Je ne sais pas si Alexandre Bolduc est étudiant en littérature, mais je trouve qu'il a préparé ses lectures d'été avec beaucoup de soin.
Pour cet été, je me suis monté un petit bloc de lecture sur ces auteurs anglophones qu'on oublie trop souvent. Certains en traductions, d'autres en originaux, selon ce que j'ai pu dénicher…
Le Monde de Barney de Mordecai Richler, Les Fiancées de la Main de Gail Scott, Laisse couler de Mavis Gallant et City of Forgetting de Robert Majzels.
Aussi, j'ai enfin réussi à mettre la main sur Poèmes 1, une des premières oeuvres de Suzanne Jacob, une auteure que j'affectionne particulièrement. J'ai bien hâte de voir à quoi ressemble l'écriture de Jacob dans le genre poétique.
Concernant la poésie de Suzanne Jacob, Alexandre, tu ne seras pas déçu à mon avis.
***
Ma journée de demain est bouffée par mon double et ses activités francofolles, mais je me promets d'établir, dès jeudi, des petits recoupements dans vos nombreuses réactions à ma question du 27 juillet. A+
De mon côté, je relis les essais fabuleux de l’intellectuel québécois André Belleau, dont j’attends avec impatience une édition en livre de poche. Que font ses éditeurs? Ses bouquins sont quasi introuvables dans le commerce…
Je lis aussi les biographies des chanteurs William Sheller et Georges Moustaki.
Je relis Verlaine. Survole la revue Urbania.
Et l’été, pour moi, c’est synonyme de Colette. Dès qu’il fait beau, je me dis toujours: « Tiens, il fait Colette ». Et je sors ses nouvelles.
Je souhaite une soirée énergisante à ton double ! Et j’envie tous les spectateurs qui ont la chance d’aller voir Carnets d’apesanteur.