Dix ans que le magazine artistique du mouton noir se pointe le micro couleur banane à chaque événement culturel, jet-set, people… La renommée de la fameuse moumoute jaune est d'ailleurs une fierté pour l'animateur Alain Dumas: "Le micro jaune est maintenant connu à travers le monde des télécommunications!" Après avoir tiré les vers du nez à tout ce qui se fait de vedettes ici et ailleurs, quels grands moments retient-on de ces dix ans? Un en particulier. Celui où, lors de la soirée des Oscars, le reporter Herby Moreau a volé des mains de Sydney Poitier la statuette dorée que celui-ci venait de remporter. "Une fois aussi, raconte l'animatrice Patricia Paquin, lors d'une conférence de presse, Tom Hanks est entré, a pris le micro de la reporter Isabelle Racicot et s'est mis à poser des questions pour taquiner sa femme qui était la réalisatrice du film présenté ce jour-là. Tout ça, avec le micro de Flash!" Le micro jaune, on y revient toujours…
Dix ans de Flash, c'est aussi des souvenirs à oublier. "Dans une certaine entrevue, confie Alain Dumas, le comédien Jacques Villeret était tellement bourré qu'à un moment donné, lorsqu'on lui a posé une question, il a hoché la tête; on pensait qu'il s'endormait, mais il a finalement levé difficilement les yeux pour dire à la reporter: "J'vous emmerde!"" Le reportage, qui n'a jamais été diffusé, est une des nombreuses perles qui dorment dans les riches archives de l'émission…
Qu'on aime le genre ou pas, l'âge vénérable de Flash lui confère le statut de monument dans le paysage télévisuel québécois. Rendez-vous quotidien pour environ 600 000 personnes, la machine Flash est bien huilée, possède des contacts partout dans le monde et fait bien moins dans le potinage qu'à ses débuts (sans toutefois être une émission culturelle hermétique, vouée à un public d'initiés). Cette année, en plus des dix ans, on fêtera aussi la 2000e émission. Les reporters Patrick Marsolais, Anne-Marie Withenshaw et Isabelle Racicot reprennent le micro jaune. Le collègue Richard Martineau remplace René Homier-Roy à la chronique cinéma tandis qu'Angelo Cadet se substitue à Herby Moreau, qui est désormais à la barre de Star système (à TVA, le jeudi à 19 h 30). Presque sur le pilote automatique, Flash durera-t-elle un autre 10 ans?
Flash, du lundi au vendredi, 18 h 30, à TQS.
ETC.
Les Disques d'art – Les seins de Louise Forestier et de Diane Dufresne. Robert Charlebois portant un casque de soldat fleuri. Plume Latraverse posant devant un visage de femme maculé de sperme. Ces belles images se sont toutes déjà retrouvées sur des pochettes de disques mémorables. Ce documentaire fascinant retrace l'histoire de cet emballage qui marie l'art à la mercatique. Musimax, 25 septembre, 20 h.
Sans détour – Radio Mogadiscio – Dans les coulisses d'HornAfrik, une radio (et une station de télévision) créée par trois Canadiens d'origine somalienne dans la capitale la plus dangereuse du monde, Mogadiscio (Somalie). Parce que "la vérité est souvent la première victime de la guerre", HornAfrik fait entendre une voix objective et donne la parole à ceux qui n'en ont pas. Une lueur d'espoir dans un pays détruit, anarchique et contrôlé par les seigneurs de la guerre depuis plus de 10 ans. Canal D, 26 septembre, 21 h.
Flash est vraiment la référence depuis 10 ans au niveau des potins et de l’univers de nos vedettes chéries. Leurs sources sont fiables et je ne me rappelle pas une fois où ils ont dû se rétracter. C’est vraiment une de mes émissions fétiches et je n’en rate jamais une. Par contre, je suis un peu déçue que notre Herby national ne soit plus de cette équipe, car il était vraiment mon coup de coeur. Avec lui les vedettes se laissaient aller et je ne crois pas qu’Angelo Cadet y parviendra aussi facilement. Pour ce qui est de sa nouvelle émission, Star Système, je dois dire que j’ai été bien surprise et que j’aime beaucoup la formule. Un nouveau micro dont on entendra beaucoup parler je l’espère et qui fera une petite compétition à la fameuse boule jaune!! Longue vie à nos chéris!!
J’étais la comme auditeur il y a dix ans et j’écoute l’émission régulièrement mais pas à tous les jours. Je me souviens il y a dix ans Patricia Paquin était pas mal gêner et Alain n’avait pas beaucoup plus d’expérience mais ils ont réussi à maintenir le cap et mener à bien cette émission. Ce n’est pas très facile d’être là tous les jours beau temps, mauvais temps et toujours de bonne humeur. Patricia venait de sortir de l’émission » chambre en ville » et c’était pas facile pour nous de l’aimer autant dans ce rôle d’animatrice mais maintenant elle a vraiment gagner ses épaulettes et elle a vraiment trouvé sa place.
Ce sont deux très jeunes animateurs avec une si longue fiche de route c’est vraiment extraordinaire. Chaque fois que j’écoute l’émission c’est surtour pour en savoir un peu plus sur le lancement de disque d’un de mes chanteurs favoris ou pour avoir des détails supplémentaires sur des spectacles qui ont attiré mon attention. Flash c’est vraiment l’émission pour les gens qui aiment bien sortir, voir des films, voir des spectacles et ne rien manquer.
Félicitations à toute l’équipe et encore une fois on se redonne rendez-vous dans 10 ans.
Hé bien, déjà 10 ans.. Félicitations et surprenant
Je ne suis pas de celle qui regarde la télévision assiduement tous les jours mais j’avoue que il m’est arrivé de regarder flash sur l’heure de souper….
Divertissant, amusant, intéressant et surtout complet en ce qui trait des potins du show bizz…
En vous souhaitant un autre 10 ans.
On est loin de chambre en ville avec la belle Patricia Paquin!
Je suis content de voir qu’une émission québécoise, faites par des québécois a su durer 10 années et semble sur une bonne lancée pour continuer.
Par contre ! Je suis tanné que l’on applique les adjectifs « culturels » et « artistiques » à ces émissions. Ce type d’émission, copié sans secret aux Entertainment Tonight et compagnie ne semble pas vouloir s’assumer, contrairement à ses cousins anglophones.
Il ne s’agit pas d’art ici, mais de divertissement pur et simple. Je mets au défi quelqu’un de me convaincre que les tribulations sexuelles d’une « vedette » ou les résultats des ventes d’un disque commercial peuvent être considérés comme des sujets artistiques.
Il est grand temps de commencer à appeller les choses par ce qu’elles sont et ne pas se leurrer sous de faux-acabits afin de paraître plus fin que nous le sommes réellement.
Qui aurait dit il y a des années que ce comique qui nous interprétait ce gentil mécanicien incompréhensible mais combien réaliste serait à la barre d’une émission culturelle légère mais très écoutée . Ne sommes nous pas un peu jaloux ou envieux de ces journalistes qui ont la chance d’approcher le micro jaune banane de comédiens qui sont nos stars .
J’ai quand même été déçu de lire que Jacques Villeret nous emmerdait . Quand on doit notre carrière aux journalistes qui ont parlé de nous il ne faut pas cracher dans la main qui nous a nourrit . Dommage pour ce comédien .
Qui de mieux que Richard Martineau pour remplacer le légendaire René Homier-Roy pour la section cinéma . Avec son franc parler monsieur Martineau nous donnera l’heure juste .
Donc bon peuple vous connaissez l’heure et le poste à synthoniser pour connaître les derniers démêlés de Michelle Richard avec la police de Sherbrooke ou du dernier mariage de Britney Spears . C’est à TQS , le Mouton Noir de la Télé , du lundi au vendredi à 18h30.
Alors ici j’ai la gueule à terre comme on dit, j’ai même pris le temps de relire et les mots sont toujours là, ils me hantent. Flash est maintenant considéré comme un monument dans le paysage télévisuel québécois…
N’en déplaise à Steve Proulx Flash est d’abord et avant tout une émission culturelle selon les normes télévisuelle, oui culturelle mais bien au dela du mot, culturellement québecoise. Cette émission touche en majorité monsieur et madame tout le monde qui en manque de présence à l’heure du souper choisissent de syntoniser TQS. Non mais c’est pas rien de de donner le titre de culture à une émission qui en est majoritairement une à potins, la culture c’est pas du potinage aux dernières nouvelles.
Allons y gaiement dans la réaction, la télé-réalité sur Michèle Richard attirait un peu plus de 800,000 auditeurs et on la décriait comme tant infecte. On parle ici de 600,000 et on l’embrasse gouluement. Prenez en référence l’émission de ce soir, en voici le contenu:
Le spectacle de Claude Dubois au Casino de Montréal;
Le film Les aimants avec Isabelle Blais;
La rentrée montréalaise de la chanteuse Laurence Jalbert;
Patrice Marsolais rencontre l’actrice Selma Blair à Toronto, vedette du film A Dirty Shame.
Si ca c’est de la culture que le grand cric me croque et qu’on m’enlève tout mes bouquins parce que quelqu’un quelque part aura confondu culture et divertissement. Et encore, un divertissement « Made in Québec » au niveau culturel de celui-ci. Celui ou on se limite à endormir la majorité avec ce qui se passe un peu partout mais ou vous n’entendez que rarement parler des classiques littéraires ou autres.
Et vous voyez c’est ca qui est malheureux, on se complait dans nos petites émissions. On adore ce côté culturel fade qui ne demande aucune connaissance afin d’être compris. La culture télévisuelle québecoise devrait être considérée comme un espèce en voie de disparition…
Moi je signe la pétition, et vous.
Jamais, je n’aurai pensé que cette émission télévisée aurait une aussi grande durée et il semble que c’est loin d’être terminé. Il y a beaucoup d’auditeurs pour ce genre d’émissions à potin. Pour ma part, je n’aime pas ce genre d’émission que je juge superficielle et inutile et surtout lordque l’on voit les coûts de production de Flash. Oui, cela côute cher de voir les dérouleemnts de tapis. Je dois avouer que le choix des animateurs est plutôt bizarre aussi mais si les Québécois aiment cela, je ne peux rien y faire. Tous les goûts sont dans la nature.
Ça fait 10 ans que Flash existe. Ça fait 10 ans que je regarde cette émission. Je trouve que le fait de réaliser un Entertainment tonight au Québec était une belle initiative. Par contre, c’est le genre d’émission qui « glamourise » le « star système » du Québec. La preuve que nous avions besoin de ce genre d’émission, sa longévité. Bravo à toute l’équipe !
Belle initiative,que de nous rafraîchir la mémoire ou tout simplement pour nous faire découvrir des pochettes de disques québeçois du temps du vinyle.Moi,j’ai des souvenirs heureux des pochettes cartonnées du disque de Donald Lautrec:. »Fluffy » avec toutes sortes de chats dessinés par Vittorio,d’une pochette de disque de Jacques Michel: »Dieu ne se mange plus…il se fume »…,le titre lui-même fait sourire,et la pochette de disque était dans un sac granole en tissus.Aussi un disque de Marc Hamilton: »Au fond des choses »,au carré très suggestif.Phillippe Gagnon et Dominique Tremblay pour leur disque alluminium de stainless steel…et Jenny Rock pour toute sa discographie.Manière de s’amuser,tout en retrouvant un côté parfois super naïf des années sixties…et vive les Sinners….et Monique Jetté.
Cette émission remplit bien sa mission qui est de faire connaître le monde du spectacle et à travers cela, d’ouvrir sur le monde culturel qui lui sert de décor. Ce n’est pas une émission pour les intellectuels seulement et il est bon qu’il y ait des émissions de ce type pour le grand public. Si on compare cette émission avec d’autres émissions du même genre sur d’autres réseaux, on s’aperçoit qu’elle tire très bien son épingle du jeu. Ce n’est pas une émission spécialisée dans un seul mode d’expression comme elle le serait si elle s’occupait uniquement du livre ou du cinéma. Son approche demeure généraliste et est donc forcément plus superficielle, puisqu’elle se refuse d’approfondir un seul domaine. Comme d’autres commentateurs, je me réjouis de la présence future de Richard Martineau à l’équipe de cette émission, car cela nous indique que l’on y refuse la sclérose et que l’on ne craint pas la controverse. Par ailleurs, il est dommage que des moments de télévision complètement fous comme a pu l’être celui ou Villeret a prononcé le mot de Cambronne entre deux raports de gaz éthilique ne nous soient jamais accesibles. Ces moments de délires comiques purraient être réunis pour en faire une émission complètement hilarante, un menu gastronomique à vous donner le fou rire, un vrai dîner de cons.
Je me souviens de la mise en place de cette émission. Les doutes fusaient: « Avons-nous sufisamment de variétés artistiques au Québec pour avoir une émission quotidienne. Après tout, nous ne sommes pas les États-Unis. » 10 ans plus tard, la réponse est donnée
Je n’ai jamais été un auditeur fidèle de cette émission et je ne l’écoute jamais du début à la fin. Mais pratiquement tout ce que j’y ai vu était de bon goût et de bonne qualité. Cette émission me sert plutôt de petit moment pour m’écraser en attendant que l’eau arrive à ébullition ou lorsque j’ai le cerveau au neutre en rentrant du bureau. Il s’y dégage une bonne humeur et une camaraderie évidente. L’émission a aussi permis à de nombreux reporters de faire une transition professionnelle. Il n’est pas rare d’y voir des transfuges de Musique Plus ou certaines personnes qui se destinent ensuite vers leur propre émission.
Cette émission a le potentiel de devenir une institution comme Entertainment Tonight l’est devenu.
Peu d’émissions québécoises peuvent se targuer de durer aussi longtemps. J’écoute Flash depuis quelques années déjà, car on y couvre plutôt bien l’actualité artistique québécoise. Seule ombre au tableau, je trouve que certains artistes un peu plus ‘underground’ et le domaine de la littérature sont peu ou pas couverts. Mais tout de même, bravo à Flash et continuez votre beau travail!
L’émission Flash, que l’on peut regarder en synthonisant le canal du « Mouton noir » (l’usage d’un français correct recommande la « brebis galeuse » mais ça, c’est une autre histoire…), fête ses 10 années de succès télévisuel. L’émission ne se drape pas dans l’originalité de la formule, elle n’est que la copie conforme de E.T., l’Entertainment Tonight, une sauce bigarrée, et trop souvent vinaigrée, de vedettes américaines, qu’on veut internationales, chassant les éclatantes lumières des caméras qui leur propulsent la binette devant des millions de téléspectateurs qui leur idolâtrent le chignon spraynétisé, la figure botoxisée, la lèvre losiquisée, les seins pamelarisés ou, à défaut d’un corpus grassement charnu, leur lessive le cerveau en leur brassant, dans une eau chloroformée et saupoudrée d’un désinfectant quasi-raciste, des images de vedettes princières à la peau javelisante…Bref, les caméras tournent dans le divertissement superficiel, soporifique et reluqueur.
Ce « remake » de la télé de chez nous continue sa vie de pré-ado (maintenant 10 ans sonnés) en « éclairant » un public friand de nouvelles « zartistiques » et soi-disantes « culturelles ». Ce public ne reçoit que ce qu’il mérite: de l’information mal dirigée, souvent mitigée, des bouts d’interviews mal faits, accrocheurs, « vendeurs de disques, de spectacles, ou carrément de billets », des animateurs qui s’évertuent à poser des questions idiotes, ridicules, « niaiseuses » auquelles ils reçoivent des réponses de même nature ou pires si les vedettes interviewées font dans l’humour, dans la bêtise ou, trop souvent, dans la « niaiserie ».
Ceci est dit sans prétention. Ça se veut juste une simple constatation, soulevée non seulement par moi mais trop souvent par des parents, amis ou connaissances… donc une réaction assez généralisée.
Mais ce genre d’émission populaire est un produit « vendeur »: donc, on le conserve à la grille horaire. Alors « Flashons » sur ces étoiles qui brillent au petit écran de nos vies!
C’est presque toujours par accident que je regarde « Flash ». Après les bulletins télévisés du souper, on dirait qu’il y a un creux d’une demi-heure dans les plages horaires des télé généralistes. Si j’ai encore quelque chose au four et que je cherche à tuer le temps, alors il m’arrive de céder à la tentation du potinage artistique. De mauvais gré, la plupart du temps…
Le printemps dernier, on nous avait promis une refonte de l’émission. Genre nouveau concept et nouveau je-ne-sais-plus-quoi. Mais comment renouveler le genre quand le contenu reste le même: entrevues, plugs, premières, anecdotes et anniversaires de vedettes?! Résultat: le collaborateur Herby Moreau a quitté le navire pour lancer sa propre émission, et le chroniqueur René Homier-Roy laisse sa place à l’omniprésent et talentueux Richard Martineau.
En ce qui concerne le style de l’émission, on a pu noter la disparition de la tribune (comment appeler autrement ce meuble d’appui?) de manière à voir les animateurs debout, sans « protection », devant la caméra, comme c’est le cas dans « Access Hollywood ». Drôle de hasard: dans la nouvelle mouture, Mme Paquin porte une coiffure et une robe décolletée semblables à celles de Nancy O’Dell. Quant au sourire, elle l’avait déjà… Et ils ont conservé le même capuchon de micro, la « moumoute ». L’honneur est sauf…
Mais grâce aux contacts et à l’énergie des artisans, la machine continue à ronronner pour la plus grande tranquillité des fans. Somme toute, c’est tout ce qui compte.
Il ne faut pas se le cacher! Flash est tout simplement le pendant québécois de « Entertainment tonight », qui est aussi populaire aux USA que Flash au Québec! C’est une façon rapide d’en apprendre plus sur les derniers évènements culturels et aussi… sur les potins artistiques. Mais on ne peut pas dire que c’est un concept original. On a vraiment copié la grande soeur américaine. Cela n’enlève toutefois rien à la qualité des animateurs ainsi qu’au succès que récolte cette émission auprès du grand public. En effet, « Flash » confirme l’adage qu’Yvon Deschamps avait sorti dans l’un de ses monologues: « On veut pas le savoir (prononcer « saouair ») on veut le voir (prononcer « ouair ») ».
J’étais certaine que ça ne faisait pas dix ans que cette émission existait. Et bien je m’étais trompée.
J’écoute très rarement cette émission. Par contre, je n’ai rien contre. Paquin et Dumas y forme un bon duo. Je suis même certaine que cette émission dure longtemps, en partie à cause de la crédibilité de ces deux animateurs.
Longue vie à flash!
Et peut-être me laisserais-je tenter par Star Système!
Moi je trouve que l’équipe de Flash nous apporte des nouvelles pertinentes, allant des potins ridicules au plus grandes nouvelles artistiques. Avec une bonne équipe de journalistes, la couvertures médiatiques est complète. Je trouve ça bien que le monde artitisque québécois a une grande place dans ce magazine télé. Au moins, Flash fait des reportages originaux et non pas copiés sur E.T.
En tous cas, j’espère que ça va rester un autre 10 ans, avec une formule qui s’améliore encore!!