OBÈSE CITY
Houston a reçu le titre peu flatteur de "ville la plus lourde aux États-Unis". C'est que près de 60 % de sa population souffre d'un excès de poids. Dans ce documentaire présenté à Sans détour, on tente de comprendre pourquoi. Une des grandes causes serait l'incapacité (ou le refus) des gens de remettre en question leur mode de vie basé sur la bouffe grasse et la sédentarité. Parmi les Homer Simpson rencontrés, une femme énorme, mais alors là hippopotamesque, qui se dit bien dans sa peau même si son volume l'immobilise dans un fauteuil roulant, l'empêche d'attacher ses souliers et l'oblige à dormir avec un masque pour respirer. À Houston, "bigger is better"… Canal D, le dimanche 28 novembre, 21 h.
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ENJEUX – LA RADIO QUI CHOQUE
Depuis l'affaire CHOI FM, on a l'impression d'avoir tout dit sur ces animateurs qui font du rodéo sur le dos large de la liberté d'expression. Malgré tout, l'équipe d'Enjeux amène des pistes de réflexion originales sur le phénomène de la "radio qui choque". Par exemple, y a-t-il deux libertés d'expression, une pour Montréal et une pour les régions? Et la liberté d'expression de Jeff Fillion et des autres philosophes du même acabit nuit-elle à la liberté d'expression de leurs souffre-douleur? L'animateur Alain Gravel rencontre en outre Louis Champagne, la grande gueule du Saguenay, le rival de Fillion à ses débuts derrière le micro. Radio-Canada, le mardi 30 novembre, 21 h.
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PENDANT QUE COURT L'ASSASSIN…
Un meurtre en pleine rue, un jeune poignardé dans l'autobus, une balle perdue. Dans les journaux, on appelle cela les "faits divers". Si l'on oublie rapidement les actes perpétrés par le crime organisé, les victimes, elles, demeurent. Et lorsqu'on doit vivre avec le souvenir d'un fils tué par les motards criminalisés, ou avec les séquelles physiques d'une fusillade, cela prend du courage pour défendre ses droits. Le réalisateur Magnus Isacsson a suivi un groupe de victimes du crime organisé dans leur combat pour réformer la Loi sur l'indemnisation des victimes d'actes criminels. D'ailleurs, saviez-vous que l'indemnité versée aux parents d'un enfant mineur décédé des suites d'un acte criminel est de 2000 $, alors qu'elle est de 42 230 $ pour les victimes d'accidents d'automobiles? Télé-Québec, le jeudi 25 novembre, 21 h.
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ETC.
– Contrairement à l'information largement répandue, Manon, ce documentaire sur le suicide assisté présenté jeudi dernier à Télé-Québec, sera rediffusé. Selon le porte-parole de la chaîne, la prochaine diffusion serait prévue pour le début de 2005. L'histoire de Manon Brunelle a été vue par 301 000 personnes, un auditoire impressionnant, considérant que le film diffusé à cette heure à Télé-Québec attire habituellement quelque 60 000 téléspectateurs.
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– La radio communautaire CIBL (101,5 FM) tient son "marathon de la radio libre" et entend battre un record. Pendant 6 jours, 1000 personnes doivent parler en ondes. L'événement se poursuit jusqu'au vendredi 28 novembre à minuit.
Comment les américains ne peuvent pas être gros?Imaginé le nouveau hamburger de chez Arby’s.. 1400 calories, 104 grames de gras. 3 tranches de fromages, 4 tranches de bacon etc..Un jour ils seront considérés comme les plus gros du monde et cela ne les déranges pas énormément..Ils font des films comme Super Size Me où la mal bouffe rends les gens obèse et malade mais tout cela leurs passe par dessus la tête . Et bien faites à votre tête et continué à grossir et ensuite courez vite pour une liposucsion…
Est-ce qu’au moins les gens qui habitent Houston vont comprendre le message en ayant le titre si peu convoité de la ville la plus obèse??? Il n’y a pas de quoi être fier et je ne crois vraiment pas la dame qui se dit bien dans sa peau malgré son excès de poids. Comment fait-elle pour être bien alors qu’elle ne peut rien faire. Elle est obligée de rester dans son fauteuil à la journée longue et ne peut faire tout ce qu’elle veut et elle ose dire qu’elle s’accepte comme elle est??? Bull shit je ne la crois pas une seule seconde. Il y a des limites je pense et elle les dépasse largement. Cette ville et plusieurs autres devraient songer sérieusement à se prendre en main, car l’obésité commence de plus en plus à gagner du terrain et que l’enjeu peut être mortel.
Ça tombe bien, je viens de voir ce documentaire, la fin de semaine passée (et j’en profite pour le recommander à tous, en dvd de préférence pour les « special features »).
http://www.supersizeme.com
Il y est efficacement démontré comment les jeunes américains ont le cerveau lavé par la publicité agressive, et comment, dans les cafétérias, la malbouffe est mise à l’honneur.
C’est plutôt triste.
C’est un peu l’inverse de la France, où le moindre kilo en surplus se mérite l’opprobe générale et l’ostensible mépris de la majorité (enfin, bref, ça m’avait marquée, pendant les deux mois que j’ai passé chez mes cousins, même si je ne suis pas directement concernée, avec mes 110 lbs).
Comment diable peut-on se mentir au point de prétendre qu’on est bien dans sa peau quand on pèse 600 livres, qu’on est incapable de marcher, de lacer ses chaussures et de respirer ? Mais comment donc peut-on en arriver à croire que vivre ainsi est acceptable ? Le manque de volonté, ce mal chronique, va t-il en arriver à établir de nouvelles normes chez nos voisins ? Et que fait-on des problèmes de santé reliés à l’obésité ? Comment peut-on affirmer qu’on est bien dans sa peau quand on sait qu’on vivra deux fois moins vieux qu’une personne raisonnable ?
On peut fort légitimement s’offusquer de pouvoir de la dictature de la maigreur véhiculée par les magazines, mais banaliser l’obésité ne règlera certainement pas les problèmes de comportement liés à l’alimentation de notre monde occidental. Il va nous falloir apprendre à vivre plus sainement en acceptant de rester dans les normes de notre poids santé. Ceux qui s’exhibent fièrement devant les caméras en faisant l’étalage de leur tonne de bourrelets n’en auront probablement jamais le temps.
D’autre part, il est grand temps de dénoncer cette justice qui laisse totalement démunies les victimes d’actes criminels, ne les aide aucunement à se relever du choc qu’elles ont subi alors que leurs agresseurs ne font que le tiers de leur peine d’emprisonnement et bénéficient de toutes sortes de mesures pour les aider à se réinsérer dans la vie sociale. Si je suis entièrement pour la réinsertion des cas récupérables, je n’en trouve pas moins révoltant que les victimes n’aient pas droit à une aide au moins égale à celle que notre justice offre à leurs tortionnaires ! Mais de toute façon, qu’est donc cette justice qui donne une peine d’emprisonnement avec sursis à un homme coupable d’avoir tué un enfant de deux ans comme dans le cas qui a défrayé les manchettes récemment ?
Houston, Texas, le siège social mondial du pétrole, les sièges les plus larges de l’Amérique, le poids idéal de cinq femmes dans le seul corps d’une femme super obèse, réduite à se déplacer en chaise roulante motorisée et elle affirme être bien dans sa peau, de grâce, elle ne se rend pas compte qu’elle est faite à l’os, condamnée à mourir jeune, exposée dans un cercueuil fabriqué sur mesure et transporté par treize porteurs. Elle sourit sur la photo, mais qui l’a déjà bordée dans son lit, qui a le goût de lui caresser le gras dernière les oreilles, qui oserait lui faire un enfant, qui lui offrirait une ballade dans la boite d’un camion, qui épongerait ses sueurs quand elle tient un verre d’eau, qui lui a fait la cour, si elle est grosse depuis les moqueries de la cour d’école. Quand on est réduit à être une attraction de cirque ou à partager l’environnement d’un éléphant en cage, on doit dans le fond avoir une bien petite estime de soi-même, surtout quand les blues passent pu dans porte. Pour courir de tels risques à végéter sur place, il faut avoir donné sa démission au bonheur et à sa santé, se garocher des kilos de nourriture derrière le gosier, comme une oie gâvée de force, cacher sa silhouette derrière des mètres de tissus à gros motifs fleuris et se comparer à un immense jardin avec autant de paliers qu’on a de mentons superpausés.
La malbouffe est-elle un problème de société ou un problème d’éducation? Je crois que l’obssession d’outre-manger est un déséquilibre émotif et mental. Je vous entends me dire pauvres obèses, lâchez-les! Non la mal bouffe c’est un manque discipline et une recherche de l’auto-destruction qui fait passé le plaisir avant la santé ( comme la drogue et l’alcool).
Pour ce qui est des montants versés aux victimes d’actes criminels, c’est trop peu pour la souffrance engendré et même avec 10 000$ on ne pourrait effacer la peine et la douleur.
Les animateurs Libre-expression dérivés de Pierre Pasco me donnent le goût de protester contre la fermeture de la radio de Radio Canada!
TéléQuébec nous présente un reportage sur les victimes d’actes criminels . On ne le crie pas sur les toits , mais dans la Belle Province les victimes n’ont que peu de droits mais le criminel lui a droit à toutes sortes de thérapies et de soins .
Comme j’ai travaillé en intervention auprès des détenus , laissez moi vous dire que nos bons bandits ont la plainte facile . Il ne faut pas oublier que le pédophile subit un choc en étant incarcéré et qu’il lui faut un soutien psychologique et médicamenteux pour passer au travers . Pas dans trois mois . Tout de suite et çà presse sinon le Protecteur du Citoyen va hurler dans votre téléphone que vous brimez les droits de ce pauvre égaré .
C’est la même chose pour ces récidivistes de l’alcool au volant qui rarement se tuent mais blessent ou mutilent ou assassinent des innocents . La SAAQ va leur payer une belle pension pour qu’ils puissent mener une belle vie et recommencer .
Et les victimes dans tout çà ? Pas grand chose . Elles doivent se débrouiller pour trouver leurs ressources et passer à travers leur calvaire . Je ne sais même pas si elles ont des personnes ressources pour les soutenir . Le criminel qui fait bien pitié a son avocat qui est prêt à accourir à toutes heures du jour pour prodiguer conseils et réconfort . Il a aussi du personnel infirmier qui est à son écoute et n’oublions pas que le spécialiste n’est jamais loin . En somme il y a tout un monde au service du délinquant pour l’aider à passer au travers de sa pénible situation .
Je ne dis pas de couper complètement les services aux criminels mais d’offrir au moins le même genre de service aux victimes et à ses proches .
Ce n’est pas le petit $ 600 ou $ 800 qui ramènera ce jeune qui attendait en ligne alors qu’un motard célébrant ses couleurs tirait dans le tas .
Il y a deux justices au Québec . Une généreuse pour ses criminels et une au compte gouttes pour ses victimes .
À force de nous empiffrer, nous creusons notre tombe.
Il est peut-être encore temps de renverser la tendance au Canada. Un projet de loi interdisant l’utilisation des gras trans dans l’industrie alimentaire est à l’étude. Toutefois, des représentants de l’industrie combattent cette mesure car des sommes importantes devront être investies en recherche et développement. Ou, à tout le moins, les obligera à identifier clairement sur les étiquettes la quantité de gras qui tue.
Les gras trans sont ces produits tels les huiles hydrogénées et les shortenings qui entrent dans la composition de nos aliments préférés. Parce qu’ils leur donnent du goût et agissent comme agent de conservation, ils font leur sale besogne en silence et nous les ignorons. À l’instar de la cigarette, cependant, dont l’usage est en baisse, ces gras, fort répandus sur les rayons des épiceries : croustilles, pâtisseries, céréales, biscuits, crème glacée etc. sont responsables de maladies cardiaques, d’obésité, de diabète et tout le cortège des maladies attribuées à une mauvaise alimentation.
La tendance lourde de l’obésité ne fait pas de ravages qu’aux Etats-Unis. Ici même au Québec, le taux d’obésité chez les enfants est en forte hausse. Espérons seulement que le gouvernement ne se laissera pas dicter son devoir envers notre santé par les multinationales de l’alimentation.
Si on s’en fout aux Etats-Unis, dû au fait que les compagnies d’assurance font de bonnes affaires, peut-être que notre système de soins de santé universel nous préservera d’un fléau qui risque de coûter fort cher à la société dans les années futures.
Déjà certains produits sont exemps de gras trans, il s’agit de les identifier. Afin de changer nos habitudes alimentaires, sans doute nous faudra-t-il aussi prendre le temps de lire les étiquettes pour comparer. Ça complique un peu le marché hebdomadaire mais moins que le pontage coronarien ou le recours permanent à l’insuline.
Houston, ville phare de l’obèse en manque de compréhension. Ville ou tous mangent et tous sourient malgré un mal intérieur qui n’est malheureusement que masquer par l’acceptance de son état.
L’obésité est en quelque sorte un handicap, il limite malheureusement la personne à plusieurs niveaux. Le mot obésité ici pourrait être remplacé par alcoolisme, dépendance affective ou tout autre maladie qui une fois acceptée confirme que ceux-ci choississent de baisser les bras face à l’ennemi.
On peut choisir d’accepter son obésité mais d’aller jusqu’à dire que nous sommes fiers de l’être il y a un monde. Je trouve ces gens très courageux face aux regards injustes des gens mais très tristes sont ceux qui choisissent le mensonge qu’est l’acceptance de la condition.
Quand on choisit d’être bien tout en étant mal est ce vraiment une belle vie, peut être que non mais il faut par contre reconnaitre la force de caractère de ceux-ci.
Houston, c’est vous maintenant qui avez un problème.
On est bien gras et on est fier! Ça devrait être le slogan des États-Unis! Fier d’être pesant, fier d’être des gros épais! Ça doit bien être des fervent de Bush qu’on voit là! Aucune volonté faut dire… Ils sont rendus à se faire venir du McDo tellement ils ne peuvent plus bouger de leur chaise.. et ils ne veulent surtout pas bouger de leur chaise!! Imaginez! Ça leur ferait perdre du poids! 2 livres en moins.. Ils se trouveraient bien trop mince, voire anorexique! Fini le « je suis bien dans ma peau »! Ils ne se reconnaîtraient même plus!!
Ouf….. Pathétique! Je n’imagine même pas leur état de santé! Oh non!! Je ne veux pas imaginer ça! Dire que ça continue encore et encore à engraisser partout dans tous ces états fanatiques de belle bouffe grasse! Dieu merci qu’on ne soit pas aussi épais ici (dans tous les sens du terme)!
Perdu dans l’espace intersidéral… NON!
Perdu dans une mer de calories suringérées, qui sans être vraiment digérées se transforment en tissus adipeux.
Assis devant la télé la « zappette » bien en main, après une bonne journée au bureau devant l’autre écran, pensez aux Esquimaux et à leurs cousins les phoques partageant leur gras pour traverser un autre hiver dur et froid.
Le gras, c’est bon quand on en a besoin…
Houston: 60%
Chicago: 59%
Calgary: 49%
Montréal: …
60% de la population avec surplus de poid, ça nous apprendra à imiter la nature, c’est aujourd’hui que l’éleveur devient bétail! A quel âge l’espérance de vie là-bas, c’est flagrant ce mal avide, cette consommation d’immensité. Parfois la fierté prend des drôles de proportion!!! C’est quoi l’orgueil là-bas, manger plus que le voisin. Qu’il sorte un peu prendre l’air, au lieu de multiplier les mentons! j’imagine que tous ces gastronautes auront bientôt leur tour de contrôle pour aider les vaisseaux sanguins à conquérir l’espace…
Varice sur la lune…
Un petit plat pour l’homme, un grand plat pour l’obésité…
Ce n’est pas qu’il y ait 2 libertés d’expression mais bien que les propos de Jeff Fillion étaient sans fondements, inutiles. Comme certains l’ont dit ‘chier par la bouche’ signifie bien ce qu’il fesait. Dire en pleine radio qu’il voulait violer quelqu’une, insulter un autre sur sa grosseur ou son parlé, franchement … La radio c’est un privilège, pas un droit acquis. Genex avait promis de prendre des mesures et l’ont pas fait, alors qu’ils en subissent les conséquences. Deuxième point, c’est vrai que la différence entre Montréal et Québec est énorme. J’ai trouvé la décision du CRTC un peu lourde mais c’était à eux de prendre une décision pi d’enlever Mr.Fillion des ondes. Si les gens aiment ce genre de ‘bullshit’, tant mieux pour eux, on pourrait pas espèrer mieux d’une ville où on retrouve le café du Tim Horton en première position …
Ensuite, comment voulez vous que les Américains ne soient pas énormes ? Ils bouffent devant la télé, écoutent sit-coms après sit-coms, les enfants sont ‘pluggés’ sur le XBox ou sur le PS2 directement après l’école ! Sans parler des super-méga-hyper trios qu’ils vendent dans leur fastfoods. Carrément épouvantable ! Comme la démontré une nutrionniste à TVA l’autre jour, un trio BigMac contient l’équivalent de 15 tranches de pains, 15 carrés de beurre !! Et le chausson était inclus dans le calcul, fiou … Prenez surtout la portion double pour 49¢ pour être sur de pas en manquer, qui sait ! Ne l’oubliez pas la prochaine fois que vous ammènerez vos enfants chez McDo … Ou encore, après votre entraînement …
Je lis cette chronique pour la première fois et je trouve que c’est une idée brillante! Il est parfois difficile de séparer le bon du très mauvais dans ce qu’on nous propose de voir à la télévision et je profiterai très certainement des bons conseils d’émission qu’on nous fait ici. J’apprécie le fait que vous présentiez ce qui se fait dans différents types de médias. Je me sens bien renseignée et cela me donne envie de m’ouvrir sur un aspect de la culture que je connais moins.
Dans ce que vous nous proposez cette semaine, je suis particulièrement intéressée par l’émission d’Enjeux. Je trouve que ce qui s’est passé à CHOI devrait entraîner un débat de société et il semble que les gens ont cessé d’échanger sur le sujet. J’espère qu’une présentation comme celle que nous offrira Radio-Canada sera en mesure de réveiller les esprits et de stimuler les gens à prendre position par rapport à ce problème important.
Aux USA, tout est fou, c’est bien connu. Dans ce pays où la modération n’a jamais mis les pieds, tous les records y sont battus, glorieux ou pas: fast-food plus nombreux que nulle part ailleurs, chirurgies esthétiques offertes aux adolescentes en cadeau d’anniversaire, quantité affolante d’armes à feu chez la population, budget gargantuesque consacré à l’armée, compétitions d’ingurgitation de pogos et autres hot dogs, et j’en passe.
La liberté d’être (et de faire) a toujours été considérée comme un droit sacré chez les Américains. La revendication de leurs droits et libertés a toujours été pour eux un sport national. « Nous avons le droit de posséder des armes…de nous défendre…d’interdire le mariage gai… » Et avec le temps, de nouveaux droits surgissent: le droit d’être gros, le droit d’être gai, le droit de taper sur le voisin (parce qu’il est gros et gai)…
Bien sûr que les gros ont le droit de l’être. Par contre, ce qu’ils doivent s’abstenir de faire, c’est bien de minimiser l’importance de leur maladie (car c’en est bien une, quand on pèse 625 lbs comme la dame sur la photo). Minimiser l’importance de leur obésité et des conséquences épouvantables qu’elle aura inévitablement dans les années à venir, c’est envoyer un message trompeur et mensonger, voire dangereux aux enfants, aux adolescents, ou encore aux personnes dont le poids est fragile.
Ceci étant dit, les freaks de la minceur avec leur calculette pour additionner le nombre de calories ingérées dans la journée sont tout aussi fous, à mon avis.
Comment faire alors ? Qui croire, qui écouter ? Par qui se laisser influencer ? Par aucun d’entre eux, les amis. Quelques sous d’intelligence, beaucoup de jugeotte, et l’on saisira aisément que revendiquer l’obésité morbide comme étant un droit, ce qui peut nous laisser croire qu’elle n’est pas si néfaste, est non seulement immature, mais aussi carrément dangereux. Je ne suis pas si surprise que l’on ait affaire encore une fois aux USA.
Les États-Uniens ont toujours été obsédés par leur sécurité personnelle, et on pourrait analyser longtemps leur affection pour les armes, sans mettre le doigt sur leurs vraies motivations. De même, comment comprendre cette affection envers les kilos superflus ? La graisse serait devenue une arme défensive, peut-être sert-elle d’armure, ou de symbole pour une nation énergivore et boulimique. C’est comme ça dans leur psyché. Curieux syndrome qui traduit une profonde insécurité. Cette insécurité fait que la perspective de « perdre » ses kilos devient en elle-même menaçante. Les terroristes l’ont bien compris : c’est la peur qui finira par tuer les États-Unis, et la peur a toujours été latente dans leur psyché.
Les états-uniens sont sûrement un des peuples les plus brainwashés. Leur embonpoint a peut-être sa source dans cette attitude à se laisser manipuler. Je ne peux que penser à Bowling for columbine, comment peut-on imaginer qu’une si grande partie de la société ait BESOIN de posséder une arme ?? Il sont conditionnés et avalent tout ce qu’on leur raconte. Probablement la même chose pour la bouffe. Si la télé leur dit qu’ils perdent trop de temps à manger sainement, ils y croient dur comme fer. Si la télé leur dit qu’on peut être bien dans sa peau et peser 500 livres ils y croieront aussi. Si une société est capable de pousser autant de personnes à être aussi paresseux physiquement, imaginez ce qu’elle peut engendrer comme paresseux intellectuels…
Pour couper dans le gras du sujet de l’obésité, il conviendrait il me semble de discerner entre les droits et libertés collectifs de chacun à ne pas se faire offrir malgré soi des ingrédients alimentaires nocifs, et même mortels à terme, du genre de ceux que sont entre autres produits le gras trans d’une part, et les libertés individuelles qui font des victimes parmi celles qui ne l’exercent d’aucune façon leur liberté d’autre part, comme le montrent ces énormes personnes qui ont la chance de se référer à une matière bien élastique pour affirmer sans vergogne qu’elles sont bien dans leur peau. De toutes manière, leur apparence ne fait que donner plus de poids aux arguments de ceux qui réclament des mesures collectives pour combattre ce fléau qu’est l’obésité. La liberté d’expression met en jeu les mêmes distinstions qu’il importe de faire dans le cas de l’obésité et des mesures à prendre pour la contrer. C’est à partir du moment où la liberté d’expresssion d’un animateur brime manifestement celle des autres collectivement parce qu’ils sont attaqués dans une dimension qui les regroupe en tant que tel, comme des infirmes par exemple, que celle-ci est sujette à caution. D’ailleurs, il est un peu bizarre à ce sujet que le seul commentaire qui ait relevé le fait que le motif d’où sont parti les menaces de l’organisme qui réglémente le contenu des ondes, portait sur le non-respect des clauses du contrat, dont entres autres clauses, son contenu francophone, et que depuis ce commentateur se tient coit. Quelle est-donc cette drôle de liberté à laquelle se réfèrent ceux qui défendent CHOI. Les autres forts en gueule d’ailleurs n’ont rien à craidre à ce chapitre il me semble. Au chapitre de la liberté toujours, soulignons qu’une fois de plus, elle ne vient pas des medias ou des émissions à grosses cotes d’écoute, mais de Télé-Québec, du Canal-D et du programme Enjeux de Radio-Canada qui lui fait heureusement exception.
Pendant que la population se regroupre contre les Jeff fillion de ce monde qui utilise leur temps d’antenne pour insulter et rabaisser en se voilant derriere le rempart de la sainte liberté d’expression, protectrice de nos *impartial* médias, on remarque qu’on est plus rapide à défendre nos vedettes que le restant des citoyens dit ordinaires. Pendant qu’on lui sert le même mépris qu’il a semé, on oublie les personne calomniées qui ont été à la base de notre dégout pour ce personnage.
Concernat l’obésité grandissante chez notre population, encore plus frappante chez la jeunesse on doit se rendre compte que c’est plus qu’un problème mineur mais, un mode de vie de société.
Y’en a qui prennent un p’tit coup
Moi j’mange
Y’en a qui fument des p’tits bouts
Moi j’mange
Y’en a qui lèchent les vitrines
Moi j’mange
J’aime mieux rester dans ma cuisine
Pis j’mange.
Vous vous souvenez de ce tube d’Angèle Arseneault? Suite à la lecture de l’article sur les obèses États-Uniens, c’est la première chose qui m’est venue en tête. Bref on mange nos émotions, et pendant qu’on mange on est bien, on pense pas, on ne s’émouvoit point, on satisfait l’hypothalamus, organe de nos sensations primaires!
L’important c’est d’être heureux? Soit, mais le diagnostique social est triste. Si 60% de la population de cette ville est grosse ou obèse, c’est pas bon signe me semble. Engorgement des artères annonçant un engorgement à l’hôpital, c’est pas très encourageant!
Mis à part les dangers du surplus important de poid pour la santé, je trouve ces gens courageux d’affirmer être heureux et bien dans leur peau, malgré le handicap. A une époque ou le poid santé équivaut à être maigre au point d’en être malade, avoir à se battre contre les préjugés malveillants des autres influencés par les diktats de la beauté et de la mode, bref ramer à contre-courant est plutôt frondeur!
La vérité cependant est peut-être comme Angèle l’a écrite dans un couplet un peu plus loin;
Y’a des jours où j’en ai assez
J’voudrais m’arrêter de manger
Mais si je me rends à 336
Le monde verra peut-être que j’existe.
J’ai regardé le film « Pendant que court l’assassin » et j’ai trouvé que c’était profondément révoltant de voir le peu de cas que l’on fait des victimes d’actes criminels dont le seul tort fut de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment.
Pensez-y! Ce n’est pas de la fiction! C’est la réalité! De voir les photos de ces jeunes tués par des monstres alors qu’elles avaient toute la vie devant eux! Que ce soit Daniel Desrochers, qui a eu le malheur de se trouver à côté d’une voiture qui a explosé; que ce soit, ce pauvre jeune qui s’est endormi dans un autobus et qui a été attaqué à coup de machette; lui est vivant, mais il s’en est fallu de peu qu’il y laisse sa peau! Et il doit subir de nombreuses opérations où, à chaque fois, sa vie ne tient qu’à un fil! (c’est sa photo que l’on voit ci-haut). On a aussi droit à des témoignages de journalistes qui couvraient les dossiers de motards, et qui ont été ensuite attaqué! On a qu’à penser à Michel Auger.
Vous n’êtes pas encore ému? Qu’à cela ne tienne! On vous racontera l’histoire de ce jeune, qui était dans une file d’attente d’un bar au coin de St-Denis et Ste-Catherine et qui a été tué d’un coup de feu d’un membre d’un gang. Et ce qui est le plus dégueulasse, c’est que ses amis ont dû donner un spectacle bénéfice afin de ramasser les sous pour lui acheter… une pierre tombale!
Et que fait le gouvernement dans tout ça, pour ces victimes? Pas grand chose autre que de parler creusement et stupidement et de donner un maigre 10,000$ au groupe pour ses activités! Et surtout, au moment de remettre l’argent, amenez les journalistes!!!
Mais oubliez toutes ces considérations. Écoutez ce film! Et comme moi, probablement, vous ressentirez une infinie tristesse et une rage sourde quand des parents, émus, vous montreront les photos de leurs enfants, disparus, pour rien et que vous verrez le jeune homme souffrir alors que son ventre est ravagé! Il n’y a pas de justice sur cette foutue planète!
J’ai regardé ce documentaire hier soir, et j’en suis atterré. 22% de la population de Houston est obèse! Et pas seulement quelques kilos en trop, vraiment obèse au point où c’est dangereux pour leur santé. Et en les écoutant parler, il n’y a aucun problèmes car l’important, comme ils disent, c’est d’être bien dans sa peau et de s’accepter comme on est. Comment peut-on être bien dans sa peau quand on pèse plus de 500 livres! Aberrant! J’en suis estomaqué!. On dirait que tout ces gens ont abdiqués, et ne veulent plus faire aucun efforts pour perdre du poids. C’est vrai qu’avec plusieurs centaines de livres de trop, c’est peut-être trop tard. C’est bien avant que les efforts auraient dû commencer pour ne pas gagner tout ce poids.
Avec mes quelques kilos en trop, je peux me considérer chanceux si je me compare à ce que j’ai vu hier. Peut-être est-ce là une partie du problème; on peut presque toujours trouver quelqu’un qui est plus gros que nous et se dire qu’en fin de compte on est bien correct comme on est. Et on ne cherche plus à les perdre, et alors on en gagne toujours de plus en plus, jusqu’au jour où on est devenu gigantesque et qu’il n’y a plus rien à faire. Je sais que dans mon cas, je ne me rendrai jamais à ce point car même mes quelques livres en trop me mettent souvent mal à l’aise, alors je m’efforce constamment de les perdres, ou du moins de ne pas en gagner plus. Alors j’ai peine à imaginer comment les gens que j’ai vu hier peuvent se sentir. Impossible de croire qu’ils se sentent bien dans leur peau lorsqu’ils ont peine à faire quelques actions, que ce soit se déplacer, dormir, etc…
Les gouvernements nord-américains, incluant celui du Canada, doivent se pencher sérieusement sur ce problème afin d’éduquer les gens en matière de bonne alimentation et d’excercises. Sinon, c’est peut-être toute l’amérique du Nord qui ressemblera à ce qu’on a vu hier. Une vision d’horreur…
Y a davantage qu’un discours autour de cette question si obsédente. Y a surtout un malaise, celui du regard. On pense généralement à l’acceptation de nos différences. On peut également faire référence aux valeurs; la beauté, l’accès au travail, la valorisation de soi etc… Mais le seul critère, pour ne pas dire l’unique critère c’est la santé. Et qu’on ne se trompe pas, il ne s’agit pas que de santé physique, mais aussi de santé psychique. Pour moi l’obésité est une grande dérive vers l’obscurité, vers la mort. C’est l’essentiel de la parfaite recette de celui qui s’oublie. C’est le non-moi. L’obésité morbide, comme il semble en être question quand on regarde les photos de cet article, est un appel à la mort. C’est une façon souvent inconsciente de dire non au reste de la société. Et que fait-on devant ce renoncement comme devant tous les autres renoncements à la vie. Ils sont là devant nous, à nous jeter notre échec à la face alors que nous pensions avoir atteint quelque chose, ici dans ce monde performant. Voilà, en fait la santé c’est loin d’être encore accessible à tous.
D’après moi, ce n’est pas à cause de la publicité que ces gens sont rendus à un point tel qu’ils ont de la difficulté à marcher! Je pense que c’est le manque d’activité physique qui manque dans nmos habitude de vie. Être actif! Ça vous dis quelque chose?
Je connais des gens qui mange des poutine pis du MAc Donald à longueur de semaine et ils pèse 100 lbs! C’est l’hérédité et les habitides de vie! Puisque je connais des gens qui mange bien mais qui sont trop gros.
C’est effrayant de voir qu’il y a autant de monde aussi gros, mais, je crois que c’est bel et bein le manque d’activité. On est loin de nos encêtre qui labourait leur terre!
Bien sûr, être au mauvais endroit au mauvais moment, c’est bien connu. On ne parle pas souvent par contre de l’art d’être au bon endroit au bon moment, c’est-à-dire de traiter de sujets d’intérêt public. Premièrement, concernant les grosses toutounes de Houston, Il faudrait en parler si elles pouvaient courir en manifestant leur droit d’être balourdes ou bien si elles avaient la capacité de se lever de leur « lazy donut » et d’aller causer un bouchon dans les escaliers mécaniques du métro à l’heure de pointe.
En ce qui concerne la liberté, c’est une autre chose. La liberté, on en a jamais assez. Quand on ne sait plus quoi en faire, on se sent emprisonné par elle, donc en captivité. Au secondaire, il y avait toujours un clown en arrière de la classe qui voulait être libre. Il dormait sur son bureau, ne faisait pas ses devoirs, il n’écoutait pas le professeur, il s’amusait à lancer du papier et des morceaux de gomme à effacer, juste pour avoir une meilleure cote d’écoute que le professeur. Le professeur, lui, a dû endurer toutes ces imbécillités jusqu’au jour où il n’en pu plus. Il ordonna au ti-cul de prendre ses clics pis ses clacs et de « scramer ». Eh bien, sentant que sa liberté d’être imbécile était brimée, le ti-cul se leva et se mit à uriner dans le coin de la classe, en s’exclamant, « yé ou mon droit à la liberté? » Et puis, tous les autres étudiants se sont mis à rire. Plus ils badinaient, plus l’autre ti-cul se faisait aller le coucou alors qu’il pensait être à l’origine d’un nouveau mouvement pour la liberté. Voilà le portrait type de ces animateurs de radio attardés. Être au bon endroit au bon moment, c’est de ne pas les écouter et il faut quelqu’un comme le professeur, le CRTC, pour leur remettre les culottes.
Pas besoin d' »oversize me », cela s’est fait seul, un régime de vie à la « junk food » doit être assez néfaste, merci, pour le métabolisme humain, vraiment les médecins de cette ville doivent faire une véritable fortune en liposuccion, l’Amérique qui bouffe, qui s’empiffre, qui se gave pendant que le reste de l’humanité crève comme des mouches, bravo pour cette belle démocratie que vous exportez à coup de canon. La sédentarité et les viandes grasse et bien Houston, on vous déclare la capitale du Gras-trans.
La radio des populos contre celle des intellos, un débat éternel sur ce que sont les limites de la liberté d’expression, et ce qui fait réagir les autres. S’il y a des auditeurs pour ce genre d’émission, c’est qu’en quelque part, il y a un besoin, et c’est ça notre plus grand malheur, personne de crédible au niveau politique, le débat va plus loin, Georges Bush est le populo et Kerry était l’intello, Jean Chrétien le populo, Berlusconi le populo, il y a des vagues de sympathie présentement pour la droite des populos et cela se reflète dans les radios hors Montréal, remarquez que Mario Dumont était le porte-étendard du mouvement pour CHOI-FM, mais ce n’était pas la même histoire avec les étudiants, c’était tranchant.
Symptomatique d’une société gravement malade, de si petites indemnisations pour la perte d’un proche, mort de façon violente, qui passe dans les faits divers et sous la rubrique nécrologique. Violence dans les jeux, dans les films, dans la rue, dans des attitudes et des comportements, violence meurtrière meilleure amie de la grande faucheuse.
Je trouve que le problème d’obésité chez les États-uniens, comme je me plais à les appeler, va au delà des apparences. Le physique, c’est ce que l’on voit en premier, mais c’est une bonne couverture pour tout ce qui va mal à l’intérieur. Les États-Unis proclament haut et fort etre un beau pays de liberté et de démocratie. Pourtant, on sait tous que d’énormes problèmes s’aggravent de jour en jour dans l’underground de cette population suralimentée. Sous le masque du pouvoir se cache une population de gens bien ordinaires, une population « malade » qui est le reflet de la politique de ce pays. Le capitalisme envahissant à un impact direct sur tous ces gens bourrés au fast-food, inconscients, se faisant croire qu’ils sont heureux d’etre immobilisés dans des fauteuils. C’est aberrant de voir que les dirigeants des compagnies et du gouvernement ferment les yeux sur ce handicap, et sur bien d’autres choses qu’on ne mentionnera pas ici…On dit souvent que l’Afrique est un continent qui tend à disparaitre. Paradoxalement, si tous les Américains continuent d’engraisser, au rythme ou ils vont, bientot, ils mourront tous d’une crise de coeur…Si seulement Bush pouvait etre obèse, peut-etre qu’on en serait vite débarassés…
Sur Obèse city:
Bien des sociétés, durant l’histoire, ont apprécié les formes voluptueuses que peut avoir l’être humaine, y voyant là un signe de richesses, donc de prestance et de pouvoir. Mais, comme c’est désormais toujours le cas, la société américaine a pris cette simple anecdote historique et l’a ‘remixé’ à leurs manières, lui donnant des proportions totalement insensées. Comme diable peut-on franchement être bien dans sa peau lorsqu’on pèse 625 livres, à moins de mesurer, au bas mot, 9.5 pieds ou bedon d’avoir une couple de personnes sur son dos (ce qui serait tout de même plus confortable que d’avoir toute cette graisse dans la peau)? Cette Diane, elle a un sérieux problème, et je ne parle pas ici de son poids éléphantesque: elle est dans la délusion que c’est normal qu’une personne peut se laisser aller à un excès de poids aussi maladif. Il y a vraisemblablement quelque chose qui ne tourne pas rond chez des gens comme elle, et j’espère que cette émission le soulignera.
Sur Enjeux – la radio qui choque:
Il y a un nom pour les gens qui s’offensent sur les propos de gars comme Fillion ou Champagne: des bébés chialeurs. Que je sache, personne n’a à nous forcer à écouter, regarder ou lire quoi que ce soit. Vous n’aimez pas les niaiseries que jettent ces sinistres clowns sur les ondes radiophoniques? Regardez la télévision ou lisez un livre, alors! Quoi, vous trouvez la télé trop violente et un livre comme la Bible trop provocante? Allez donc voir un film ou une pièce de théâtre, cultivez-vous, bon! Pas votre tasse de thé? Ben, sortez dehors – nous vivons présentement une fin de mois de novembre éblouissante avec une
température exquise. De quoi, vous trouvez que c’est trop violent, dehors? Ben alors, faites ce que vous voulez, mais fichez-nous la paix!
LIBERTÉ: mot de 7 lettres qui subit tous les outrages.
Où est ma liberté de manger sainement quand le peuple canadien ne réussit pas à obtenir l’Étiquetage obligatoire?
Où est ta liberté quand ton fils revenant de l’école se retrouve « encerclé » entre la bande armée illégale et la bande armée légale?
Où est ta liberté quand ton président, de ton pays, s’appelle G.W.Bush?
Où est ta liberté quand ton gouvernement, élu ou non, utilise la multinationale de la mal bouffe comme étendard de la réussite américaine et qu’il l’exporte partout à travers la planète?
Où est ma liberté quand un petit salaud sans vergogne me poivre de son arriérisme arrogant et que ses patrons, ses collègues de travail et les auditeurs le laissent insulter tout ce qui est noble, digne et honorable?
Où est ma liberté quand la planète compte 6 milliards d’humain et qu’on en prévoit 12 milliards dans 10 ans;
et que les dirigeants trouvent les bons moyens pour réduire la population: guerre en Irak, guerre au Darfour, au Soudan, en Ouganda, Sierra Leone, génocide rwandais, Sida en Afrique, SRAS, par la prodigieuse grippe qui est prévue depuis 30 ans et qui va décimé 10 millions de personnes. Ils nous avertissent d’avance comme s’il l’avait programmé?
Où est la liberté quand l’affamé vole un pain pendant que l’autre se rempli la panse pour s’enlaidir afin de ne plus être la convoitise de son père ou de son frère incestueux?
Où est ta liberté quand tu avales des médicaments conçus sciemment pour stopper tes glandes ce qui t’occasionne une prise de poids phénoménale au point où ne plus être capable de t’essuyer l’anus après avoir déféquer?
Où est la liberté des victimes quand le système en place, lui, s’en fout de tes handicaps permanent, car pour eux ce qui compte ce sont leurs honoraires: juges, avocats, policiers, assureurs, médecins, fonctionnaires…
Ce que je suis prête à faire pour ma liberté? TOUT! TAB….