Pour les intéressés, voici un bout de la fameuse conférence de presse récemment tenue par Victor-Lévy Beaulieu, chez lui à Trois-Pistoles:
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3 commentaires
Le désarrioi que vous exprimez déborde largement les frontières de votre univers si riche, celui d’un citoyen profondément enraciné dans sa tere natale et qui le prolonge par-delà l’horizon pointant par la croisée de sa fenêtre dans des personnages qui nous ressemblent tels que nous pourrions être si nous les assumions. Non, vous n’êtes pas le pêcheur solitaire de baleines de Melville. Les poissons rutilants que vous retirez de vos filets, ils nous nourrisent le corps et l’esprit.
Pourtant, il est de ces pêcheurs qui restent sur le quai, mais qui n’en entendent pas moins les appels des sirènes du large. Ceux qui voudraient bien qu’ils le prennent par gros temps espèrent qu’ils se noieront à la première occasion. J’ai pu constater à quel point les adversaires objectifs de ce rêve de pêcher un jour la baleine blanche, celui du l’indépendance, se retrouvent ensemble quand il s’agit de nous décourager d’y rêver.
Je vous remercie pour votre lucidité, mais n’en espère pas moins de votre part ce renoncement pour des victoires espérées prochaines au profit du renforcement de toutes les forces vives qui souhaitent vraiment l’avènement de cette souveraineté du Québec qui ne peut-être wqu’un sautre mot pour désigner l’indépendance essentielle pour mériter le statut de peuple de cette plsanète.
Le désarrioi que vous exprimez déborde largement les frontières de votre univers si riche, celui d’un citoyen profondément enraciné dans sa tere natale et qui le prolonge par-delà l’horizon pointant par la croisée de sa fenêtre dans des personnages qui nous ressemblent tels que nous pourrions être si nous les assumions. Non, vous n’êtes pas le pêcheur solitaire de baleines de Melville. Les poissons rutilants que vous retirez de vos filets, ils nous nourrisent le corps et l’esprit.
Pourtant, il est de ces pêcheurs qui restent sur le quai, mais qui n’en entendent pas moins les appels des sirènes du large. Ceux qui voudraient bien qu’ils le prennent par gros temps espèrent qu’ils se noieront à la première occasion. J’ai pu constater à quel point les adversaires objectifs de ce rêve de pêcher un jour la baleine blanche, celui du l’indépendance, se retrouvent ensemble quand il s’agit de nous décourager d’y rêver.
Je vous remercie pour votre lucidité, mais n’en espère pas moins de votre part ce renoncement pour des victoires espérées prochaines au profit du renforcement de toutes les forces vives qui souhaitent vraiment l’avènement de cette souveraineté du Québec qui ne peut-être wqu’un sautre mot pour désigner l’indépendance essentielle pour mériter le statut de peuple de cette plsanète.
Désolé pour les coqilles de mon billet : MA
Le désarroi que vous exprimez déborde largement les frontières de votre univers si riche, celui d’un citoyen profondément enraciné dans sa terre natale et qui le prolonge par-delà l’horizon pointant par la croisée de sa fenêtre dans des personnages qui nous ressemblent tels que nous pourrions être si nous les assumions. Non, vous n’êtes pas le pêcheur solitaire de baleines de Melville. Les poissons rutilants que vous retirez de vos filets, ils nous nourrissent le corps et l’esprit.
Pourtant, il est de ces pêcheurs qui restent sur le quai, mais qui n’en entendent pas moins les appels des sirènes du large. Ceux qui voudraient bien qu’ils le prennent par gros temps espèrent qu’ils se noieront à la première occasion. J’ai pu constater à quel point les adversaires objectifs de ce rêve de pêcher un jour la baleine blanche, celui de l’indépendance, se retrouvent ensemble quand il s’agit de nous décourager d’y rêver.
Je vous remercie pour votre lucidité, mais n’en espère pas moins de votre part ce renoncement pour des victoires espérées prochaines au profit du renforcement de toutes les forces vives qui souhaitent vraiment l’avènement de cette souveraineté du Québec qui ne peut-être qu’un autre mot pour désigner l’indépendance essentielle pour mériter le statut de peuple de cette planète.
Le désarrioi que vous exprimez déborde largement les frontières de votre univers si riche, celui d’un citoyen profondément enraciné dans sa tere natale et qui le prolonge par-delà l’horizon pointant par la croisée de sa fenêtre dans des personnages qui nous ressemblent tels que nous pourrions être si nous les assumions. Non, vous n’êtes pas le pêcheur solitaire de baleines de Melville. Les poissons rutilants que vous retirez de vos filets, ils nous nourrisent le corps et l’esprit.
Pourtant, il est de ces pêcheurs qui restent sur le quai, mais qui n’en entendent pas moins les appels des sirènes du large. Ceux qui voudraient bien qu’ils le prennent par gros temps espèrent qu’ils se noieront à la première occasion. J’ai pu constater à quel point les adversaires objectifs de ce rêve de pêcher un jour la baleine blanche, celui du l’indépendance, se retrouvent ensemble quand il s’agit de nous décourager d’y rêver.
Je vous remercie pour votre lucidité, mais n’en espère pas moins de votre part ce renoncement pour des victoires espérées prochaines au profit du renforcement de toutes les forces vives qui souhaitent vraiment l’avènement de cette souveraineté du Québec qui ne peut-être wqu’un sautre mot pour désigner l’indépendance essentielle pour mériter le statut de peuple de cette plsanète.
Le désarrioi que vous exprimez déborde largement les frontières de votre univers si riche, celui d’un citoyen profondément enraciné dans sa tere natale et qui le prolonge par-delà l’horizon pointant par la croisée de sa fenêtre dans des personnages qui nous ressemblent tels que nous pourrions être si nous les assumions. Non, vous n’êtes pas le pêcheur solitaire de baleines de Melville. Les poissons rutilants que vous retirez de vos filets, ils nous nourrisent le corps et l’esprit.
Pourtant, il est de ces pêcheurs qui restent sur le quai, mais qui n’en entendent pas moins les appels des sirènes du large. Ceux qui voudraient bien qu’ils le prennent par gros temps espèrent qu’ils se noieront à la première occasion. J’ai pu constater à quel point les adversaires objectifs de ce rêve de pêcher un jour la baleine blanche, celui du l’indépendance, se retrouvent ensemble quand il s’agit de nous décourager d’y rêver.
Je vous remercie pour votre lucidité, mais n’en espère pas moins de votre part ce renoncement pour des victoires espérées prochaines au profit du renforcement de toutes les forces vives qui souhaitent vraiment l’avènement de cette souveraineté du Québec qui ne peut-être wqu’un sautre mot pour désigner l’indépendance essentielle pour mériter le statut de peuple de cette plsanète.
Désolé pour les coqilles de mon billet : MA
Le désarroi que vous exprimez déborde largement les frontières de votre univers si riche, celui d’un citoyen profondément enraciné dans sa terre natale et qui le prolonge par-delà l’horizon pointant par la croisée de sa fenêtre dans des personnages qui nous ressemblent tels que nous pourrions être si nous les assumions. Non, vous n’êtes pas le pêcheur solitaire de baleines de Melville. Les poissons rutilants que vous retirez de vos filets, ils nous nourrissent le corps et l’esprit.
Pourtant, il est de ces pêcheurs qui restent sur le quai, mais qui n’en entendent pas moins les appels des sirènes du large. Ceux qui voudraient bien qu’ils le prennent par gros temps espèrent qu’ils se noieront à la première occasion. J’ai pu constater à quel point les adversaires objectifs de ce rêve de pêcher un jour la baleine blanche, celui de l’indépendance, se retrouvent ensemble quand il s’agit de nous décourager d’y rêver.
Je vous remercie pour votre lucidité, mais n’en espère pas moins de votre part ce renoncement pour des victoires espérées prochaines au profit du renforcement de toutes les forces vives qui souhaitent vraiment l’avènement de cette souveraineté du Québec qui ne peut-être qu’un autre mot pour désigner l’indépendance essentielle pour mériter le statut de peuple de cette planète.