LOUIS-JOSÉ HOUDE… À SUIVRE
Il clame sur toutes les tribunes qu'il n'a pas de vie depuis qu'il fait de l'humour. Vous serez à même de le constater dans ce nouveau docu-feuilleton qui entre en ondes lundi prochain et jette un oeil voyeur à la vie en tournée du comique à la langue véloce Louis-José Houde. Produite par Fair-Play, la même boîte qui nous avait fait pénétrer dans le quotidien pas toujours flamboyant de Michèle Richard, Louis-José Houde… à suivre entre dans les coulisses de la scène et de la vie inexistante de M. Loblaws. Un bon divertissement. Le générique de début est à voir. À Radio-Canada, dès le lundi 4 avril, 19h30.
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DANSER PERREAULT ET PÉRIL EN LA CULTURE
Télé-Québec présente le documentaire Danser Perreault, poème visuel sur l'œuvre du chorégraphe québécois de renommée internationale Jean-Pierre Perreault. Après quoi, prenant pour prétexte la disparition de la fondation créée par Perreault, Patrick Masbourian anime une discussion portant sur le financement de la culture au Québec. Parmi les invités: Pierre Curzi (comédien et président de l'Union des artistes), Stanley Péan (auteur, président de l'Union des écrivains et écrivaines du Québec et porte-parole du Mouvement des Arts et des Lettres, le M.A.L.), Monique Simard (ex-députée aujourd'hui productrice pour Virage), Alain Simard (P.-D.G. de l'Équipe Spectra, qui organise entre autres le Festival international de jazz de Montréal). Une question de fond: le Québec a-t-il les moyens de ses ambitions culturelles? À Télé-Québec, le jeudi 31 mars, 21h.
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BEAUTÉS DÉSESPÉRÉES
Sombres banlieusardises. Beautés désespérées à Radio-Canada. |
Parlant d'identité culturelle québécoise… Après Perdus, Radio-Canada nous sert une autre télésérie à succès made in USA. Remplaçant Providence dans la grille horaire de la télévision d'État, Beautés désespérées (version française de Desperate Housewives) ressemble à une version botoxée de Deux femmes en or. Avec moins de Paul Berval en caleçon. Les premières secondes donnent le ton: la narratrice de la série, une reine au foyer parfaite, menant une existence en apparence parfaite dans une banlieue de luxe parfaite, s'éclate la cervelle par un beau matin ensoleillé. De son nuage, elle racontera le quotidien de ses voisines, émules de Martha Stewart, dissimulant derrière leurs petits plats mijotés une profonde détresse… Évocation tordue de la banlieue moderne. À Radio-Canada, dès le mardi 5 avril, 20h.
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RAVI SHANKAR
Ravi Shankar, le prince du sitar, à ARTV. |
Même si l'on entend rarement les badauds siffloter au hasard ses tubes, Ravi Shankar est néanmoins la plus grande star internationale de la musique indienne. Mais le parcours de celui qui fêtera bientôt ses 85 ans demeure peu connu. Dans ce portrait, l'illustre joueur de sitar se raconte: ses débuts dans les années 30 avec la troupe de danse indienne de son frère, sa rencontre avec le gourou qui lui apprendra le caractère sacré de la musique, ses amitiés avec l'ex-Beatles George Harrisson et sa conquête du monde. Un voyage fascinant dans l'odyssée musicale du père de celle avec qui j'aurais bien aimé être coincé dans un mariage arrangé, Norah Jones… À ARTV, le jeudi 31 mars, 21h.
S’il y a une humoriste que j’adore au Québec, c’est bien Louis-José Houde. Il est d’un naturel comique, sa spontanéité est irrésistible! J’ai appris à le connaître, comme bien d’autres, à la barre de Dollaraclip, émission ridicule s’il en est une, où il pouvait s’éclater à fond.
Mais voilà, j’admire son travail. Pourquoi j’aurais besoin de le suivre dans sa vie en tournée, pourquoi toujours tomber dans le voyeurisme? La vague des émissions de télé-réalité a ravivé le mouvement et maintenant, il semble qu’on ne puisse plus apprécier un artiste sans savoir le nom de son chien…
Souhaiteriez-vous savoir les dessous de la vie privée de votre dentiste? Moi non plus. Laissons-les donc travailler en paix.
Certes, il est fort agréable de voir de belles femmes à l’écran, mais ne serait-il pas plus représentatif d’en montrer également (juste le quart du temps, disons) des boutonneuses, des ridées, des trop grosses, des trop maigres, des trop petites, des vergetureuses, des celluliteuses, des clairsemées, des blafardes, des cernées, alouette ? (Tiens, ça me fait penser à Jamil, cette énumération : Pitié pour les femmes !)
Le message ne doit-il être transmis que par des Vénus ?
Enfin ! Bref ! Je râle avant d’avoir vu l’émission, chose que je vais sûrement faire malgré tout car le tout me semble empreint d’humour noir, dont je suis férue.
Avec l’annulation de la saison de hockey, les télédiffuseurs ne savent plus quoi mettre pour combler les trous laissés vacants par les matches de fins de saison. En ce qui concerne la nouvelle émission de, et sur, Louis-Josée Houle, je crois que ça peut être intéressant, mais j’ai peur que ça ne vienne lassant à la longue. Suivre un humoriste en tournée pour une émission spéciale de une ou deux heures, c’est en général très distrayant et instructif. Le suivre à tout les semaines, c’est moins évident que ça va captiver le monde, surtout avec le beau temps qui arrive, et l’énergie débordante de Luois-Josée qui peut parfois tomber sur les nerfs de certains. Mais encore une fois, laissons la chance au coureur avant de le condamner.
Et on y va aussi avec des traductions d’émissions à succès qui nous viennent des US. Lorsque j’ai vu les annonces de Perdus, je n’était pas convaincu mais j’ai été tout de suite accroché dès le premier épisode. Pour Beautés désespérées, j’ai la même première impression avec les annonces, alors je ne suis pas certain que je vais l’écouter. Parce que si j’accroche comme avec Perdus, je serai obligé de passer tout mon temps devant la télé, et il y a autre chose à faire dans la vie…
Je suis convaincue que cette émission sera rapide et efficace comme son personnage central. Louis-josé est connu pour son énergie débordante autant verbale que physique…je suis curieuse de le voir évoluer autant dans la vie que sur scène. La bande-annonce est efficace….je serai au rendez-vous le lundi 4 avril!
Louis-José Houde… à suivre sera sans aucun doute un excellent docu-feuilleton à suivre! Je trouve cela formidable de pouvoir voir comment se déroule la vie d’artiste à travers la tournée des spectacles. Voir un artiste qui se donne à l’oeuvre sur une scène, et qui comme Louis-José Houde donne un excellent spectacle, c’est fantastique! Mais découvrir ce qui se passe tous juste avant le spectacle, ou après celui-ci avec la rencontre des fans, est tout aussi intéressant! De plus, pour des gens qui n’auront peut-être jamais la chance de vivre la vie de tournée, on sera en mesure de voir comment une grande complicité peut se développer avec toute une éqiupe de tournée. Sans doute nous y verrons aussi certains moments plus difficles de la vie d’artiste, mais selon moi ce sera l’une des meilleures émissions à suivre ce printemps!
J’ai tellement hâte de voir le premier épisode de Beautés désespérées que pour rien au monde je ne le manquerait. Une émission qui aura connu un très grand succès aux États-Unis et qui, je l’espère, amènera les gens dans leur fauteuil le mardi soir à 20h00. Et je trouve très intéressant le fait qu’il y ait une reprise le dimanche matin. Ça donne encore une plus grande possibilité d’écoute. Une émission qui me fascine et que je serai une grande fidèle. Un plaisir pour les yeux et ça nous rappellera sans doute quelques voisines qui gravitent autour de notre maison!! Une émission pleine de potentiel qui plaira à coup sûr. L’un des coups de coeur pour Radio-Canada je prédis!
J’ai le sentiment que ce gars échappera à l’actuelle polémique sur le travail des humoristes. Tout simplement parce qu’il est amical et chaleureux. M. Lowbelahh comme nous pourrions l’appeler sait se rendre unique parmi ce GRAND nombre d’humoristes. Son attitude est spéciale car on n’a l’impression de le connaître ce gars. Ça ne m’étonne pas qu’il arrive sur nos écrans de télévision. C’est assurément notre Deschamps d’aujourd’hui… mais ne lui enlevons pas son originalité ! Ce gars va durer dans le merveilleux monde du showbizz québecois.
Louis-José Houde est vraiment « à la mode » par les temps qui courrent. Je trouve ce type rafraîchissant, simple et agréable. Je ne suis pas tellement un accro de la télé et contre la mode « réalité » mais je prendrai certainement quelques minutes pour jeter un coup d’oeil à cette émission. Je crois bien qu’il trouvera façon de me faire rire.
Beautés désespérées,… Radio-Canada désespérée….. Je mentionnais justement à mon entourage ce week-end comme je trouvais impressionnant le nombre de téléromans, téléséries et films qui naissent ici au Québec. Non seulement on produit en nombre incroyable mais de plus nous avons une qualité à mon sens généralement supérieure. Je comprends mal,… même très mal que notre télévision d’État ou même toute autre télévision de chez-nous sente le besoin d’aller chercher ailleurs quelque chose alors qu’ici on en a du meilleur. Quand allons-nous commencer à acheter notre sirop d’érable de la Chine??? Je suis terriblement déçue de ce genre de désicion.
Louis-José Houde est un phénomène. Il est toujours sur la grande vitesse (HI). Sur scène, il sait nous faire rire comme personne et on ne s’ennuie pas. La vitesse dont il articule est impressionnante.
On le remarque dans les pubs de Loblaws et il rend bien son message. Souvent on regarde une publicité à la télé et on se demande ensuite quelle compagnie ou quel produit l’annonce présentait.
Avec les tournées, les émissions télé, les annonces publicitaires, les interviews et j’en passe, je comprend que la vie privée de cet homme en prend un coup. Il faut vraiment aimer ce métier pour ça.
J’espère qu’il rencontrera une personne dans sa vie autre que Marie (la fille au téléphone dans l’annonce de Loblaws)
On dit souvent que les gens qui sont beaux ont la vie plus facile et qu’ils se font des amis plus facilement. Pourtant, la beauté est souvent dans notre tête. Ce ne sont pas les critères de beauté actuels qui font que je trouve qu’une personne est belle mais c’est surtout sa personnalité. Cette télé-séri me semble plutôt futile. Oui, je n’ai pas envie de voir cette émission pour la simple raison que ces femmes botoxées ne m’inspirent pas la moindre pitié du monde. Le bonheur est difficile à atteindre mais il faut y travailler chaque jour et prendre ce que la vie nous apporte comme un cadeau. Il faut garder les yeux d’un enfant et être capable de s’émerveiller!
Vu en spectacle, il y a peu de temps, son humour me fascine. Très personnel, comparativement à l’humour social généralement adopté, sa façon de raconter ses expériences de vie nous rejoint et nous attendri, en souriant. Il ne propose pas de sexe, de relations homme-femme, ou de sujets redondant à profusion, afin de permettre une introspection plus profonde et une relation, ou un échange avec l’humoriste, beaucoup plus intimiste.
Bonne maîtrise des mots, capable de retenir l’attention d’un public pendant des heures, ses prouesses sur scène inégalables nous convient à un spectacle enjoué. Curieux de le voir dans la peau de Michèle Richard, puisque seule cette dernière et les Osbourne ont choisi de se dévoiler de cette façon.
Un autre réalité-show se plante à la télé, comme si la vie était comme ça. Malgré son sens aigu de la performance, il serait surprenant de le voir pleurer devant les caméra, ou de le savoir ayant déféqué avant l’arrivée de policiers, ne pouvant contenir sa rage, par amour pour son chien. Demeurant curieux de le revoir réagir sous cet angle, le téléviseur devra donc s’ouvrir pour au moins la première émission, ou la seconde.
J’aime beaucoup l’humour tordu et gentiment égratignant de Louis-José Houde. Dans La Presse, cet humoriste au prénom improbable signe, certains jeudis, des chroniques rafraîchissantes où il fait état de ses petites misères et souligne finement nos contradictions. Ceci dit, je vais sûrement être assis devant le petit écran pour la première de cette série, mais je ne crois pas que j’irai au-delà puisque je n’attends pas grand chose de la part d’une maison de production qui a livré Michèle Richard en pâture au public, cette populace parfois ingrate qui, avouons-le, n’a rien fait d’assez vil pour mériter ce genre de traitement. Dans le cas de Louis-José Houde présenté par ces mêmes individus, ça me fait penser à une annonce de plat de fin gourmet qu’on s’apprête à nous servir dans une assiette en carton. Mais, malgré mon appréhension, je choisis tout de même de donner la chance au coureur, la télécommande bien en main.
L’expression « Beautés désespérées » est, en soi, profondément ringarde et évoque pour moi quelque chose de malsain au même titre que « La misère des riches ». Faut-y pas avoir de vie pour avoir le goût de se taper les états d’esprits d’une écurie de pitounes névrosées? Les lèvres botoxées, les pommettes en plastique, les boules gonflées à l’hélium et les teintures à cheveux de type « n’ajustez pas votre appareil » font-elles encore courir les foules? Peut-être. J’imagine la clientèle type de ce genre d’émission sous les traits de voyeurs, avides de voir une Barbie tomber en bas de son présentoir. Amusez-vous quand même!
La société d’état n’est-elle pas supposée refléter notre réalité radio-canadienne? La guerre des cotes d’écoute est-elle si impitoyable qu’il faille avoir recours à des méga-succès américains pour se refaire une beauté? Radio-Canada cherche-t-elle ainsi sa propre version du Botox?
Que TQS nous présente de telles séries, soit. Que Télé-Métropole nous présente la version horriblement traduite de The Biggest Loser, soit. Mais que Radio-Canada dilue son mandat pour aller chercher on ne sait quelle clientèle, je décroche. Si on veut perdre toute culture propre, on est sur la bonne voie.
Pour moi, Radio-Canada (comme Télé-Québec) devrait être la télé qui prend des risques, la télé qui ne compte pas sur 2 millions de spectateurs pour se considérer gagnante, la télé qui devrait nous présenter de la danse classique ou des récitals même si je n’y comprends pas grand chose. Radio-Canada devrait être notre mémoire. S’assurer que les formes d’art moins populaires mais essentielles perdurent. Qu’on laisse Séries + nous présenter la version française de Sex and the City, qu’on laisse la télé américaine aux stations qui ne visent que le mercantile. Assurons-nous que Radio-Canada reste au-dessus de ces préoccupations.
ARTV nous présente un documentaire sur celui qui dans les fabuleuses années soixante se lia d’amitié avec le Beatle George Harrisson et nous fit connaître cet instrument de musique le sitar . Il est apparu pendant cette période mystique où le groupe de Liverpool consultait le mareshi Yogi en Inde . Ravi Shankar a eu une certaine influence sur la musique des Beatles . Donc un documentaire à voir pour tous lceux qui ont vécu ces fabuleuses années .
D’un autre coté , celui qui trouve que le mahi mahi de Loblaws est moins cher qu’en Jamaique et qui ne prend pas de coke , car il serait alors incontrolable , Louis José Houde , sera la vedette d’une série où nous pourrons découvrir ce qui se cache derrière celui qui parle plus vite que son ombre .
Nous aurons droit à une belle discussion après la diffusion du documentaire sur le chorégraphe Jean-Pierre Perreault à Télé-Québec . Depuis un bon moment nous partageons nos idées et surtout nos critiques contre le gouvernement Charest en matière de culture . Peut-être que le débat de ce soir nous ouvrira encore un peu plus les yeux .
Pour compléter , une nouvelle série américaine prend l’affiche . Je dois dire que Perdus nous tient en haleine , car au hasard des conversations , un peu tout le monde a hâte de savoir ce qui se cache dans l’île ? Des extra-terrestres , une expérience militaire , des dinosaures etc . Espérons que Beautés désespérées et ses intrigues de ces pauvres belles femmes riches pourra retenir notre attention .
Ce docu-feuilleton avec Louis José Houde promet l`Aventure avec un grand A. Comment l`équipe a-t-elle pu le suivre pour réaliser un tel projet! À voir très certainement, ne serait-ce que pour apprécier encore une fois l`immense générosité de cet humoriste qui cache un être humain bourré de talents et d`intelligence.Je serai au rendez-vous devant mon écran le 4 avrill c`est certain.
Nouvelle séries qui ressemble à notre film culte mais completement différent ou même plutot tres spécial qui viendras bousculer à partir du mois d’avril, le quotidien de notre télé réalité mais pas aussi réel que cela.
Même style que le film qui a fais fureur mais ici ce sera une série donc moment cocasse à l’horizon et je ne sais pas si se seras osé autant que dans le temps.
On verra!
J’ai vu le spectacle de Louis-José Houde et je dois dire qu’il est unique en son genre. Que ce soit par la vitesse à laquelle il débite son texte abracadabran ou par sa vision hilarante des petites choses qui forment notre vie, il réussit toujours sa mission, celle de nous faire rire.
En entendant parler de son émission, j’ai tout de suite été charmé par cette idée de pouvoir le connaître un peu plus. Connaître l’homme dernière l’humoriste, ou peut-être l’absence d’homme dernière l’humoriste, car il dit n’avoir plus de vie à part ces spectacles. Une émission à suivre…
Bin oui…Encore une fois on se ramasse avec les restants des USA… Mais bon, personnellement j’aime bien! Ils sont tellement clichés qu’ils me divertissent! :o)
Si cette série à remporté un succès fou…que ce soit au USA, au Japon ou en Inde… je m’en tape… Il s’agit d’un succès qu’une majorité quelconque à su apprécier. Pourquoi ne pas donner la chance au coureur avant de lincher qui qu’ce soit?!?!?
Quant à notre Louis-Josée national, je l’adooooooooooooooore!!!! J’ai été voir son show et j’me suis entretenu avec lui un gros 2 minutes après l’évênement….un amour!!! Il est tellement fin et bon, encore un fois, j’embarque dans le moule de notre société et je trippe télé-réalité (Bon ya toujours des maudites limites là mais quand même…)!!! Et au lieu de me psychanalyser à savoir d’où me vient cet étrange besoin de voyeurisme que j’entretiens en dégustant une fois de temps en temps un bon reality show….ON S’EN TAPE!!!!! C’est trop drôle pour s’en passer!!!! Et d’ailleurs…certaines réflexions très songées peuvent peuvent surgir de votre esprit avant /pendant /ou après le visionnement d’une de ces émissions….pensez-y….biiiiiiiiiiiiiip!!!
Il y a des lunes que l’on a pas vu un printemps aussi diversifié coté télévisuel, De nombreuses et nouvelles séries se mettront en branle dès la semaine prochaine, Avec le coût plus élevé des téléromans et séries diverse, le nombre d’épisodes se fait de plus en plus court. on commence le plus tard possible et aussitôt le printemps arrivé c’est déjà la fin des émissions.. Quoi de mieux que de nouvelles séries comme celle de ‘Beautés Désepérées’, en passant par ‘En attendant Ben Laden’ ou ‘Louis-José Houde à suivre’. Cela comblera les soirées pluvieuses d’avril et mai.en attendant les vraies chaleurs estivales.ainsi que les nombreux festivals extérieurs…
Non et non, comment ce fait-il que la Société Radio-Canada qui a pour fonction de nous montrer des séries au contenu canadien soit allée acheter la série américaine « Desperate housewives », avec ces femmes en détresse dans une banlieue de luxe américaine, comment s’identifier, faudra-t-il s’acheter des armes pour faire le gazon, laver l’auto ou cotoyer les voisins. Et la traduction française de Paris ou de Montréal, le doublage fait vivre certains de nos comédiens. Décidément ce printemps le mardi soir sera consacré au cinéma en salle et j’irai voir « Top Girls » à l’Espace Go. En échange les américains devraient avoir à leur programmation estivale « Les Bougons » et « Bunker », question de les brasser un peu, et Opra à la ferme, au cachet de 3 millions par émission, elle pourrait acheter tout le boeuf canadien sur le marché, ce serait vachement tout un échange de culture.
J’étais bien contente d’apprendre qu’il y aura une nouvelle émission avec Louis-José Houde. Même si je crois que ce sera tout à fait différent de dolloraclip, je suis persuadée que ce sera tout aussi bon. Pourquoi? Tout simplement parce qu’il est l’un des plus brillants humoristes de sa génération. Enfin un comique qui a compris que pour faire rire les gens on n’a pas besoin de « bitcher » les autres et de sacrer à tous les trois mots! En plus, pour ceux qui n’ont pas eu la chance de le voir en spectacle (comme moi… parce qu’il joue toujours à gichet fermé) cela nous donne une belle occasion d’avoir une petite idée de ce que nous manquons. Dans une entrevue qu’il a donné dernièrement à la télévision, il disait que ce ne serait pas comme la série de Michèle Richard… en effet, le documentaire se concentre plutôt sur sa vie professionnelle et non personnelle (ce qui selon moi est une bonne chose parce qu’on n’a pas nécessairement envie de savoir qu’elle est sa marque de dentifrice ou qu’est-ce qu’il mange pour déjeuner). À voir, pour les amateurs d’humour…une série qui nous fera commencer l’été du bon pied, dans la joie et la bonne humeur!
Vraiment, je crois que cette série sera de mise cette année. Ayant déjà vu son spectacle à plusieurs reprises, je peux affirmer que rien n’est ennuyant, et se série sera là pour le prouver. Ça va débiter à un rythme d’enfer, et je crois que ce docu-réalité nous présentera vraiment la vie de tournée. Probablement que certains rêveurs se retourneront! Et peut-être le mythe de l’artiste qui vit la vie parfaite sera démentie!
Je crois sincèrement que ce sera une émission à ne pas manquer. Du moins, la première. Et ne manquez pas le générique du début….de la danse en ligne est au programme!!
Mais qu’arrive-t-il a Radio-Canada?! Notre réseau canadien est-il en train de perdre la carte?! Nous étions déjà assez envahi par tous ces « reality shows », ces reprises mal traduites d’émissions américaines à grand budget, ces soaps sans aucun but ni morale, sans que Radio-Canada vienne s’en mêler!!! Depuis ma toute jeune enfance, Radio-Canada vante ses mérites par des émissions de qualités, avec du contenu et de l’information, pas une reprise d’une série américaine, qui en passant, n’est pas du tout représentative de nos bons voisins du sud! Je vous laisse à vos émissions…moi, je vais profiter du printemps qui passe…!
Plusieurs humoristes se font un chemin dans le monde de la télévision. Pourquoi pas Louis-José Houde? Chacun a le droit à sa chance et le public se chargera bien de juger de son tâlent le temps venu. Mais, ne devenons-nous pas un peu trop voyeur?
J’ai beaucoup de peine pour ces pauvres filles… Imaginez: Elles ont les seins trop gros que les soutiens-gorges de leur format sont horrible… Leurs petites fesses ne supportent pas les petites tapes d’amour… Le prix du rouge pour les lèvres est environ 10$ le tube, donc à la grosseur de babines… 20$ par semaine… De plus, ces pauvres filles sont pognées à flirter avec l’ex de leur copine, le gymnaste musclé, qui soit dit en passant, a autant de botox qu’elles et si peu d’expression (N’avez vous pas remarquer que Brad Pitt a toujours la même expression faciale? On sait pas s’il rit, s’il est faché ou s’il vient… c’est assez désagréable) Sans oublier tous les problèmes qu’occasionne la bonne qui fait le ménage, les bitcheries d’une contre l’autre parce que un a le ‘kick’ dessus….
En bref: ON LA CONNAIT L’HISTOIRE!!!! ON PEUT MEME PREDIRE LE PUNCH!!! La petite blonde va finir avec le plus beau des gars, aucun d’eux ne semble travailler, personne fait le ménage, personne fait le souper… Impressionnez-nous donc un peu… genre un peu d’action!!! Parce que même s’ils sont si parfaits dans les ‘soap’, on sait tous qu’eux aussi ont le va-vite après un souper trop épicé, eux aussi ont des infections, le nez qui coule, la poche qui pique… Et probablement que ces belles femmes pulpeuses ont aussi la mauvaise manie de pêter au lit, espérer que l’odeur va demeurer sous les draps et trouver ca aussi rigolo que nous… Sauf qu’elles, elles sont en plastique ;)
Encore une série d’émissions pseudo réalité! Et sur Louis José Houde en plus… Je commence à être à bout de le voir partout à la télé, sauf en plus que le voit dans sa vie quotidienne…
Je vais vous dire que je préfère beaucoup plus les séries américaines achetées par radio-canada que ce genre de TV voyeuriste
De toute façon, on sait déjà qu’il parle vite sur scène, on s’imagine assez bien qu’il doit parlé vite aussi entre deux soirées de spectacle! Parler vite, la base de la carrière de Mr Houde, serait-il aussi différent des autres et serait-il aussi drôle s’il parlait lentement?
Enfin, j’ai vu les prestations télévisuelles de Mr Houde plusieurs fois à la tv (comment faire autrement, il est partout), mais je n’ai pas vu son spectacle. J’espère honnêtement que celui-ci est à la hauteur des commentaires que j’entends et qu’il est une bonne raison aux manières de plus en plus hautaines que prennent celles de Louis-José Houde.
J’ai bien hâte de voir Louis-José dans sa nouvelle émission. Je suis certain que ça sera super et qu’il jouera de façon fantastique son rôle. Ce jeune homme est tout a fait magnifique et un des plus génials humoristes depuis plusieurs années.
J’ai bien hâte de voir ce documentaire et je suis certain que nous allons énormément rire autant que dans ces spectacles. Ça sera un plus pour nous tous amateurs d’humour.
A force de vouloir battre les cotes d’écoutes, l’audimat, l’audimètre, Rad Can n’hésite pas. La fin justifie les moyens. Considérables, qu’ils sont, les moyens de Rad Can: l’argent des contribuables, celui de la pub. Rad Can aurait dû se contenter de l’argent canadien et nous présenter des émissions inspirantes, avec du souffle, celles qui nous arrachent du quotidien et qui nous bercent de -langueurs océanes-. Ils se gourent même sur la FM (la première chaîne qu’ils disent). Et aussi la deuxième. CBF 690: le verbiage au AM. CBF 100,7: la musique au FM.
Fire le PDG de Rad Can. Fire Mario Clément. Fire Lepage. Fire Les Bougon.
Hélas, je suis d’un autre monde. Comme Léo, j’emprunte des chemins de traverse.
Je le confesse, le reconnais, persiste et signe….j’ai vu plusieurs épisodes de ces Desperate Housewives…
Oui, oui, plutôt que de me confiner au génie local et à ses productions, j’ai osé zieuter ce qui se faisait au Nord. Et pas seulement ces beautés désespérées. Ce que j’en ai retenu? Que nos voisins devaient être drôlement névrosés, si on se fie aux comportements décrits dans leurs feuilletons. Qu’ils sont forts en gueule, qu’ils ont la gâchette facile, qu’ils adorent faire de l’intrusion dans la vie d’autrui sous tous les prétextes, qu’ils partagent tous le syndrome de la pauvre petite fille riche, bref, qu’ils ressemblent étrangement à celui qui les dirige…Normal, en démocratie, pas vrai?
Bien entendu, ce qui se fait ici n’a rien à voir avec cette vision du monde et ce que présente habituellement Radio-Canada. Les Bougons, qui utilisent aussi la satire pour nous faire rire, ne sont absolument pas des névrosés, il va de soi…Suffit de les voir à l’oeuvre pour comprendre combien ils respirent l’équilibre.
Quant à cette Virginie qui occupe nos débuts de soirée, aucun parallèle à faire avec les américains, bien entendu. Il y a au Québec, une multitude d’écoles secondaires aux prises avec trafic de drogues, prostitution juvénile, bullying, guerres de gangs, incendie criminel, prise d’otage, inceste, maladies mentales diverses chez les enseignants, adultères en série, et j’en passe…Aucun excès, cela est bien représentatif de notre monde, toute ressemblance avec ce qui se fait chez nos amerloques cousins est fortuite.
Idem, il va sans dire, pour Fortier, qui jamais au grand jamais ne s’est inspirée de ces multiples séries portant sur les forces spéciales qui hantent les canaux américains.
Permettez-moi de sourire. N’y aurait-il pas un brin de chauvinisme derrière tout ça?
Bien sûr nous produisons d’excellentes séries, mais ce que nous regardons assidûment n’a rien à envier à ces beautés désespérées en matière de voyeurisme…
Et voilà qu’on s’apprête à nous abrutir encore une fois avec une autre émission de télé-réalité. Croyez-vous vraiment qu’une personne peut être à son naturel lorsqu’elle se sait filmée? Est-ce que ça nous intéresse vraiment de voir comment ça se passe pour un artiste dans les coulisses, dans l’autobus, dans les restaurants, à la maison? Je ne crois pas que ça manque à ma culture! Quand j’ouvre la télévision, c’est pour me divertir (par des films ou des émissions qui présentent des situations qui me font rêver) ou pour m’informer (par des bulletins de nouvelles ou des documentaires) et non pour voir des émissions insignifiantes qui remplissent bien une case horaire. J’en ai plus qu’assez de cette épidémie de télé-réalité et de ne parler que des vedettes. J’aime bien qu’on parle du « vrai » monde, mais sans toute cette mise en scène soit disant naturelle. La télé-réalité est en fait une grande ligue d’improvisation pour les producteurs en manque de moyens, de scénarios.
Pourquoi Radio-canada passe des télé-séries américaines? TQS et TVA s’en charge déjà assez non! Des films ça va, mais des émissions de ce genre c’est complètement vendu! Qu’arrive t-il à nos impôts, c’est ça le libre échange, et en plus,si ça été un tel succès au états-unis ça doit coûter une fortune en droit de diffusion! Tant qu’à moi il devrait nous payer pour entrer sur nos ondes avec leurs »remakes » de »remake ».
Et cette idée d’un départ choque, houuuuuuu!!! renversant, américan beauty à l’envers et en tranche avec une commère qui parle encore des autres même du haut de sa mort. Décidément les poules auront des dents en Avril…
Tant qu’à Radio-Canada et les émissions américaines qui nous sont présenté, je trouve que c’est totalement ridicule. Il y avait la série « Lost » et maintenant voici « Desperate Housewives ». C’est une vraie honte à notre culture. Si au moins les Américaines avaient plus de talent et de créativité que nous, nous pourrions nous réjouir. Mais ce n’est guerre le cas… Combien d’artistes de notre belle province auraient pu trouver un emploi si ce n’était de ces deux émissions stupides? Sommes-nous rendu si léger et facile nous peuple québécois pour se contenter de si peu? Est-ce une conséquence de la mondialisation? On peut déjà remarqué que quelques uns de nos films ressemblent étrangement au grosse production de film d’horreur de nos voisin. Mentionnons ici « Sur le seuil » …. qui se situe assez loin de la richesse des films de Robert Lepage par exemple, qui ne tentent pas d’imiter personne.
Tout le monde acclamait haut et fort que la télé-réalité allait nous affaiblir les neurones. Si nous sommes confronté a des productions américaines à Radio-Canada en plus, bonjour l’hospice.
Je lis cela et je me demande qu’est-ce qui me retiens, moi, illustre inconnu du Québec, d’avoir ma propre émission sur les ondes publiques? Vous ne trouveriez pas ça intéressant de connaître ma vie, mon petit air grognon le matin, mon transport quotidien avec le RTC, la monté en ascenseur au penthouse de l’édifice où je travaille? Un peu comme à l’époque ou Télé-Québec diffusait Pignon sur rue. Ce nouveau spectacle de L-J Houde démontre bien que la télévision ne sait plus quoi présenter. Les diffuseurs ne prennent plus aucun risque. Un ami a présenté quelques projets à différents réseaux : non, non et non. Pourtant, ses idées étaient bonnes. Cela aurait amené un vent de fraîcheur devant nos yeux. L’un des derniers risques télévisuels que j’ai vu date de Phylactère-Cola à Télé-Québec. Décapant.
Enfin un nouveau show télé de l’homme qui a la langue plus vite que sa bouche!! OK, dans ce que je comprend c’est que sa va être un « reality-show » à la Michèle Richard (qui était vraiment, mais vraiment des plus mauvais!!!). Mais c’est Louis-José alors on s’en fait pas trop pour l’émission, car sa devrait être bon quand même, peut-être pas autant que Dollaraclip, mais quand même bon!
Ainsi Radio-Canada s’apprête à diminuer les documentaires de Zone libre de 23 à 8
tout en prétendant que l’information est importante mais se permet d’acheter une
mini série américaine comme « Beautés désespérées »?…Wow!Ça c’est tout un mandat
culturel que se donne notre Société d’État…Personnellement je pense que nous sommes en train de vivre une sorte de dérive culturelle où la popularité des émissions de télé-réalité de toutes sortes augmente ce qui entraîne une concurrence entre les différentes stations pour attirer le plus de spectateurs possibles.Au lieu de se questionner sur la qualité et la pertinence d’une émission,on se questionne sur la quantité de gens qu’elle ira chercher…J’attends davantage de notre Société d’État.
Dernièrement,j’ai découvert TFO que nous offre présentement la télé numérique de Vidéotron;tous les vendredis soirs depuis bientôt 1 mois,on y présente des films de
Bergman et cela se poursuit tout le mois d’avril.L’émission débute comme dans le bon
vieux temps (excusez l’âge!…)par une description et analyse du film par un présentateur.J’ai cru comprendre que ce poste de télé de l’Ontario survit grâce aux
dons ,un peu sur le principe du poste du Vermont côté anglophone,publicité agres-
sante en moins…
Est-ce l’avenir de notre télévision?
Une émission de télé sur les banlieusards qui s’ennuient!? C’est une bonne idée, mais j’espère qu’on a pas payé trop cher pour ce genre de télé, qu’on pourrait faire tout aussi bien faire ici au Québec! J’imagine facilement par exemple les bougons y déménageants!!
Mais trève d’hallucination, je trouve que la sphère publique disparait, et au risque de me répéter, cela au profit de l’individualisme et de la consommation. L’espace urbain devient homogène et se transforme en une sorte de parc thématique à risques contrôlés. C’est pas un problème de banlieu ça, c’en est un d’une société dite des loisirs. Quand les gens des banlieus et de la ville ont trop de lieux communs, ou se trouve la différence entre les deux, si ce n’est que de la quantité de gazon à couper?
La télé est ce lieu commun, que tous nous regardons à nous faire vomir, mais si passivement…
Mais le problème se situe aussi au niveau de l’homme public, qui devenu consommateur universel, devient par le fait même victime universelle, victime du capitalisme, et de la consommation. L’individualisme extrême de gens qui ont tous à peu près les mêmes idéaux, et mêmes rêves, amènant ceux-ci à se victimiser sans qu’ils puissent voir d’alternative, celle-ci se limitant au centre d’achats, le cinéma, et la maudite télé.
L’espace public qui donnait lieu à des échanges, des contacts humains et à de l’espoir disparait peu à peu, parce que nous sommes occupés à vivre par procuration, dans notre salon. C’est probablement pour ça que cette jolie demoiselle se suicide au début de cette série américaine. Est-ce ça le bonheur, banlieu proprette, condo ou maison proprette, en banlieu ou en ville soit dit en passant?
Louis-José Houde fait partie de la catégorie d’humoristes qui ne se prennent pas au sérieux. Il n’a pas peur du ridicule. Sinon, il serait raide mort sur la scène.
Le travail d’un humoriste est de faire rire, pas de politiser ni de conscientiser. L-J H le fait très bien. Ce moulin à paroles nous en donne pour notre argent. Grâce à son débit rapide, il en raconte des conneries et le spectateur en a deux fois plus pour le prix d’un seul billet. Même que les téléspectateurs pourront en avoir gratis tous les lundis soir 19 h 30 à Radio-Canada. Belle initiative !
Depuis quelque temps, les journalistes, soi-disant sérieux, reprochent aux humoristes leur manque d’implication sociale. Quand je vais voir un spectacle, je ne vais pas entendre un discours politique. Je ne vais pas me faire convertir à une idéologie. Je paye pour rire et je veux rire. Avec Louis-José, le rire est garanti. Si vous ne riez pas, vous vous êtes trompés de salle. Peut-être que vous cherchiez une église…
« Desperate Housewives » n’est qu’un exemple flagrant qui démontre que les émissions québécoises ne sont en général que des représentations d’ émissions américaines, version « last year ».
Sûr que ça pogne aux États-Unis ce genre de scénario qui présente des femmes style « Front page de Play Boy », vivant comme par hasard à quelques maisons l’une de l’autre et prouvant que le péché originel appartient d’abord à la femme!
Selon la bible traduite pour induire le peuple en erreur, n’est-ce pas Eve qui croqua d’abord dans la pomme? Puis, Eve a sûrement été la seule femme né d’un homme! Ceux et celles qui croient en ces fantaisies fictives embarqueront dans les histoires véhiculées de femmes mariées et malheureuses. Justement, puisque le sujet souligne « Housewives », il n’est pas représentatif de la situation des femmes au Québec. Il y en a des femmes mariées, mais la majorité des femmes d’ici sont divorcées, célibataires et heureuses de l’être.
Le tître « Desperate » qualifie très bien la position « Housewives ». Mais nous savons bien que le mariage n’est pas la cible majeure des femmes au Québec. Au contraire!!!
Alors dites-moi, pourquoi Radio-Canada ternit-elle son image en nous refilant une émission « made in USA » qui correspond aux femmes vivant en Arizona ? Ou encore au Texas? Les madames d’un autre ailleurs!!!
Encore une fois, je souligne qu’il y a place à la créativité et à l’originalité pour présenter des scénarios qui collent à notre pays (le Québec). De plus, ces scénarios donneraient du travail aux comédiens d’ici, talentueux et capables de représenter notre culture!
Bien que certains critiquent le fait de diffuser Beautés désespérées, j’ai commencé à regarder cette série et je n’en démords pas. C’est vraiment accrocheur, nouveau et je ne trouve pas pire le fait de l’écouter que Virginie.
Et en ce qui a trait à Louis-José Houde, la série où l’on peut le suivre durant sa tournée est excellente et fut même rediffusée cette année. J’aime bien le fait d’avoir pu voir l’homme derrière le personnage et j’ai été en mesure de constater qu’il demeure une personne profondément gentille et accessible. Pas de double identité, ou du moins aucune qui n’a été présentée à l’écran.