Alain Beuve-Méry, du service livres du journal Le Monde, perçoit un «effet Obama» dans l’attribution des prix Goncourt et Renaudot 2008. Une réflexion que je ne saisis qu’à moitié, mais je vous laisse vous faire votre idée. À entendre ici.
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1 commentaire
La sauce Obama à étendre partout et généreusement juste montrer que l’on connaît la saveur du jour.
Obama, le mot magique pour que l’on tende l’oreille même si on parle de littérature « sérieuse ».
Ça fait un peu marketing. C’est pas nécessaire à mon avis. Mais il y a plus grave dans la vie !
La sauce Obama à étendre partout et généreusement juste montrer que l’on connaît la saveur du jour.
Obama, le mot magique pour que l’on tende l’oreille même si on parle de littérature « sérieuse ».
Ça fait un peu marketing. C’est pas nécessaire à mon avis. Mais il y a plus grave dans la vie !