La course électorale est terminée. Stephen Harper a perdu son pari. Battu sur tous les plans par ses adversaires, il doit désormais errer dans la nuit en pleurant. Mononc’ Serge, dans sa chronique en chanson, tente de se mettre dans la peau du politicien déchu. Ce n’est pas facile. De ses yeux coulent les larmes de Stephen Harper.
Entendez-vous dans la prairie l’écho d’un homme qui pleure,
Bout d’ciarge, j’ai mon voyage, on dirait qu’est Stephen Harper,
Remarquez, je l’comprends, moi non plus je s’rais pas consolable
De m’être fait battre par les amis du pot et du niqab.