d’été parfaite.
Bon retour