DevilDriver : Retour en images sur le concert avec Death Angel, Winds of Plague et The Agonist (16 février 2017)

Le Corona est une salle géniale, belle et accommodante. La sonorité est toujours cristalline et peu importe où tu te trouves dans la salle, tu réussis toujours à pouvoir avoir une vue splendide sur ce qui se passe sur scène.

Son seul défaut est probablement son emplacement, ce qui se résume à … loin. J’ai remarqué que quelques amateurs de métal se sont mis en mode « démotivation » face à la soirée de DevilDriver en invoquant l’éloignement de la salle en plus de la marche en relation avec l’arrêt du métro.

Ajoutez à tout ça les averses de neige des derniers jours, il était impossible de trouver du stationnement dans les environs du Corona.

Quoiqu’il en soit, Mihaela s’est rendue au concert pour que son objectif puisse s’emplir de luminosité. Ce n’est pas une question de retard si elle n’a pas ramené de photos de Azreal, c’est plutôt que le groupe n’a pu traverser la frontière pour se retrouver au Canada. Est-ce possible qu’ils aient tenté de passer des raisins aux lignes?

The Agonist a toujours droit à un accueil favorable venant de la part de sa ville natale. Malgré une foule plutôt mince, les Montréalais ont fait abstraction de ce détail et ont offert une performance endiablée.

Winds of Plague est un groupe qui a déjà eu le vent dans les voiles. L’avenir se voulait prometteur pour cette troupe mais il semble que le destin ait tourné autrement pour le groupe. Bien motivé face à ce retour, Winds of Plague laissait l’impression de s’être ennuyé de ce contact privilégié avec le public et la formation a bien profité de son temps sur scène.

Le thrash métal de Death Angel venait casser le moule face au métal moderne servi depuis le début de la soirée. Avec aplomb, le groupe a encore prouvé que le métier entre en jeu avec eux. En imposant un standard très élevé, Death Angel a frotté les oreilles de DevilDriver qui devait redoubler d’ardeur par la suite.

Dez Fafara est arrivé sur scène avec une panoplie de nouveaux musiciens. Il ne reste plus que Dez et Mike Spreitzer comme membres originaux, les autres sont apparus sur l’album Trust No One en plus d’avoir un tout nouveau bassiste avec eux, sur cette tournée.

Devant une foule plutôt parsemée, DevilDriver n’a pas semblé s’en faire pour autant. La réputation du groupe n’a pas menti et c’est avec une véritable machine métallique que ce concert s’est terminé!

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