Le 30 janvier, chez Olivieri, l'écrivain Rawi Hage s'entretiendra devant public avec Michel Vézina. Rappelons que son très beau roman Parfum de poussière (Alto) figure actuellement parmi les titres finalistes du Prix des libraires 2008. À 19h. Info: 514 739-3639.
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1 commentaire
Je suis bien d’accord avec Michel Vézina pour reconnaître la qualité du roman de Rawi Hage sur la guerre civile au Liban. L’auteur présente ce conflit du point de vue de deux jeunes hommes qui vivent au jour le jour les inconvénients d’un pays en guerre. Cependant, je trouve que La Danse d’Issam de Paule Noyart sur le même sujet est un roman beaucoup plus achevé. En fait, Parfum de poussière n’est pas un roman, mais une chronique. Je trouve aussi curieux que les libraires québécois s’apprêtent à couronner une oeuvre anglaise, traduite non sans certaines erreurs grammaticales. Par exemple, la traductrice ne connaît pas l’accord du participe suivi d’un infinitif. Comme pour le gala de l’ADISQ, on est prêt à faire une place à nos frères anglophones. Soit! Il va falloir maintenant avoir d’autres prix pour couronner les oeuvres des francophones.
Je suis bien d’accord avec Michel Vézina pour reconnaître la qualité du roman de Rawi Hage sur la guerre civile au Liban. L’auteur présente ce conflit du point de vue de deux jeunes hommes qui vivent au jour le jour les inconvénients d’un pays en guerre. Cependant, je trouve que La Danse d’Issam de Paule Noyart sur le même sujet est un roman beaucoup plus achevé. En fait, Parfum de poussière n’est pas un roman, mais une chronique. Je trouve aussi curieux que les libraires québécois s’apprêtent à couronner une oeuvre anglaise, traduite non sans certaines erreurs grammaticales. Par exemple, la traductrice ne connaît pas l’accord du participe suivi d’un infinitif. Comme pour le gala de l’ADISQ, on est prêt à faire une place à nos frères anglophones. Soit! Il va falloir maintenant avoir d’autres prix pour couronner les oeuvres des francophones.