S'ENVOYER EN L'AIR
Certains ont une sexualité si débridée qu'ils feraient passer la plupart d'entre nous pour des curés (enfin, c'est une expression). On suit dans ce documentaire les tribulations coquines de quelques aventuriers du sexe. Habitués des croisières échangistes, séropositifs cherchant les relations non protégées avec d'autres séropositifs, adeptes du sadomasochisme aimant se faire insulter par une dominatrice transsexuelle (autrement fort sympathique). Le sexe est devenu pour eux un loisir, un peu comme d'autres collectionnent les timbres. Un documentaire fascinant qui, même si le sujet s'y prête bien, n'abonde pas d'images perverses. À regarder l'esprit ouvert, mais sans mouchoirs. À TV5, le vendredi 22 avril, 21 h 30.
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CHAPLIN, LES ANNÉES SUISSES
Chaplin chez les Helvètes, à ARTV. |
Dans ce Thema consacré à Charlie Chaplin, ARTV présente un documentaire sur les années suisses de Charlot. Parce que les États-Unis de McCarthy lui prêtaient des sympathies communistes, le roi du cinéma muet a préféré, en 1952, s'établir en Suisse, terrain neutre par excellence. C'est là qu'il vivra les 25 dernières années de sa vie, avant de s'éteindre le jour de Noël 1977. Ce document raconte l'intimité des années tranquilles de ce monstre du 7e art, avec nombre d'archives et des entrevues avec ses enfants, son coiffeur, son photographe et ses amis proches. Le dimanche 24 avril, 21 h, à ARTV.
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LA GUERRE DES SEXES
Qui remportera La Guerre des sexes? À Radio-Canada. |
Le titre peut faire penser à une nouvelle version de La Guerre des clans, célèbre quiz animé par Luc Senay (dont la "split" tout aussi célèbre est passée à l'histoire). Il n'en est rien. Cette série documentaire en cinq épisodes met en compétition des représentants des deux sexes qui doivent relever des défis divers. Des psychologues rendent compte des résultats et nous expliquent pourquoi les hommes n'écoutent jamais rien et pourquoi les femmes ne savent pas lire les cartes routières. Cette semaine, dans le troisième épisode, on parle de pouvoir. Vous pouvez vous aussi relever les défis de La Guerre des sexes sur Internet à l'adresse www.radio-canada.ca/guerredessexes. À Radio-Canada, le lundi 25 avril, 21 h.
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DES VERTES ET DES PAS MÛRES
La semaine dernière, Radio-Canada lançait En attendant Ben Laden, et l'on sait déjà que l'attente sera longue. Cette semaine, c'est au tour de Sébastien Benoît de prendre la barre du talk-show Des vertes et des pas mûres, une quotidienne qui, sur papier, semble avoir très peu de chances de susciter la moindre controverse. Chaque semaine, une vedette qu'on aime est invitée à replonger dans ses plus mémorables souvenirs d'été… C'est chou, non? Du lundi au jeudi, 19 h, dès le 25 avril.
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ETC.
Les sept derniers épisodes de la série Les Artisans du rebut global (diffusée à Télé-Québec l'automne dernier) seront présentés ce dimanche dès 19 h au café L'Utopik (552, rue Sainte-Catherine Est). Cette émission qui avait pour but de bâtir une maison à partir de déchets a récemment intéressé nombre de pays au MIP-TV à Cannes. L'Allemagne, l'Angleterre, l'Espagne, les États-Unis, la Finlande, la France et la Norvège pourraient bientôt acquérir le concept…
Enfin une émission où la différence homme-femme est abordée d’un point de vue plus scientifique et qui cherche des explications plutôt que d’y aller de discussions futiles entre ultra-féministes remplies de clichés. Le site web de l’émission est également très intéressant. On peut notamment répondre à un petit questionnaire qui nous donne des informations relatives à chacun des thèmes évoqués au cours de l’émission.
Peu d’acteurs savent, autant que Charlie Chaplin, me faire passer du rire aux larmes.
Par exemple, dans le célébrissime long-métrage « Great Dictator », la scène du barbier oeuvrant au rythme de la danse hongroise de Brahms m’a enthousiasmée au plus haut point, alors que la scène finale, dans laquelle le film se conclut par un discours philanthropique, m’a profondément émue.
Autre exemple ? Dans « The kid », où les gags burlesques laissent finalement place à une scène plus émouvante, soit celle où l’enfant se fait emmener à l’orphelinat.
On a pas fait énormément de publicité pour l’émission « LaGuerre Des Sexes ». Et c’est pourquoi je ne m’attendais pas à grand chose de cette émission, en pensant que ce serait une traduction d’une émission américaine qui miserait plus sur le show que sur la précision scientifique. Je n’ai donc écouté les premières émissions que très distraitement, en écoutant autre chose et en pitonnant de temps en temps sur Radio-Canada pour voir ce que ça avait l’air. Et je me suis rendu compte que c’est une très bonne émission, qui semble être produite par ici. On ne se contente pas seulement que du tape-à-l’oeil, mais on tente de donner des explications scientifiques, à l’aide d’experts, pour expliquer les différences entre les hommes et les femmes. C’est en fait très intéressant et très instructif.
C’est dommage que l’on n’ait pas mis plus d’efforts pour annoncer cette émission et mis plus d’emphase sur le contenu exact de l’émission. Car bien des gens que je connais ne l’écoutent pas car il n’étaient pas au courant de la qualité de cette émission.
La question que nous devrions nous poser est : Est-ce que ça nous regarde la sexualité des autres ? Il semble en tout cas que ce soit assez regardé. Que mon voisin fasse des beuveries de fin de semaine à rendre tous le monde malade passe pour normal, mais si on apprend qu’il fait des partouzes de sexe (avec des gens consentants on s’entend !), alors là on s’offusque…..Ce sera sans doute intéressant de voir le traitement du sujet de ce documentaire (dont j’aurais aimé connaître la provenance…).
Je me suis demandé si la génération actuelle connaissait Charlie Chaplin autrement que de nom. C’est sans doute le moment pour eux et pour nous de jeter un regard sur cet homme qui a marqué son époque de façon indélébile.
Je regarde l’horaire d’été, plein de nouveaux épisodes….. Je les ai regardés, ou essayé de les regarder, mais sans succès! De qui sont venues toutes ses idées aussi plates? Je ne peux pas croire qu’on en soit rendu là À quand une bonne émission?????
Pour le texte « s’envoyer en l’air », je fus surprise de voir qu’on passait ce genre de « documentaire » à la télévision. Est-ce qu’on va en apprendre plus? Bof, je ne sais pas. Plein de personne séropositives vont faire l’amour avec d’autre personnes comme eux et ne se protègeront pas. ce phénomène n’est pas nouveau. C’est vieux comme la guerre!
La guerre des sexes! Voyons, on a tous nos qualités en temps que femme ou en tant qu’homme, moi je dis les hommes sont nés pour faire des trucs et moi aussi, je ne suis pas pour qu’une femme reste à la maison (je me considère féministe un peu), mais oui en tant que fille, il y a des trucs que je ne suis pas capable, mais que si j’étais un gars ça serait plus inné en moi. Il faut se l’avouer, autant les filles que les gars!!
Je ne savais pas trop à quoi m’attendre quand j’ai regardé la première émission de la Guerre des sexe et je n’avais donc pas vraiment d’attentes. Et bien j’ai trouvé l’émission bien intéressante et j’aime aussi le fait qu’une psychologue commente les différentes étapes que nous voyons. Bon à la première émission les filles n’étaient pas les meilleures et on passait plus pour des cruches que d’autres choses, mais on a eu notre revanche à la seconde émission quand les gars se sont fait planter à leur tour!! Une émission qui est donc juste et qui permet de constater que les gars et les filles ne sont vraiment pas nés dans le même moule. Il faut prendre cette émission en riant, tout en voyant son petit côté éducatif. Une bonne émission et pas trop longue puisqu’elle ne dure que cinq épisodes.
La sexualité est un sujet sur lequel les gens semblent de plus en plus ouverts mais ce qui n’empêche pas que certaines pratiques nous semblent incompréhensibles! Est-ce que le sexe doit comprendre un niveau de risque pour que l’on en retire du plaisir? Certaines personnes ressentent le besoin d’aller toujours plus loin et de repousser plus loin la signification de l’interdit. Certaines personnes sont dépendantes au sexe et ne peuvent s’empêcher d’y penser et cela les empêche de vivre une vie normale. Esclaves du sexe! Ils doivent aller de plus en plus loin et ils recherchent un plaisir toujours plus intensesmais il me semble qu’ils vont un peu trop loin.
Le monde évolue et la sexualité aussi . Mais à bien y penser , est-ce que la sexualité n’est pas plutôt moins cachée qu’avant et les adeptes s’affichent plus ouvertement . Il m’arrive en zappant , surtout sur les canaux spécialisés de tomber sur une émission qui va me faire rire en voyant cette femme obèse habillée de cuir , les foufounes à l’air se faire atteler à une cariole et promener son maître et gourou dans la rue pendant qu’il la fouette gentiment . Si c’est son fantasme et qu’elle obtient un orgasme en jouant à la jument et bien je me dis que tous les goûts sont dans la nature .
Quand on en est rendu à se rendre à la Cour Suprême pour décider si un groupe d’adultes consentants et avertis peuvent se réunir dans un local pour pratiquer une sexualité de groupe alors on voit que la morale du bon peuple laisse encore à désirer .
Il y a des formes de sexualité que nous ne pouvons accepter comme la pédophilie mais si çà vous tente de jouer à la roulette russe avec un partenaire séropositif sans protection , alors c’est votre affaire .
« Le sexe est devenu pour eux un loisir, un peu comme d’autres collectionnent les timbres », peut-on lire en guise de présentation du documentaire S’envoyer en l’air. À mon avis, ce propos ne reflète pas la réalité de ce qu’est devenue la vie sexuelle et de sa banalisation au fil des dernières années. Ces « aventuriers du sexe » évoquent plutôt pour moi des êtres blasés qui doivent mettre la barre de plus en plus haut pour parvenir à la jouissance. Rendu là, nous ne sommes plus dans l’ère du loisir, mais bien dans une sorte de course au plaisir que seul le repoussement de nos frontières intimes nous permet d’accéder à l’orgasme tant recherché. La jouissance à tout prix? Sans doute! Loisir? Sûrement pas! Dans certains cas, on peut même parler de « job à temps plein ».
Je me souviens de l’hommage rendu à Charlie Chaplin durant cette soirée des Oscars lors de laquelle il avait été présenté comme un acteur… suisse. Et cette expression sur les visages dans la foule, un mélange de gratitude et de honte: la joie d’être en présence du plus grand comique de tous les temps et la gêne de n’avoir pas su conserver ce trésor vivant dans son pays d’origine. Dans le visage du vieil homme, des sentiments mêlés, une sorte de sourire triste, comme son personnage quand il s’éloignait en faisant tourner sa canne.
Parce que les histoires de cul des uns et des autres ne me fascinent pas, je trouve dommage que trop souvent les gens consacrent autant d’heures à regarder autant d’émissions insignifiantes, je vais me rabattre sur les prochaines émissions d’En attendant Ben Laden qui seront sûrement à la hauteur de Jean-René Dufort! Je trouve déplorable que la critique ait assassiné si rapidement cette émission en direct! On s’en reparle dans quelques émissions!
Charlie Chaplin « Charlot », j’ai justement écouté avant-hier « Les temps modernes » de Chaplin et je me suis surpris à rire au éclats. Chaplin a longtemps résisté à la venue du cinéma parlant. J’ai vu le film sur sa vie plus d’une fois mais dans le film il n’y a presque rien concernant la période en exil en Suisse. J’espère que le documentaire de la très bonne émission Thema au canal ArTV saura me combler sur cette période de la vie de Charlot. Je vous suggère fortement de replonger dans ces films de la période naissante du cinéma.
Je n’ai vu qu’une parcelle de l’émission sur cette guerre des sexes. Une épreuve de logique, où à partir de 3 hommes et de 3 femmes, on essaie d’extrapoler sur tous les représentants de ces deux genres. On ne cherche pas à savoir que peut-être ces 3 hommes ou ces 3 femmes ne sont que des représentants d’eux-mêmes et qu’ils ne sont peut-être pas les représentants de toute la race humaine. Que si 3 autres hommes ou 3 autres femmes avaient été choisis, les résultats auraient été tout autres.
On semble chercher à rester sur ses clichés. À vouloir toujours opposer ces deux sexes, pas surprenant qu’ils vivent si mal ensemble et qu’ils se blâment constamment pour l’insuccès de leur rapport.
Je ne manquerai pas le documentaire à ARTV dimanche prochain sur les années suisses ou d’exil de Charlie Chaplin, cet acteur né en Angleterre a fait les belles années du cinéma muet et réalisé de grands films, à la fin de sa vie les membres de l’Académie à Holllywood lui ont enfin offert un Oscar en reconnaissance de toute sa carrière, il est venu le recueillir en fauteuil roulant mais la tête haute. Ce documentaire nous présentera l’homme mature, avec des témoignages de ces enfants, on va découvrir qu’il a fait beaucoup d’autres chefs d’oeuvre après « Les Temps Modernes » et « Le Dictateur ».
L’émission « La guerre des sexes » est divertissante. Mais il y manque plusieurs éléments. L’idée de base est intéressante. Toutefois, les questions avec réponses déterminées du genre a,b,c,d,e ne sont pas représentatives de ce que pensent et vivent réellement les hommes et les femmes. Il faudrait faire place à la réponse libre, pas pensée d’avance selon les statistiques émises.
Bien qu’analysé et commenté par des psychologues, la cible n’est pas toujours atteinte. Il ne faut pas oublier qu’il y a un pourcentage englobant le « généralement », un 5% qui se diffère, et le 1% du 5% qui se diffère d’autant plus.
Une femme peut être très féminine et se voir attribuer des qualités masculines ou vice versa. Il en est ainsi pour les hommes. De plus, les invités sont assis autour d’une table qui camoufle les gestes. Il serait bien de les voir installés sur des divans de cuir, des tabourets, des coussins au plancher même pour justement pouvoir étudier les gestes qui décrivent avec points de repères la personalité de chacun.
Généraliser le comportement féminin versus le comportement masculin n’est pas applicable selon moi, si ce n’est que pour tenter d’améliorer la compréhension des différences.
Bref, cette émission manque de piquant et s’attarde sur des sujets qui finissent par ne plus divertir.
« Des vertes et des pas mûres » me fait horriblement penser à une question que l’on pose habilement, année après année, à une « personnalité » bien de chez nous, une de ces vedettes du petit écran dont on aime tant se délecter de leurs moindres petits secrets. Dans ces innombrables magazines féminins (dont je suis honteusement une grande consommatrice), on ne manque pas de nous bombarder lors du lucratif Temps des Fêtes des meilleurs « souvenirs des Noëls de mon enfance », gracieuseté des mêmes vedettes chéries du petit écran, celles-là mêmes qui vont venir nous talonner avec leur meilleur souvenir d’été à la nouvelle émission du beau p’tit Sébastien Benoît, qui rafraîchira sûrement sa coupe de cheveux pour la belle saison…Je veux bien croire que l’été, c’est supposément « léger », mais je refuse d’associer léger à médiocrité.
J’aime beaucoup l’émission Infoman, je trouve dommage qu’on ne voit pas le même Jean-René Dufort dans En attendant…J’espère que cette émisson saura faire sa niche et trouver un public parce qu’avec une telle équipe, ce serait dommage de voir l’émission quitter les ondes. C’est tout de même bizarre qu’une émission comprenant presque tout les mêmes personnes qui ont créés La fin du monde est à 7h, ne puisse faire lever une autre émission du même genre…
J’ai vu ce reportage déjà. Vive les rediffusions ! De nature curieuse et très ouverte, j’ai tenté de comprendre ces gens qui s’adonnent au sado-masochisme durant cette émission. Disons que je suis aussi perplexe qu’avant. Loin de moi l’idée de juger mon prochain. Au contraire, j’aime bien vivre et laisser vivre le monde. Pourtant, une sorte de dégoût m’a envahie lors de la vision de ce reportage. Un dégoût pour l’être humain. Nous sommes loin des homos sapiens qui se tapaient sur la tête, nous sommes civilisés. Difficile à croire lorsque l’on voit un homme à quatre pattes lécher la botte de sa « maîtresse » tandis qu’elle le fouette dans un pseudo-donjon aménagé dans un petit quatre et demi en banlieu. Enfin. Je me compte chanceuse de ne pas avoir ce genre de pulsion, de ne pas avoir besoin qu’on me pince ou qu’on m’électrocute pour avoir du plaisir dans l’amour. Comment un être humain peut-il avoir ce besoin quasi viscéral de se faire dominer ? D’être l’esclave de quelqu’un ? Nous sommes déjà esclaves de tant de choses : de l’argent, de nos emplois, des nécéssités de cette vie souvent difficile. Pour ma part, je pense que les sado-masochistes font pitié. Lorsque les jeunes brandissaient leurs pancartes, prônant l’amour libre, je ne pense pas qu’ils voulaient parler du droit à l’esclavagisme sexuel. Ou c’est moi qui est dans le champ, un des deux…
Le cul, ce grand malaise de l’an 2000 ! On le voit partout, on l’encense, on en fait le centre de nos préoccupations, on le banalise, on le fait entrer dans la bouche et dans les yeux de nos enfants avec cette impudeur dangereuse qui caractérise le monde médiatique du nouveau millénaire.
Parler de cul est à la mode. Inventer, s’en vanter l’est tout autant. Pour être quelqu’un aujourd’hui, il faut donner le sentiment qu’on n’a pas le moindre tabou en la matière, qu’on est prêt à tenter toutes les expériences, les unes plus scabreuses que les autres. On ne s’offusque plus de voir autant de sexe à la télévision, autant de petites poupées chantantes qui mènent le monde à la pointe de leurs seins refaits à l’âge de 16 ans. On s’embourbe tant qu’on finit par avoir des complexes quand on n’a pas envie de faire l’amour plusieurs fois par jour. Certains couples se séparent parce que monsieur ou madame a vu des choses sur Internet et a des envies de sexe périlleux pour lequel l’autre n’a aucun goût. D’autres couples se forment en entamant une liaison purement érotique sur le Net.
On dérive ! Le sexe n’est pas une marchandise banale qu’on consomme à la légère pour se donner le sentiment d’être et d’avoir. Le sexe est une question de désir, de plaisir et d’amour. De respect aussi ! Quel respect peut-on avoir pour l’humanité quand on trouve la jouissance en baisant sans préservatif quand on se sait séropositif et que l’autre ne le sait pas ? Quel héritage laissons-nous à nos enfants qui, déjà aujourd’hui, pensent qu’il est tout à fait normal qu’une gamine de 12 ans suce le pénis de ses petits camarades de classe dans les toilettes de l’école ?
Bordel, mais où va-t-on dans ce monde où tout s’achète et se vend, même l’innocence de nos enfants ? Les émissions de télé qui banalisent le cul le font dans le simple but de faire gonfler les cotes d’écoute et le pantalon de monsieur. Et la morale de l’histoire, ils s’en foutent !
Encore une fois le sexe à l’honneur! Et pourquoi pas? Je jetterai un coup d’oeil à cette émission ce soir afin de répondre à mon besoin de voyeurisme que je transpose en conviction de « besoin de comprendre »! oui il y a du vrai, mais…..
Ce cher Chaplin l’éternel muet, nous démontrant que le cinéma c’est plus qu’un texte enrichi par des cordes vocales ennivrantes! Mais bel et bien un art avec lequel il faut travailler dur ses méninges afin d’en ressortir des classique du genre! Le voir lui dans sa réalité, nous permettra de le voir parolier de sa destinée!
La guerre des sexes? Jusqu’ou irons-nous? Il me semble que le sujet est usé? Les femmes ne viennent pas de MArs et les hommes de Jupiter?
Je crois que le titre de la nouvelle émission estivale de Sébastien Benoit reflètera très bien animateur! Soit verte car elle est nouvelle sans expérience, manquant de nuance et croyant que tout doit être dit dans la règle de l’art. Et pas mûr dans un contexte que les émissions d’été on s’est pus quoi faire pour plaire! C’est quand il pleut qu’on l’écoute! Alors elles n’ont pas le temps mûrirs! Mais comme je suis gentilhomme. Je souhaite bonne chance à cette émission verte et pas mûre!
La vie privée des gens les regarde. Qui pourrait prétendre le contraire! Ce qui m’étonne, en revanche, est le fait que l’activité sexuelle reliée à la part intime de chacun est de plus en plus perçue par certains comme objet de transgression. Je comprends mal pourquoi il faudrait reconnaître qu’une vie sexuelle insatisfaisante devrait se transformer en pratiques déviantes. Puisque la tendance lourde qui s’est installée depuis une dizaine d’années consiste à nous exposer les débordements sexuels de tous et chacun, je trouve normal qu’on pose un jugement de valeur puisque en nous invitant à reconnaître comme un jeu des pratiques jusqu’à ce jour jugées déviantes, on les resitue dans l’espace public.
N’y a-t-il pas dans ce déplacement de l’intime au public, l’aveu d’une grande impuissance affective ? Un espace si rétréci, si rabougri que certains souhaiteraient le combler par la recherche d’approbation publique, i.e. les pratiques échangistes. Je trouve si ennuyeux ces «aventuriers du sexe» qui, selon moi, devraient rester dans l’ombre que je les trouve ennuyeux. Je regarderai toutefois l’émission à TV5 pour tenter de saisir ce que je n’ai pas compris de cette foire du sexe que l’on propose de plus en plus à nos enfants. C’est ça que je trouve inquiétant !
Dans l’émission «La guerre des sexes», la dualité inhérente aux deux sexes n’est pas traitée dans le but d’exacerber les rivalités. À l’aide de petits scènes amusantes et de tests facilement compréhensibles, on nous illustre de façon claire, comment ces différences s’expliquent et s’appliquent dans la vie quotidienne des couples. Ce qui favorise le respect de l’autre. Là se situe, à mon avis, la vraie aventure, J Il est prouvé que le cerveau fonctionne différemment chez l’homme et la femme. Des singes mâles et femelles à qui on a remis des jouets de gars et de filles ont choisi des jouets de gars (camion) et de fille (poupée). Une découverte qui ajoute une dimension nouvelle au concept nature/culture.
Les réseaux de télévision ont commencé à comprendre un fait légendaire. La télé, l’été, est tellement plate! Pourtant, les annonceurs, eux, ont quand même des produits à promouvoir l’été.
C’est alors que les télé-diffuseurs ont commencé à penser en terme de business et troquent de plus en plus les reprises de la Famille Plouffe au profit d’émissions estivales originales.
Voilà qui n’aura rien fait pour aider la population de plus en plus sédentaire à bouger un peu quand la température est plus clémente.
Un conseil, écoutez donc les chroniques où on vous suggère de faire des choses en plein air et allez prendre une bouffée d’air le soir plutôt que de vous écraser devant la télé avec votre bol de chips! Après tout, se promener en vélo ou s’occuper de ses fleurs est tellement moins engraissant pour le popotin que de grignoter en regardant « Tout le monde tout nu »!
J’ai également vu ce reportage sur le sexe… Non, pas osé. Juste… inquiètant. N’est-ce pas de banaliser la sexualité? Est-ce que dans 10 ans les jeunes filles devront jouer la sado-maso pour être ‘considérée cochonne’ de la part de son partenaire? Informer, c’est bien, mais ce n’est plus que de la simple information, c’est banaliser des pratiques peut-être un peu extrême… Les jeunes d’aujourd’hui se font demander d’avoir la pratique sexuelle de ‘porn star’ pour être passable devant leur nouvelle conquête, la barre est toujours plus haute, ce n’est plus 5 positions mais le kamasutra complèt, ce n’est plus un mais 2 partenaires et bienvenue aux miss ‘je crois que je suis bi’… Et les jeunes demoiselles, conscientes d’être hétéro, ne se sentent pas à la hauteur… La mensuration du membre de monsieur laisse à désirer… Plus on banalise, plus on complique pour la génération suivante. C’est triste parce que plus le temps avance et plus les choses empirent. On s’ouvre l’esprit pour refermer le coeur de la génération qui suit… Vais-je moi même trouver l’amour ou un trip de fesse qui me demande la souplesse d’une gymnaste avec les courbes de Pamela Anderson, fouet à la main ? Comme beaucoup d’autre, je vais probablement rentrer seule parce que la seule chose que je me suis faite offrir, c’est quelques minutes de ‘bon temps’…
On ne peut pas dire que Radio-Canada se sera forcé très fort pour cet été! Avec des séries comme « En attendant Ben Laden » ou « Tout le monde tout nu! », on en vient à croire que notre société d’état veut faire une concurrence directe à TVA ou TQS. Quand le nivellement par le bas nous guette! Par chance, il nous reste encore de véritables chaînes culturelles: des ARTV, Canal D et Télé-Québec (tant que Charest n’ira pas mettre la hache dans cette dernière institution!). Ce sont des stations qui prennent l’auditeur pour ce qu’il est vraiment: un être intelligent!
J’aime particulièrement l’ouverture que prend notre société au sujet de la sexualité. Il est important de voir des émissions qui nous démystifient les différents types de sexualité et comportements sexuel. Ce type d’émission nous permet d’avoir un regard neuf sur un univers qui a été tabou durant plusieurs siècle.
La sexualité n’est plus dans une chambre à coucher avec un homme sur soi, la lumière éteinte et c’est tant mieux. Nous pouvons vivre certains de nos fantasmes sans se sentir jugés. En même temps, ça donne du piquant à des relations de couple qui durent depuis plusieurs années. Nous devons être réceptifs à cette nouvelle réalité et l’utiliser comme un outil.
Éclatons nous, profitons de cette tangente pour vivre notre sexualité d’une façon plus frivole sans pour autant tomber dans l’excès.
Ça n’arrête pas une seconde depuis le début avril, la grogne se fait de plus en plus grande auprès de la société d’état. Oui c’est vous! Pauvres contribuable qui financez Radio-Canada. Mais sachez que vous financez en partie aussi la télévision privée tel que TVA et TQS.
Et qui chiale sur les émissions produites à ces stations? Pas grand monde.sûrement qu’il y a rien d’autre d’intéressant ailleurs.. Qui pense privé, pense ne pas payer? Erreur! Premièrement c’est la première fois depuis 40 ans que le hockey n’est plus présenté à Radio-Canada et que la société présente une aussi grande programmation télévisuelle.
Comme il n’y a pas grand-chose aux autres stations tout le monde fait leur critique sur les nouvelles émissions. Peut-être bien que ‘Tout le monde tout nu n’a pas un case horaire appropriée’, Et pour Ben Laden,le direct vous connaissez? Pas trop évident.Et mitrailler comme tous les journaux l’on fait après une seule émission c’est fort!
Donnons leur le temps de s’adapter. Allez-vous peut-être me dire que je prêche pour ma paroisse.mais j’essaie de faire l’avocat du diable.
Pour l’émission ‘La Guerre des Sexes’ Évidemment ce titre d’émission peut porter à confusion,car ce n’est pas à cause que l’on inclus le mot sexe dans une émission que le contenu est explicite.L’émission parle des différences de comportement entre les hommes et les femmes…en exemple à la première émission…une comparaison pour savoir combien de temps le tout prenait pour vérifier l’huile, le liquide lave-glace et la pression des pneus…et faire un petit »rallye » en voiture…entre vous et moi? Je n’ai pas eu de réaction dans mes pantalons.Enfin c’est la première fois que la société offre autant de nouveauté. Normalement on est habitué aux interminables reprises, ou pire aux info-pubs.Mais c’est l’été ! Profitez de cette période pour sortir!et dans les soirées de pluie, plus intéressant de voir une émission sur l’actualité en direct.que de voir un vieux film que l’on a vu 200 fois
On parle beaucoup de sexe dernièrement, et pourquoi donc? Les gens devraient plutôt en faire, et le faire bien. Il y aurait moins de filles qui ont fait des milliers de pipes à 20 ans sans jamais avoir eu d’orgasmes avec un homme.
La porno a toujours existé. Aujourd’hui, elle semble être à un tel point irréaliste. Les gars sont tous sur le viagra, les filles se font toutes éjaculer au visage. Toujours la même histoire: la pipe, en avant, en arrière et l’éjaculation au visage. Lisez Sade, Pauline Réage ou encore Anaïs Nin. Les films de cul sont ennuyants comparés à ces romans, et en plus, il y a une véritable histoire et un véritable contenu philosophique dans la littérature érotique et autres romans du libertinage érudit.
Pour finir, tout le monde a vu l’auto-portrait de Leonardo Da Vinci, celui sur lequel il pointe son index vers le ciel. Eh bien, l’Autoportrait non censuré de celui-ci, où l’on voit le bas du corps, laisse voir Leonardo se masturber, le pénis vers le ciel! Profitez-en pour aller faire un tour à la Grande Bibliothèque pour faire votre recherche si vous ne me croyez pas!
J’aimerais tout d’abord féliciter Radio-Canada pour sa toute nouvelle émission, Des vertes et des pas mûres. Elle s’inscrit à mon sens dans cette longue tradition d’émissions estivales merveilleuses et sans intérêt. Une émission qui « sur papier, semble avoir très peu de chances de susciter la moindre controverse », ou, à mon sens, le moindre intérêt.
Si l’on se fie à la description que l’on en fait, Des vertes et des pas mûres serait la version estivale de Qui l’eût cru?. On a simplement repousser le prétexte à l’anecdote, c’est-à-dire le total inconnnu qui ne parle pas, mais qui s’est bien habillé pour passer à la tv.
Comme quoi, une fois de plus, on ne fait rien de nouveau avec Des vertes et des pas mûres.
Ça c’est ce que Charlie Chaplin répondait à Parnell Thomas responsable de la commision des Activités anti-Américaines devant laquelle Chaplin avait été convoqué . Je ne suis pas communiste lui dit-il, mais pour la paix et la tolérance!
Charlie Chaplin était Anglais, et agaçait depuis fort longtemps la droite américaine qui ne lui pardonnait pas ces histoires de moeurs, ses nombreuses dettes, et le fait de n’avoir jamais demandé sa naturalisation américaine était aussi un irritant, qui faciliterait cependant l’expulsion du plus grand génie du cinéma, des États-Unis. Le maccarthysme a ainsi fait plusieurs victimes aux États-Unis, mais sa plus célèbre était sans aucun doute Chaplin.
D’autres auront été jetés en prison, payé des amendes, privés de travailler, en plus de voir leur réputation entachées à jamais…
Le maccarthysme débute en 1946. Le président Truman met en place à la fin de cette année une commission qui sera chargée d’enquêter sur la loyauté des fonctionnaires fédéraux. Ceux qui seront déloyaux seront les partisans du totalitarisme, du fascisme, du communisme et tout ceux qui seront opposé au régime démocratique capitaliste des États-Unis. Vous êtes avec nous, ou contre nous… Vous saviez que W Bush n’a rien inventé?!
En 1950, le FBI qui est chargé d’enquêter et de faire la chasse aux fautifs, obtient un appui de taille de la part du sénat, qui adopte une loi qui a du muscle. L’Internal Security Act, qui permettra au FBI d’accumuler plus d’informations sur de présumés communistes, et en 1951, un amendement à cette dernière loi permettra la révocation de quiconque simplement soupçonné de malversations.
Sur le lot de 26 000 fonctionnaires soupçonnés, 16 000 seront déclarés innocents, 7 000 démissionneront, 739 révoqués soit pour immoralité sexuelle, homosexualité ou d’autres pour usage de drogues illicites. A qui profitera cette chasse aux sorcières, instiguée par le parti Républicain?
Le sexe aujourd’hui est comme la religion, il est partout. On le met à toute les sauces, on s’en sert en défense comme en attaque l’instant d’une sobre opinion. Plus rien n’est tabou dans notre petit coin américanisé nordiquement car on normalise tout … par le bas.
Le sexe bientôt disponible dans un utérus près de chez vous, c’est le capitaine Patenaude qui en perdra son Latin.
J’ai rien contre les déviances, ça ne me regarde aucunement et ça demeure du genre personnel. Ici on parle de croisières échangistes, de séropositifs cherchant les relations non protégées avec d’autres séropositifs, de sadomasochisme aimant se faire insulter par une dominatrice transsexuelle, ok c’est correct d’en parler.
Mais quand vous diffusez le tout, la j’ai comme les plombs qui sautent. Non mais ou avons nous pris le mauvais tournant social qui nous permet d’accepter et de tolérer ce qui ne devrait pourtant pas l’être. De diffuser la déviance normalise celle-ci aux yeux de plusieurs, on arrête ou ensuite. Le mot tolérance ici ne revêt plus son sens d’antant, aujourd’hui on devrait parler de repoussage des frontières, entre tolérance et publicisation y’a comme un monde qui sépare le tout.
C’est bien beau de toujours aviser les parents de faire gaffe à ce que les enfants pourraient écouter mais bon sang c’est beaucoup trop simple de toujours lancer la balle dans la cour des parents.
On parle dans la chronique d’esprit ouvert….on aurait du dire esprit béant.
J’attendais beaucoup de «La guerre des sexes», le discours sur les différences hommes/femmes est tellement bien rodé, tellement bien adapté aux stéréotypes que l’on connait. Je croyais, bien à tort, que cette émission s’efforcerait de faire le point sur les connaissances sur le sujet, mais me voilà bien déçue! Ne présentant les différences hommes-femmes que d’un point de vue psychologique, l’analyse des tests subits par les participants fait totalement abstraction de l’acquis. Pas que tout ce qu’ils disent soit faux, non, mais leur discours gagnerait fortement en crédibilité s’il était plus nuancé.
Les différences qu’ils cherchent à démystifier sont tellement caricaturées que je ne vois pas comment il est possible d’adhérer à leur message.
L’émission a un certain intérêt, mais de grâce, prudence! Tout est relatif, on l’a souvent dit, et c’est tout aussi vrai ici.
Les surdéterminations culturelles et sociales envahissent tous les domaines de la vie des individus et des sociétés, les activités sexuelles y compris. Ce qu’il y a de particulier dans nos sociétés occidentales de maintenant, c’est le fait que tout, marché libre ou non y obligant, y devient objet de consommation. Les plaisirs, des plus simples aux plus compliqués, n’y font pas exception et tous se sentent inconsciemment obligés d’en accumuler le plus possible, de se constituer un capital de plaisir qu’ils pensent ainsi pouvoir afficher à la tête de leurs semblables dans l’espoir de se situer dans les étages supérieurs de la pyramide du plaisir. À ce jeu d’accumulation, il y en a bien sûr qui sont tentés par les dépassements, sur la gauche comme sur la droite, afin de doubler ceux qui les précèdent. C’est la porte onverte aux comportements déviants, laissant aux moins avaricieux le soin de se contenter de la vantardise ou des histoires grivoises. C’est de cette façon fort simple que je comprends cette avalanche de comportements sexuels que l’on nous exhibe un peu plus chaque jour. Cette veine d’accumulsation a d’autant de succès qu’elle s’offre à tous et que bien peu d’entre nous pensent ne pas en avoir les moyens. Elle est d’autant plus valorisée par les détenteurs des médias qu’elle fait en même temps oublier les vraies accumulations, celles qui ne reposent pas sur les plaisirs réels ou supposés de tout un chacun, mais sur les labeurs bien réels des autres. Heureusement que dans ce méli-mélo cuturel et social, il reste des zones de liberté pour comprendre les réelles différences qui nous unissent en nous complétant et qui sont le fruit des millénaires de notre évolution commune.
Un documentaire sur les moeurs sexuelles extrêmes parce que bien sûr on prime l’accès à l’information. Aucun tabou au XXIe siècle. Mais il faut vraiment se questionner et se demander a) pourquoi les producteurs ont élaboré ce documentaire b) pourquoi le téléspectateur devrait s’y intéresser. Si pour le consommateur du petit écran, du point de vue social, le phénomène nous intéresse (parce qu’on travaille en psychologie, éducation, médecine, psychiatrie, sociologie.. ou autre) c’est d’accord c’est correct. Si on est plutôt curieux et qu’on se questionne vraiment sur ces comportements de « déviance » (donc de réactions humaines « hors normes »), ça peut se justifier. Si on se sent inconfortable dans notre propre sexualité et qu’on se demande si on est normal de penser différement, bien sûr c’est correct. Si on est pervers sur les bords, si on veut alimenter notre voyeurisme, avide de sensations fortes, qu’on doit absolument voir combien le monde peut être mentalement fuc..é: Désolé mais non! c’est notre réaction qui est anormale et c’est nous qui devrions nous faire suivre professionnellement par un psychiatre.
Le problème dans notre société c’est que sans la remise en question éthique ou morale, de se repositionner face aux événements auquels nous sommes confrontés et aux informations qui surgissent de toute part et que notre mentalité (consciente et inconsciente) doit intérioriser et analyser, c’est qu’on absorbe une pollution de faits et d’infos tout-à-fait incompatibles avec nos moeurs. Déjà un esprit adulte, sensé, fera la part des choses, mais souvent la déviance sexuelle (ou moins dramatiquement: un dérèglement passager comportemental relié à la sexualité) touche une large population; souvent ados ou pires enfants ne devraient pas être confrontés sans discrimination à cette pollution médiatique.
Personnellement, ma pudeur ou ma moralité ne s’en offusque nullement, vivre et laissez vivre.Mais le phénomène « voyeur » est largement sur-alimenté ds notre société!
Je tiens à saluer cette excellente émission qui est, je crois, une bonne façon de faire découvrir au grand public les alternatives écologiques dans la construction résidentielle.
Les émissions de ce genre se multiplieront selon moi puisqu’un réel mouvement écologiste s’éveille au Québec.