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Les séparatistes

Mononc’ Serge chante cette semaine le blues des séparatistes et le spleen des péquistes, perdus et désorientés, prêts à se prosterner pour une dernière fois peut-être devant leur nouveau rédempteur antisyndical sorti des pages jaunies du Journal de Montréal.

Une chanson noire qui fait rire jaune.

Et tout ce qu’ils brandissaient comme un drapeau,
Leurs héritiers le traînent comme un fardeau,
Et n’ont qu’une envie: changer de disque,
Ah! Les temps sont durs pour les séparatistes,
Et pendant qu’éclate leur baloune,
Ils quittent l’arène, regardés comme des clowns,
Quand c’est pas comme des fascistes.

Avec Raphaël D’amours au ukulele et aux guitares diverses!