HOMMAGE À GUY MAUFFETTE
Pilier de la radio française de Radio-Canada, Guy Mauffette a été pendant longtemps un véritable monstre sacré, une légende. Animateur, réalisateur, comédien, poète, mais aussi grand inquiet, angoissé, "joyeux schizophrène et Mauffette de surcroît", il a fortement influencé le milieu radiophonique d'ici. Derrière le micro, il a été la voix du Cabaret du soir qui penche et des Samedis de l'oiseau de nuit. À la réalisation, il a été le premier à transposer en son le radioroman-culte Un homme et son péché. À une époque où la radio trônait au centre du salon, Guy Mauffette était un roi.
Le dimanche 26 décembre, de 14 h à 18 h, la Première Chaîne de Radio-Canada propose donc un hommage à la hauteur de l'homme. Quatre heures de souvenirs, d'anecdotes, de poésie, de perles radiophoniques tout droit sorties des profondeurs des archives de la radio publique. L'animateur de Samedi et rien d'autre et de Pourquoi pas dimanche? Joël Le Bigot anime l'émission signée Jacques Bouchard. Quelques-uns de ses vieux amis (Alain Stanké, Françoise Faucher, Gilles Pelletier, Solange Lévesque et Huguette Oligny) soulignent à leur façon la contribution exceptionnelle à notre culture de celui qui a maintenant 90 ans. Plus qu'un hommage, c'est un voyage dans le temps. Un bain de nostalgie pour ceux qui ont connu l'époque. Une irruption, pour les autres, dans une radio qui n'existe plus…
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BYE-BYE 2004
Cette année, l'adieu à 2004 se fera en musique. Soir de fête, une grosse production franco-québécoise au budget de 1,5 million de dollars, sera présentée à TQS le dimanche 26 décembre à 19 h. Pour l'occasion, Isabelle Boulay, la Gaspésienne la plus célèbre en France, invite une brochette d'amis artistes au lac Sacacomie, dans la réserve faunique de Mastigouche, pour 90 minutes de chanson. Des noms, en voulez-vous? Johnny Hallyday, Renaud, Henri Salvador, Françoise Hardy, Bernard Lavilliers, Eddy Mitchell, Corneille, Éric Lapointe, Nicolas Ciccone, Daniel Lavoie, Sylvain Cossette, Jean-François Breau et d'autres. Entre deux chansons, l'humoriste Stéphane Rousseau fera découvrir à ces illustres invités les joies de l'hiver québécois. Renaud s'initiera à la pêche sur la glace, Corneille fera du traîneau à chiens et Johnny Hallyday, de la motoneige. Soir de fête sera diffusé simultanément sur les ondes de Rythme FM.
À Espace Musique, on enveloppe aussi de musique le temps des Fêtes. Entre autres choses, la veille de Noël, un concert de Haendel du Los Angeles Philharmonic qui sera dirigé par le Québécois Bernard Labadie (le 24 décembre, 20 h). Un grand moment de radio; le concert sera retransmis sur toute la Côte-Ouest des États-Unis, en Australie et au Japon. Aussi, le groupe Mes Aïeux, qui a fait sortir le traditionnel du terroir, fera swinguer la compagnie la veille du jour de l'An (le 31 décembre, 20 h). Il sera suivi par Les Trois Accords, le groupe qui a fait sortir l'Hawaïenne du terroir, à 22 h. Espace Musique a toutes les raisons de célébrer. Les derniers résultats des sondages BBM ont confirmé que la décision de Radio-Canada de mettre la hache dans sa Chaîne culturelle pour lui donner une vocation 100 % musicale était la bonne. Espace Musique a connu une hausse de 119 000 auditeurs cet automne.
Hormis la musique, on aura tout de même droit à un peu de dérision. En ces temps absurdes, c'est une question de santé mentale nationale. L'actualité passée au pistolet à gaufres par Infoman est toujours un événement télévisuel attendu, le Bye-Bye de notre époque. L'an dernier, Jean-René Dufort s'était retrouvé au palmarès avec son single J'suis pas plus pourri qu'un autre, pastiche de Wilfred l'académicien. Que nous réserve Infoman cette année? C'est à voir le vendredi 31 décembre, 22 h, à Radio-Canada.
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BONJOUR 2005
Pour célébrer ses 10 ans d'existence, Canal D offre à son public l'excellent documentaire La Corporation, diffusé en trois épisodes (1er, 2 et 3 janvier, 21 h). Après les excès des Fêtes, on ne peut trouver meilleur moyen de dégriser que ce révoltant pamphlet, qui tente de faire la preuve que l'entreprise privée, si elle est considérée au sens de la loi comme une personne morale, possède en revanche tous les traits d'un psychopathe.
D'autre part, parmi les nouvelles séries de l'automne, TV5 propose Phôtos, des portraits de photographes québécois. Certains font de la pub, d'autres, de la photo d'art ou d'actualité. Chacun possède sa démarche propre, ses secrets, sa façon de voir… À TV5, le lundi 3 janvier, 19 h.
Je voulais louer ce documentaire car je n’ai entendu que des mérites à son sujet et que cela a aiguisé ma curiosité. C’est plutôt osé et provocateur que de comparer les entreprises privées à des psychopathes mais je crois que la comparaison est juste. C’est un bon choix de la part de Canal D de nous présenter ce documentaire choc. Cela va faire réfléchir les gens. Je le mets à mon calendrier!
A chaque année, tout le monde chiale contre le byebye. Mais tout le monde l’écoute quand même. C’est drole. Cette année au moins ils ont l’air d’avoir laisser de coté nos fameux Wilfred et MarieElaine. Enfin! Le semblant de byebye de l’année passée était vraiment moche. Véronique Cloutier aurait du rester a Musique Plus, ce n’est pas une humoriste, franchement.
En esperant que cette année ca ne tombera pas encore dans le ridicule avec des farces plattes sur la politique et Michele Richard
Mais non merci car c’est pas mon genre, c’est triste mais c’est comme cela. À force de se faire rabbattre les oreilles à longueur de journée sur tous les postes de radios et de télés que Isabelle Boulay va faire un tabac avec son show et ses amis qui l’aiment tellement qu’on a plus le goût de s’empiffrer d’une grosse tourtière bien grasse. Je m’excuse pour ceux qui aiment cette personne mais moi je vais faire autre chose.
Par contre je trouve vraiment extraordinaire le choix de Espace Musique pour le 24 et le 31 décembre, ça au moins ça swing un peu plus et ça déplace la dinde manger trop vite pour faire la place à la deuxième tablée.
Pour moi Guy Maufette c’est un peu comme une légende car j’ai un scrapbook de mon frère le plus vieux et il avait coller des coupures de journaux et on voit ce monsieur Guy Maufette en pleine gloire. Je n’ai pas eu cette chance de voir le progrès de la radio mais j’espère bien être la pour voir son hommage car à 90 ans et un si beau parcours professionnel ça mérite bien des hommages.
Quelle surprise de constater l’absence de TVA (fer de lance de l’empire Québecor) parmis les choix mentionnés. La majorité dont je parle de temps à autre (je tais ici son nom car ca semble en chatouiller quelques uns) est en perte de vitesse cette semaine mais ne vous en faites aucunement, elle part l’instant d’un moment mais revient habituellement en force.
Cette année TQS m’impressionne au plus haut point, le mouton noir se transforme en brebis l’instant d’une émission. Soir de fête sera pour moi à l’agenda et ce sans possibilité de concessions, le téléphone et le cell seront en cette soirée sans voix. En toute honnêteté j’ai eu peine à croire certains des noms participants a cette soirée.
Francoise Hardy, celle par qui passe encore aujourd’hui la douceur des mots malgré les années. La mères de plusieurs classiques comme « Mon amie la rose », « L’amitié », La maison ou j’ai grandi » ou encore « Il n’y a pas d’amour heureux ». Celle-ci fuit pourtant toute apparition publique et ce depuis des années. D’accord son nouvel album y est peut être pour quelque chose mais je me doit quand même de souligner le tout.
Henri Salvador, un des derniers grands de la musique francaise d’une époque ou les mots flottaient. L’éternel n’étant malheureusement impossible il y a fort à parier que son passage ici pourrait être un de ses derniers.
Johnny Hallyday, monstre sacré auquel personne ne touche. L’îcone d’une génération qui se renouvelle album après album. Celui par qui passe la bête de scène et la rage de vivre, le rebelle Francais numéro un.
On arrive ici avec le meilleur des deux mondes, des artistes engagés, impliqués, pour qui la musique est d’une importance capitale et qui y apporte le soin qu’elle mérite. Corneille, Lavoie, Ciccone, Boulay et plusieurs autres qui sont garands que ces 90 minutes passées devant le petit écran ne seront aucunement perdue.
Allez, bonne soirée et pour ce qui est des autres, les téléromans reviennent en janvier, ciao.
The Corporation, documentaire au montage nerveux et serré, démontre la cupidité de ceux qui n’ont qu’un seul objectif : le profit rapide. Il est rare qu’un film qui s’est mérité neuf prix du public en plus du Festival du film de Sundance, projeté dans le monde entier, soit inscrit sans délai sur les écrans de télévision. Aucun document n’éclaire avec autant de précision le rôle dominant et nocif des corporations au profil psychopathe. À l’aide de critères d’analyse de l’OMS et du DSM – IV, l’outil de diagnostique des psychiatres, les auteurs démontrent que l’entité légale qu’est la Corporation possède toutes les caractéristiques d’une personne dont seul l’intérêt personnel motive les opérations. Entrevues percutantes avec des membres importants d’industries pharmaceutiques, pétrolières, branding, marketing, d’économistes et historiens. Dans ce film, n’apparaissent pas que des «gauchistes» dont les propositions sont souvent ridiculisées par le monde des affaires et leur complices politiques du fait de leur dénonciation de pratiques légalement immorales, on assiste également au témoignage du CEO de la plus importante manufacture de tapis au monde (Interface) qui a modifié les opérations de l’entreprise en tenant compte du développement durable. Ce film, que j’ai déjà vu, offre une telle diversité de renseignements que je me propose bien de l’enregistrer. 5 étoiles.
Pour nous réconcilier avec la face civilisée de l’humanité, n’hésitons pas à découvrir ou à revivre les moments poétiques et hautement fantaisistes que Guy Maufette a laissé en héritage à la postérité. Il ne s’agit pas de regretter une époque surranée mais de se rappeler comment cet animateur, comédien, réalisateur a su dispenser à son public un produit intègre. Complice par sa magie d’un large auditoire, il fut le précurseur de nos animateurs radiophoniques actuels, ceux et celles qui ne prennent pas leur auditoire pour une bande de débiles légers.
Jean-René, fais-nous rire !
Enfin, j’attends le spécial de Infoman à chaque année avec impatience. Selon moi, c’est la meilleure revue de l’Année, autant pour sa drôleté que pour ses événements cachés que l’on découvre. Jean-René est un as de ce qui se passe au quotidien avec un soup¨con d’humour, et il nous le prouvera sûrement encore une fois cette année. Après la belle réussite de L’année dernière, nous serons tous dans notre salon à surveiller ce spécial!
Le Canal D reconnu pour l’excellence de ses documentaires a décidé de faire un cadeau à ses fidèles auditeurs pour fêter son dizième anniversaire . Nous aurons droit au documenbtaire en trois parites La Corporation .
On nous rappelle sur leur site web que :’ L’entreprise n’a pas de comptes à rendre à personne . Son seul mandat légal est d’exploiter tout et n’importe quoi dans l’intéret des actionnaires et sans aucune contrainte interne ‘ . On dirait le véritable plaidoyer de Georges W Bush pour sa guerre personnelle contre Sadam Hussein . Il faut les payer ces missiles Tomahawks et autres bombes intelligentes et cela fait le bonheur des entreprises qui fabriquent ces missiles et leurs employés qui vont passer un bon Noël avec une belle prime .
Faut-il peser sur la sonnette d’alarme quand une multinationale comme WalMart a un budget qui dépasse celui de Paul Martin ?
L’entreprise n’a qu’un seul but , faire de l’argent et rapporter des dividendes à ceux qui ont pris le risque d’investir . Elle est donc comme le dit le Canal D , une sorte de psychopathe qui n’a pas de sentiment et qui en veut toujours un peu plus .
Je sais que le 1 er janvier vous serez sans doute à table mais vite à votre magnétosscope pour enregistrer les trois parties que vous pourrez regarder un peu plus tard sans troubler votre estomac qui aura eu plus que sa ration de ragout de boulettes et de tourtières .
– Le concept des Bye-Byes m’emmerde constamment depuis que l’original de Radio-Canada a décidé de passer en direct – vous rappelez-vous à quel point s’était meilleurs, avant? En tout cas, ce Bye-Bye qui semble être à la grandeur de la francophonie pourrait être intéressant, bien qu’il serait surprenant qu’il soit bien drôle. Isabelle Boulais ne m’a jamais paru comme étant très confortable lorsqu’elle se fait interviewer, alors il est pas mal intriguant de voir si elle sera capable d’animer une émission de variété. En tout cas, ce qui est vraiment épatant avec ce « Soir de fête », c’est qu’il a coûté la modique somme de 1,5 millions à produire – bordel, tout ce pognon rien que pour un Bye-Bye?! Rien que pour un truc qui va passer une seule fois, deux si SRC diffuse une reprise le 2 janvier… Si c’est pas çà, des dépenses indécentes de fonds publics, je ne sais pas pourquoi autant de monde chialait à propos des commandites du gouvernement Chrétien…
– Pour ce qui ne l’aurait pas encore, ne manquez pas « La Corporation ». Oui, ce documentaire risque de vous déprimer d’aplomb en ce début de nouvelle année, mais ‘faut mieux que vous voyez la vérité sur la nature des institutions privés aussi tôt que possible pour que vous puissez encourager les défendeurs de nos droits et libertés qui font, bon an mal an, continuellement face à ces titans monétaires. Le meilleur documentaire de 2004 est vraiment quelque chose à voir.
C’est toute une surprise cette émission de variétés que diffusera demain la chaîne privée de télévision Quatre Saisons, normalement ils nous servent des films cotés 5-6, la France nous envoie la vieille garde des chanteurs tous dans la cinquantaine et plus, une seule chanteuse Francoise Hardy et de ce côté-ci de l’océan la brochette québécoise est beaucoup plus jeune et il n’y a aussi qu’une seule chanteuse au programme et c’est Isabelle Boulay, décidément les dames sont sous-employées encore une fois. Je suis curieux d’entendre les chansons que tout ce beau monde va interpréter, quel sera le fil conducteur, qui a fait la mise en scène, les invités sont tous repartis, ce n’est pas une émission en direct, le produit fini nous est présenté le 26 décembre à 19.00h., sans mention de rediffusion, alors j’ai programmé l’enregistrement en video, car c’est je crois un document à conserver, malgré la tempête de publicité à prévoir entre chaque prestation.
Je garde de très bons souvenirs de ce « Cabaret du soir qui penche ». À l’époque de sa diffusion, nous allions à la campagne presque toutes les fins de semaine pour revenir à la ville le dimanche soir.
Toute la petite famille entassée dans la voiture, les enfants enfin tranquilles après une bonne dose de plein air, ma mère nous ouvrait la porte de cet endroit magique, « Le cabaret du soir qui penche ».
Soudainement, nous étions plongés dans un autre univers celui de Guy Mauffette. La chaleur de cette voix qui savait jouer avec le silence et les rimes nous envoutait.
Suspendus à ses lèvres, bercés par ses choix musicaux, qu’il faisait souvent dans l’oeuvre de son ami Félix et de nos autres chansonniers, les paupières lourdes, nous nous efforcions de ne pas sombrer dans le sommeil pour ne rien perdre de ces moments privilégiés.
La nostalgie ne s’applique pas aux immortels…
Il n’y aura pas que le soir qui penchera en cette fin d’année telle que soulignée par nos médias. Si l’hommage qui sera rendu à Guy Maufette, cet auteur en onde de l’époque héroïque de la radio, fera bel et bien pencher le soir du côté des rêves, il en sera bien autrement de ces films documentaires sur ces soi-disant personnes morales que sont les Corporations et qui les feront plutôt s’incliner du côté des cauchemards. S’il est bien un aspect de ces regroupements de personnes exploitantes que sont les corporations que ces reportages mettront bien en lumière, ce sera celui de cette fumisterie qui consiste à les désigner comme des entités abstraites, comme des institutions publiques que leur confère leur statut juridique de personne morale, alors qu’elles sont en réalité le paroxisme de la sphère du privé qui plonge sa pompe à billets dans le tissus social pour en sucer la sève à partir de pipettes que l’on nomme des actions côtées en bourse, et que l’on distibue grassement à des dirigeants qui peuvent d’ailleurs les vendre juste au bon moment grâce à tous ces délits d’initiés dont ils ont le secret. Cette façon de voir l’entreprise correspond à l’attitude qui faisait voir la monarchie comme étant une institution de droit divin, donc comme n’ayant de compte à rendre à personne, même pas aux petits actionnaires qui sont la caution de ces entreprises et le sujet de toutes les caricatures de ces réunions bidons que sont les assemlées d’actionnaires où tous leurs droits de vote sont par avance achetés par les procurations que les magnats de l’actionnariat ont fait circuler pour se les procurer et voter en leur nom. Si de telles élections avaient lieu en démocratie, nous serions en pleine dictature. Alors comment cette institution politique qu’est la démocratie peut-elle s’accomoder d’une telle dictature économique. Cela mérite des explications.
Encore une autre fin d’année qui est à notre porte. Et quoi de mieux pour la terminer qu’une revue humoristique de l’année. D’accord il y a Infoman, et loin de moi l’idée de vouloir le critiquer, mais ça demeure une émission d’information, même si on tourne cette dernière un peu en dérision. Non, ce que j’aimais c’était les sketches basés sur les évènements de l’année, avec des comédiens de renom; le Bye-Bye, quoi. Mais il semblerait que ce temps est passé, car maintenant on nous invite à défoncer l’année en chanson avec plein de vedettes, dont beaucoup ne sont pas du Québec, dans une émission qui a été tournée au mois de novembre! Pas de quoi se mettre dans l’ambiance du jour de l’an!
L’année dernière, j’avais bien apprécié l’émission avec Véronique Cloutier. Le même concept aurait pu être repris cette année avec une autre animatrice.
Non, définitivement les Bye-Bye me manquent, et j’espère que dans les prochaines années, Radio-Canada, ou un autre réseau, reprendra le flambeau pour nous offrir encore ce type d’émission. Car c’est bon de se remémorer les évènements de l’année tout en riant…
Impossible de nos jours de se retrouver devant une revue musicale sans avoir un de ces produits jetables qui nous soit imposé. Quelle belle relâche que d’avoir cette émission à TQS qui nous épargnera ce fléau. Et comme on le constate, ça ne nous empêche pas d’avoir une émission extrêmement bien remplie. De quoi nous faire croire encore au Père Noël.
Cette année aucun poste de télévision n’a décidé de faire quelque chose pour souligner l’arrivée de la nouvelle année et je me demande bien pourquoi. À la place on nous présente des films et moi j’aurais trouvé bien agréable de regarder quelque chose que je n’avais pas encore vu et qui fesait une rétrospective de l’année qui était en train de se terminer. J’ai donc été légèrement déçue et je me demande si nous en auront une pour 2005?