J’aime Didier Wampas d’amour.
D’un amour viril à la poignée-de-mains-au-début-de-Prédateur-1-entre-Arnold-et-Carl-Weathers, bien sûr, mais d’un amour sincère et profond quand même.
Didier Wampas est un de ses rares individus dont le talent ne connait pas de limites. Un genre d’Émile Proulx-Cloutier, mais en plus fripé. Didier Wampas nous a donné la foi en Dieu – et le rock franchouillard – avec son groupe. Didier Wampas nous aura prévenus des affres de l’électro, Dider Wampas nous aura fait découvrir Marion Cotillard bien avant La Môme et, aujourd’hui, Didier Wampas devient critique de disque et ses recensements sont, ma foi, aussi ludiques qu’intéressants.
De la formation montréalaise Suuns, il dira : « Ça ça a l’air pas mal. Genre suédois ou carrément finlandais, froid quoi. C’est bien. C’est bien ça. C’est de la musique de drogué mais j’aime bien »
La suite sur wampasckuptible.wordpress.com
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En parlant de critique…
Hélène Laurin – dont je parlais dans ma chronique de la semaine dernière et qu’on entendait plus tôt cette semaine à Médium Large – vient de se lancer dans un nouveau projet : Les Fausses Notes. Après son podcast rock, voici un Tumblr qui rassemblera des perles de journalistes culturels. Un exemple? Pourquoi pas…
«Les graffitis frappent un mur»
-Marie-Claude Lortie, La Presse, 2 août 1996, p. A5.
Étant un amateur de jeux de mots particulièrement foireux (d’où mes titres d’articles, en effet), je trépigne déjà!
Photo : site officiel de Didier Wampas / Merci à Simon Chénier pour le clip de Prédateur!