MISS MÉTÉO
Maman Last Call n'était pas encore sorti en salle qu'un contrat était passé entre Christal Films et Super Écran pour la production d'un produit dérivé du film écrit par Nathalie Petrowski. Miss Météo égrène les derniers jours de trentenaire de Myriam Monette (Anne-Marie Cadieux, radieuse), présentatrice météo aux parapluies fantaisistes. En bonne Bridget Jones de la pluie et du beau temps, celle-ci patauge entre son désir de rencontrer l'âme sœur et son angoisse de vieillir. Une comédie romantique sans prétention présentée en exclusivité à Super Écran, le dimanche 9 octobre, 21 h.
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ENQUÊTES SUR LES ABUS DU POUVOIR
Le métro à Laval: du grand burlesque! À Canal D. |
Si vous êtes du genre complètement cynique lorsqu'il est question de politique, je vous conseille vivement de regarder l'euphorisant Donnez au suivant, à TQS, le jeudi à 21 h. Parce qu'à Canal D, la série qui s'amorce saura éteindre le peu de candeur qu'il vous reste. On parle des abus du pouvoir, ou quand nos politiciens font du théâtre burlesque avec l'argent public. Premier dossier: les travaux routiers. Vous savez, l'histoire du métro à Laval qui, en 1998, devait coûter 179 millions $, mais dont la facture dépasse aujourd'hui les 800 millions $? Qui se moque de qui? Il sera aussi question de l'autoroute 30, ce bout de chemin d'une utilité discutable qui s'est en revanche avéré une profitable promesse électorale pour tous les gouvernements élus ces dernières décennies… À Canal D, dès le jeudi 6 octobre, 21 h.
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DÉFI INFO ZÉRO
Professeur au département des communications de l'Université de Montréal, André Caron propose depuis 15 ans un défi à ses étudiants: une semaine sans infos, sans journaux, sans bulletins de nouvelles. L'idée, à elle seule, est symptomatique d'une société qui croule sous l'information. L'animatrice d'Indicatif présent, Marie-France Bazzo, a voulu proposer le défi à quatre personnalités boulimiques d'informations, parmi lesquelles figure l'ex-président du mouvement Desjardins Claude Béland. Sauront-ils survivre à cette "désintoxication médiatique"? L'analyse finale de l'expérience sera diffusée le 11 octobre, dès 9 h, à Indicatif présent (95,1 FM).
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LA GUERRE DES COTONS
Récolte et stockage du coton en Afrique. À TV5. |
Le coton, c'est 70 % du marché mondial du textile. La guerre des cotons, c'est l'histoire d'un déséquilibre planétaire. Celui qui existe entre les gros producteurs de coton américains subventionnés à hauteur de 3 milliards $ par année par le gouvernement Bush, et la réalité des petits producteurs africains qui, eux, ne jouissent d'aucun soutien financier. Aujourd'hui, leur industrie est menacée de disparition. Le jeudi 6 octobre, 19 h, à TV5.
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VILLAGE EN VUE
L'exode urbain vous tente? La série Village en vue utilise toutes les tactiques de la séduction pour nous faire tomber en amour avec les plus beaux villages du Québec. Et ça marche! À TV5, les dimanches, 18 h.
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ERRATUM
Une erreur s'est glissée dans ma dernière chronique. L'émission Zone libre portant sur l'argent du crime sera diffusée ce vendredi 7 octobre, 21 h, à Radio-Canada.
Un film qui fera sans aucun doute sourire et qui sera léger et sans prétention, surtout quand on voit toute la distribution. Des bonnes comédiennes, drôles et qu’on aime voir à la télévision. J’ai envie de voir ce film, parce que j’avoue que le rôle de la miss météo dans le film Maman last call était plutôt accrocheur. Un rôle dont on se souvient encore et qui risque de nous en mettre plein la rate ici!!
Encore un autre mépris pour l’ensemble de la population. De voir les progantanismes des projet dire à la caméra que les dépassement de coût était habilement fait pour permettre de faire passer la pilule plus facilement. Moi qui croyais que les gestionnaires étaient justes et tentaient de prédire le mieux possible. Moi qui croyait que c’était la faute à un vil entrepreneur qui prenait plus que ce que le contrat spécifiait. J’ai tombé de haut quand j’ai compris que les dépassement était assez bien connu et que quand un projet est en marche alors personne n’ôsera l’arrêter.
Quand on critique les politiciens parce qu’il promettent des gros travaux pour aller chercher des votes, pouvons-nous vraiment les critiquer? Ne faudrait-il pas faire notre examen de conscience? Que voulons-nous que les politiciens nous disent lors des campagnes électorales? Qu’ils nous disent la vérité en nous disant le coût de nos demandes? ou qu’ils nous fassent des promesses qu’ils savent (et que nous savons) qu’ils ne peuvent tenir? Voulons-nous la vérité et la réalité ou les mensonges ou les promesses farfelues?
J’ai entendu parler du défi que le professeur Caron propose à ses élèves quant à la possibilité de passer une semaine sans information à la première chaîne de Radio-Canada et j’en suis arrivé à la conclusion suivante: je suis (heureusement ou malheureusement?) accroc à l’information. Pour me faire une opinion sur les dirigeants politiques des trois niveaux de notre pays que sur les politiciens d’ailleurs, ainsi que sur les dirigeants d’organismes, politiques et d’entreprises d’ici et d’ailleurs, sur les artistes et leurs oeuvres, je n’ai pas le choix: je dois m’informer. Et, le plus souvent possible et selon mes moyens, je tente de varier mes sources, même si j’en ai des préférés.
Sans être une ayatollah de la langue française, certains abus ont l’heur de m’irriter. Après avoir déformé le titre d’un classique romanesque, « Manon Lescault », en « Maman LASTCALL », voici que la Petrowski récidive en planquant un « Miss » dans le titre d’un autre film ! Manquons-nous à ce point de vocabulaire ?
Ça fait aussi bas-de-gamme que « Loadé comme un gun » d’Éric Lapointe, notre voyou rock-matante…
Enfin, ne tergiversons pas trop, et disons simplement que Petrowski aborde dans ses oeuvres des sujets beaucoup trop nombrilistes à mon goût. C’est du « me, myself and I », pour parler comme elle, et ça ne m’intéresse pas du tout.
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Quant à l’abus de pouvoir, il est bien connu que le pouvoir corrompt. Si même certains petits fonctionnaires trouvent le moyen de s’enivrer du peu de puissance dont il bénéficient, il ne faut se surprendre de rien quant à ce qui concerne nos bons politiciens, n’est-ce pas ?
La comédienne Anne-Marie Cadieux est tellement talentueuse que tout ce qu`elle nous présente met du soleil dans notre télé. Pas prétentieuse pour deux, c`est toujours un plasir de la voir ou de l`entendre. Elle fait son petit bonhomme de chemin bon an mal an. À quand le rôle de sa vie????? À suivre……..
Nous sommes tous impuissants devant la gestion de l’argent public… Les politiciens peuvent notre promettre la lune, mais chaque fois, c’est du pareil au même. Lorsque vient le temps de voter, on vote pour la personne qu’on déteste le moins puisque qu’il n’y a personne d’inspirant et sachant bien que de toute façon, ça ne changera rien. Je ne manquerai pas Donnez au suivant jeudi soir.
Quand j’ai su que Miss Météo allait être diffusé seulement à Super Écran, j’en ai presque pleuré parce que je ne suis pas abonnée.
J’ai littéralement adoré ce personnage dans Maman Last call. Myriam Monette donnait de la couleur et de la vie au film tout en nous rappelant les inquiétudes profondes que nous avons toutes et tous.
Non mais honnêtement, qui peut dire qu’il n’a pas peur de vieillir?? Je n’ai pas 20 ans et je capote déjà sur mes rides…(oui, je sais je suis un cas avancé…) mais ça semble être plutôt un problème de société. On est complètement obsédés par la beauté et la jeunesse.
Et enfin, la question que tous les célibataires se posent:«Vais-je trouver l’amour??? et quand??». Elle représente tellement bien toute une génération, même une catégorie de gens qu’on ne peut pas ne pas l’adorer. En plus, elle est interprétée pas l’excellente Anne-Marie Cadieux dont le talent n’est plus à prouver.
Il faut se l’avouer , Anne-Marie Cadieux brille de tout ses feux dans ce personnage de Miss Météo. Je ne suis pas le genre à écouter sans cesse des comédies romantiques et je dois avouer que le Québec ne m’a pas vraiment épaté avec ce genre de film. Mais j’ai craquée!!!Je suis tomber sous le charme de « Maman Last Call ». Je ne veux vraiment rien enlever au talent de Sophie Lorain , mais Anne-Marie Cadieux vole vraiment la vedette dans ce film. D’apprendre que son personnage sera de retour sur nos écrans m’a vraiment emballée. Imaginons donc une Miss Météo du genre a TVA….On eput toujours rêver!!!!
L’émission sur les coûts des travaux routiers ainsi que leurs dépassements réguliers risque d’être des plus déprimante. En effet, on a parfois l’impression que ces projets sont gérés par des incompétents. Toutefois, il faut savoir que parfois, les dépassements de coûts sont planifiés.
Ainsi, dans le cas du métro de Laval, on connaissait les coûts au départ, à ce qu’on m’a expliqué. Mais on savait que si le montant annoncé initalement était trop élevé, alors le projet n’aurait pas vu le jour.
Anciennement, d’ailleurs, le BTM qui était responsable de la construction du métro à Montréal utilisait un truc, qui a aussi été réutilisé ici: on se dépêchait à construire le plus de tunnel possible ce qui fait que lorsqu’on veut tenter de limiter l’hémorragie et réduire les coûts, il est trop tard! Le tunnel est fait et il ne reste que les stations à construire. Vous constaterez aussi qu`à Laval, le tunnel qui fut construit le premier était celui de bout de ligne et que le raccordement à la ligne actuelle s’est effectué à la toute fin. C’est toujours le même truc qui fait en sorte qu’une fois commencé, la façon dont les travaux sont effectuées empêche toute interruption.
Le terme « Défi » est particulièrement bien choisi pour ceux et celles qui ont accepté de se prêter à cet exercice. J’ai suivi le lancement de ce défi dans le cadre d’Indicatif Présent, et je lève mon chapeau aux braves qui vivent ce 7 jours de sevrage.
Simplement d’entendre les règles à suivre, m’a amené à réfléchir de mon côté sur les implications d’un tel « sacrifice », car j’avoue que dans mon cas ça en serait un gros. Tout d’abord notre rapport aux différentes sources d’informations qui nous entourent est tellement naturel dans notre société démocratique, qu’on ne réalise pas toujours qu’il s’agit d’un réel privilège qui n’est souvent qu’utopie pour plusieurs autres nations.
Sans avoir besoin de toute cette information pour mon travail (comme certains des cobayes de ce défi), cette stimulation intellectuelle m’est essentielle et m’enrichit constamment. J’apprécie avoir accès au monde d’un simple clic de souris. Avoir ce beau luxe de pouvoir choisir d’écouter, regarder, ou lire ce que les médias ont à me proposer. Belle idée d’expérience que de se priver de tout ça pendant une semaine. J’ai très hâte d’entendre l’analyse qu’ils nous en feront, et je suis curieuse de voir si leur rapport à l’information en sera changé par la suite…
J’étais abonnée en France à la revue « Village Magasine » qui présentait plein d’options, de solutions à ceux qui revaient d’un retour à la terre, ou en campagne, réussi.
Des témoignages de famille parties avec l’idée de s’iinstaller dans un coin perdu et ouvrir une épicerie-théatre, ou un café-librairie ! et d’autres idées intéressantes mais pas toujours réalistes économiquement parlant.
Car parfois entre le reve et la réalité, il y a tout un espace à découvrir que nous ne connaissons pas tant que nous n’y avons pas gouté. Cette approche doit nous mettre en garde sur les couts de l’éloignement de la ville la plus proche, (surtout à l’heure où l’essence n’a jamais été aussi chère). L’éloignement des écoles et des centres culturels. Car si il y a eu exode des villages, c’est souvent pour cela.
Y retourner pare soif de paix, de nature, de convivialité avec nos voisins est certes, tentante, mais à quel prix ?
Il faut voir le prix réel (celui en argent trébuchant) et le prix moral (celui de l’éloignement des etres chers, des commerces, des bibliothèques, des installations sportives et culturelles).
Espérons que cette émission sera constructive. La désertification des villages est un fléau de plus.
Mais c’est difficile de faire le choix. Alors des émissions comme celle là devrait ouvrir le débat.
On dirait parfois que certains font des choses dans le seul but de se rendre intéressants. Que c’est donc génial cette idée de passer une semaine dans l’ignorance… Vous ne trouvez pas? Déjà que même avec toute l’information voulue, plusieurs ne comprennent encore que fort peu à ce qui se passe. Que cherche-t-on à accomplir ou à démontrer ici, avec une entreprise aussi boîteuse? Allez donc savoir! Et bonne chance…
Cela m’aurait semblé beaucoup plus indiqué d’organiser une semaine intensive de recherche d’informations, de lecture entre les lignes du butin recueilli, de partage du vrai du faux mais, apparemment, cette approche désuète n’est plus au goût du jour. Maintenant, la communication (si vous étudiez dans cette discipline à l’université) passe par l’absence d’information. Mes amis, le moins que l’on puisse sans doute dire, c’est que ça promet pour l’avenir. Mais pas tout à fait le genre de promesse qu’on voudrait vraiment voir tenue… Et à présent, allez donc faire autre chose: vous vous êtes suffisamment informé pour la journée.
Tout le monde le sait, le coton est indispensable pour le confort des vêtements. bien que l’industrie américaine soit subventionné pour en faire le commerce, ils se le procurent souvent chez nos amis les africains. Encore les américains, on les voient partout! Ils écrasent les petits producteurs et aujourd’hui, c’est peu^-être le début del a fin pour le coton.
Un documentaire qui mérite notre atention et qui nous en apprendra suremetn pas mal plus à ce sujet. Que l’on ai l’opinoion que l’on veuille, seul l’écoute de cette émission nous donnera l’heure juste. Du mons, je l’espère! Alors, rendez-vous sur TV5 pour en savoir plus.
Si Boudha ne serait jamais sorti de l’environnement protégé qui était le sien pendant son enfance, l’humanité aurait été privé d’un de ses grands penseurs !
L’idée du défi d’André Caron est « cool » et très » zen » mais elle est a la fin inutile et un peu
utopique. Rélevé le défi pendant une semaine ne demande pas beaucoup de courage, mais
par contre s’informer de façon intelligente est beaucoup plus difficile.
Parmi les gens qui pratique la » désintoxication médiatique » il y en a qui refuse la réalité
et essaient de se convaincre que la vie est toujours belle et ne veulent pas être contaminés par
les images parfois cruelles de l’humanité. Si tout les êtres humains auraient pratiqués cette
exclusion du monde la société serait encore a l’âge de pierre.
En ce qui concerne Anne-Marie Cadieux je ne l’ai pas vue dans son rôle de Miss Météo mais
je considère cette femme comme une de nos meilleurs comédiennes au Québec.
Si vous aimez vous promener le dimanche pour seulement découvrir de nouvelles trouvailles ou de beaux paysages de votre région.
Donc, vous serez ravie de cette émission qui présente plusieurs village et ce qui peut attirer votre regard.
Une semaine sans info, sans bulletin de nouvelle pourrait être considéré comme étant une lacune d’une part ou d’un bienfait d’autre part. Étant conscient que notre société croule sous l’information, j’avoue cependant que nous sommes aussi manipulé par cette information. Comme il est évident de constater que la une des quotidiens ne reflète pas une image rose de ce qui se passe. L’information véhicule en effet un FORT pourcentage de négativisme. Normal, nous sommes ainsi conditionnés de par le sensationnalisme projeté par les médias. La nouvelle n’est jamais rose. Quand est-ce qu’on voit une bonne nouvelle en première page du journal ou des nouvelles de 18 hrs? Ha! mais ça peut arriver qu’on diffuse une bonne nouvelle, mais le plus important c’est ce qui choque. Plus vendeur aussi, c’est prouvé! Nous recherchons incessament ce qui est triste à voir. Oui nous sommes conditionnés ainsi. Le prof en communications de l’Université de Montréal, André Caron propose depuis 15 ans un défi à ses étudiants: une semaine sans infos, sans journaux, sans bulletins de nouvelles. Ce jeûne médiatique ne sera qu’un bénéfice pour le moral, car comment rester positif devant ces nouvelles de guerre, d’émeute, de criminialité, l’inflation etc? Malencontreusement, le peuple reste avide de ces sensations négatives. Nous sommes intéressés par ce qui est négatif! La preuve: nous savons tous qui a déclaré la guerre en 39-45. Mais qui est le philanthrope qui a fondé la Croix-Rouge?
Parfois, je me demande si c’est le gouvernement Irakien ou notre gouvernement qui est le plus voleur. Ça na pas de bon sens. On se fait voler à tour de bras. Les politiciens nous mentent comme ils respirent. Je suis peut-être drastique, mais je pense que nous sommes rendu à un point de non-retour. Il faudrait une guerre civile arrêter ces scandales qui se passent sous notre nez à chaque jour.
Je pense que je n’ai pas besoin de vous citer la liste des problèmes sociaux que nous vivons en ce moment. Imaginez ce que nous pourrions faire avec tout cet argent gaspillé.
Y faut y penser.
Anne-Marie Cadieux a littéralement volé la vedette à Sophie Lorain et Patrick Huard dans Maman, Last Call. Son personnage de Miss Météo s’accrochant à tout prix à sa vie d’adolescente-adulte qui fait la fête se voulait savoureux. On ne sait pas qui, de l’interprète ou du personnage, a permis que la fusion soit si parfaite mais on ne peut que constater que le mariage est réussi.
Anne-Marie Cadieux joue toujours, pour moi, sur la ligne entre le jeu authentique et le jeu faux. Son ton un peu traînant me fait parfois un peu décrocher mais dans ce film-là, je n’ai pu qu’être convaincu par l’investissement total qu’elle démontre.
Au Québec, nous sommes peu habitués au « spin-off », à ces nouvelles séries comme Joe ou Cheers qui ont pris un ou des personnages d’une autre télésérie afin de les faire évoluer au centre de l’action. Si ils deviennent populaires, j’aimerais bien qu’on m’offre celui de Claire jouée par Limonchik dans La Vie, La Vie. Je suis prêt à suivre ses péripéties.
Oui, l’information est omniprésente dans notre société et oui nous y sommes exposés sur une base quotidienne et oui cela répond à un besoin ! Où est le problème ! Il me semble qu’il y a des défis beaucoup plus intéressants à lancer à des étudiants et des sujets bien plus intéressants à traiter que ce que propose info zéro. Lancez-leur le défi de ne pas fumer pendant une semaine et parlez-leur de désintoxication »corporelle » au lieu de blâmer l’intoxication médiatique et leur enlever le peu d’intérêts qu’ils portent aux journaux et aux bulletins de nouvelles. C’est franchement con !
Une semaine sans m’informer, une semaine sans pitonner ou « zapper », sans rechercher la nouvelle. Une semaine médiatique, politique, sur laquelle je n’aurais pas d’opinion ni de montées de lait dirigées contre nos dirigeants.
Ce serait une bien triste semaine pendant laquelle le monde me filerait entre les doigts…
Comment un apôtre du monde de la communication peut-il proposer un tel « défi » sinon par pure raillerie. Lui si bien placé pour connaître le pouvoir de l’information, prêche maintenant la désinformation, voire l’indifférence, encourageant ainsi le peuple à se laisser berner.
Car après une semaine, suit la deuxième, le mois, l’année. C’est César, pardon Charest, qui serait content, son agenda et celui de tous ses amis passeraient « comme du beurre dans la pôele ». Sans parler de celui de W et de tous ses alliés qui s’évertuent à lutter contre ce qu’ils se plaisent à appeler « l’axe du mal » dans des pays étrangers, lire souverains, riches en pétrole.
Qui dit information, dit souvent vote, même si cette option n’y change souvent rien. J’ai côtoyé plus d’une fois des compagnons de travail qui ne « suivaient pas les nouvelles » et qui avaient sur le monde politique des opinions tordues que j’avais peine à écouter. Quand venait le temps de voter, ces gens, au plus grad plaisir du patron, continuaient à travailler.
Pendant que moi, j’allais exercer mon droit de chialer pour encore quatre ans…
En passant, je prends, comme à peu près tout le monde, mes vacances en été, généralement, il ne se passe pas grand chose en été, mais de retour, je m’empresse de vérifier si par malheur, par hasard, je n’aurais pas manqué quelque chose.
Dites-moi monsieur Caron, quelle semaine, exactement, voudriez-vous que je manque, je m’engage, par la présente à tricher.
Grand bien vous fasse…
Déjà que je trouve que c’est d’une platitude indescriptible que de parler de la température, fallait qu’on en fasse un film…
Ben quin ! Amusez-vous à regarder la vie d’une Miss Météo qui ne sait pas quel chapeau et quel foulard mettre pour annoncer les 76 cm de neige qui tomberont sur le Québec à l’arrivé de ce film…
Le Québec est séparé. D’un côté, il y a de bons films ( C.R.A.Z.Y., La vie avec mon Père, Les Aimant, Québec-Montréal, etc.) et de l’autre, y’a des films insipides ou axés sur le fric qu’ils feront après le cinéma (Miss Météo, Maman Last Call [qui, soit dit en passant, méritait un beau gros 8.5 alors qu’il n’était seulement qu’un bouquin..], Aurore, etc.). C’est sommage car nous sommes tellement innovateurs…
Je trouve inqualifiable toute cette histoire de coton. En effet, les producteurs africains de coton ne bénéficient d’aucun soutien financier de la part de personne, comparé aux gros producteurs de coton américains, qui eux sont subventionnés de près de 3 milliards…. Et après cela, on se demande pourquoi les américains détiennent presque à eux seul tout le marché mondial de cotton soit près de 70% du marché mondial de textile. L’argent que pourrait rapporter les producteurs africains avec leur cotton s’il étaient subventionnés, aiderait certainement l’économie local de leur petit coin de pays. Au lieu de cela, les américain, qui pouvons nous dire n’ont pas vraiment besoin à tout prix l’argent rapporté par la vente de cotton; tandis que cet argent est vraiment nécessaire pour les gens plus démnunis ailleur dans le monde. Les américain trouve toujours moyen d’enfoncer leur »rivaux » internationnaux, qu’ils soient riches ou pauvres. Et voilà, c’est comme dire : Et que les pauvres restent pauvre. Si cette industrie venait à disparaître pour l’Afrique, cela affecterait grandement l’économie locale dont ils dépendent. Le pays qui est supposé être le leader mondial manquerait autant de coeur ? Pour être honnête, je crois que oui, et ce n’est pas la première fois que nous pouvons nous en rendre compte…
Quand on voit comment l’argent est distribué pour les films, je commence à comprendre pourquoi foisonnent sur nos écrans cathodiques tant de merdes mille fois ressassées. Miss Météo est encore et encore un autre questionnement sur la crise de la trentaine. Un genre d’horloge Biologique version féminine. Est-ce moi ou la majorité des gens qui atteignant la trentaine souffre d’une névrose grave? Ah non, je ne veux pas vieillir… sniff. Bordel, vous allez tous vieillir, pourrir et mourir, alors qu’on passe à autre chose s.v.p.
Ne m’itéresse pas . Que nous importent, à nous Canadiens, les variations du temps? Nous bravons le temps .Nous avons les moyens. Cette fameuse tempête de neige, où les autobus glissaient, s’enlisaient. Angle Edouard-Montpetit et Vincent d’Indy (?). Il y avait un énorme camion de livraison de Molson. Des superbes maghrébines m’hébergèrent. Car les mouvements était impossibles. Mais de Molson, il n’y en avait plus, lorsque je m’y essayai. Les autres étudiants l’avvaient déjà vidé. J’aimai, j’aime et j’aimerai toujours les Thaïlandaises. Classées? J’ai un parler classé. Qu’y puis-je? Je suis un aristocrate . J’aime les aristocrates. Et les autres aussi. Pourvu qu’elles soient femelles.
Avec tous les scandales politiques dévoilés au grand jour,il est de plus en plus difficile de croire que ce sont les idées qui mènent le monde.Nous prenons de plus en plus conscience que le pouvoir corrompt et aucun parti politique n’est à l’abri.Au rythme où nous prenons connaissance de ces désordres de l’appareil politique,nous pouvons comprendre que notre capacité d’indignation atteigne son degré de saturation;cela se produit en effet puisque nous pouvons constater d’année en année que le désengagement des citoyens augmente.Il y a de moins en moins de monde qui vote et les politiciens sont souvent élus avec un faible taux de participation des électeurs.L’insatisfaction est de plus en plus grande…Les promes-
ses électorales sont de plus en plus vues comme de la poudre aux yeux.Je trouve cette situation triste parce qu’il ne semble plus y avoir d’idéal.
Des émissions comme « Enquêtes sur les abus de pouvoir » sont indispensables mais quelque part,je me dis que regarder ça,c’est une fois de plus reconnaître qu’il n’y a pas de porte de sortie.Cela ferait du bien de voir quelqu’un proposer quelque chose de constructif pour corriger cet état de choses et je pense que cela commence tout doucement.Sinon,la seule alternative qui nous reste ou le seul pouvoir que nous ayons,c’est celui de voter et il faut espérer que la conscience plus éclairée que nous aurons après avoir vu cette émission nous fera voter différemment.Un jour peut-être,les citoyens étant plus informés,l’argent et les intérêts cesseront de mener le monde…
Wow. Je suis heureuse de voir qu’il y a un autre film en production avec mon actrice préfére: Anne-Marie Cadieux! La grande actrice de théâtre qu’on voit aussi souvent au grand écran gagne décidément à être connu. Ce film me semble être tout a fait mignon et rafraîchissant. Espérons seulement qu’il n’a pas le même réalisateur et scripte que « Le bonheur est une chanson triste ». Ce film assez lourd mettait aussi en scène anne-marie cadieux mais dans une toute autre optique que celui présenté ci-dessus selon moi. Et c’est bien mieux ainsi! Enfin un film québécois créé de toute pièce sans l’influence de nos histoires d’autrefois…. nul besoin de nommé des titres. On cite ci-dessus le film Bridget Johns. J’espère que l’idée principale du film n’était pas d’adapté ce film hollywoodien à nos écrans québécois. Je pense que le Québec n’a rien à envier au cinéma hollywoodien sinon leur gros budget. Au Québec, les cinéastres ont du talent, du style et des très bons acteurs!
J’étudie en psychologie et je tiens à souligner le fait qu’il faut que la télévision, la radio, les journaux, etc. répètent 7 petites fois une idée non fondée pour qu’elle devienne un fait dans l’opinion des gens. Alors, médias et politiciens n’ont qu’à nous marteler environ 7 fois la même chose pour que la majorité ou presque les croit. En fait, cela veut simplement dire que l’être humain est facilement manipulable peu importe son niveau de scolarité. Vous n’avez qu’à observer le phénomène des sectes, de la propagande, etc. Quand quelqu’un a la clé de la psyché humaine, il a tout le reste!
Aussi, il y a aussi un autre fait à propos de l’esprit humain moderne: si les médias nous y donne pas accès facilement, ça n’existe pas! Qui d’entre vous savez qu’en Mongolie, les pauvres sont forcés d’habiter les égoûts puisqu’il fait trop froid à l’extérieur?
L’être humain actuel est une pâte à modeler aussi bien au plan politique que pour le reste! Il faut se réveiller!
Voilà ce qui arrive quand le serpent se mange la queue. On en arrive à de pareilles incongruïtés. Un prof de communication propose à ses élèves une semaine sans information. La belle affaire…
Pour moi, ce défi est complètement futile. Je veux bien croire que nous sommes bombardés d’informations de toutes sortes mais comment peut-on croire aux bienfaits de son absence totale et volontaire. Serait-ce une sorte de cure de détox?
Moi je n’y survivrais pas une journée. Pourquoi? Parce que savoir, être informé, c’est être libre. Et moi, voyez-vous, la liberté, je ne saurais m’en passer ne serait-ce que quelques heures. Et si je n’avais pas si peur de la perdre un jour, il y a longtemps que me me serais tapé quelques vols de banque. Alors je vais passer mon tour et continuer d’être curieux de tout ce qui arrive dans le monde. Et continuer de faire la promotion du journalisme d’enquête, de l’information instructive et de l’éducation populaire.
Parce que je crois profondément que ce monde est le mien. Qu’il me concerne et que ce n’est pas seulement un droit mais bien un devoir d’être informé de ce qui s’y passe. C’est par l’ignorance que passe la servitude. Tous les grands drames humains ont passé par l’absence de sens critique qui ne peut naître que de l’information juste et abondante.
Je vois donc l’exercice du prof Caron comme un détournement de sens. Comme une aberration qui peut se produire quand on se regarde trop longtemps le nombril. Comme quand le monde des communications commence à parler des communications au lieu de parler du monde. À se prendre pour le message au lieu de se contenter d’être de bons messagers.
Là le système déraille. Moi, si je m’inscris en communication ce n’est sûrement pas pour me faire dire par un prof de communication que de passer une semaine sans s’informer c’est bon. Il faut être drôlement désabusé pour promouvoir une telle attitude. Peut-être qu’enseigner la communication à l’université finit par désabuser…
C’est un dur exercice que celui-là, et peu s’y sont frottés sans avoir eu le délire du pouvoir. Ça date pas d’hier, depuis que l’homme est homme, depuis que celui-ci vit en société / communauté, certaines élites détiennent le pouvoir aux dépends des autres, et peu n’en ont pas abusé.
Le pouvoir de gouverner au nom de l’état, c’est la population qui donne un mandat à quelques élus qui les guideront de leur mieux vers un mieux-être de cette population. Ce concept est cependant un joli principe, peu respecté, selon moi et plusieurs membre de la population votante. L’abus du pouvoir ainsi « donné » aux élus suppose que l’intérêt moral des voteurs est perdu, et la visée du pouvoir ne devient alors qu’une satisfaction d’un intérêt personnel.
Comme on dit dans le jargon populaire, ne vous occupez pas de la politique, et elle s’occupera de vous organiser, même si c’est pas à votre goût…
La légitimité de ce pouvoir est aussi discutable, alors que les voteurs, désintéressés ou écoeurés ne vont plus exercer la démocratie. Les abus des dirigeants ont éloigné les principaux intéressés, alors qu’ils auraient du au contraire descendre dans les rues pour se faire entendre, se faire respecter. C’est notre argent après tout qu’ils gèrent, c’est nous qu’ils sont supposés reprensenter.
Mais puisque nous ne sommes pas vigilant, les lobbies se forment, pour les intérêts de groupuscules, dont les intérêt sont parfois contraire à ceux de la population. Et il ne faut pas compter sur le système pour se réguler de façon « morale ».
C’est à nous d’agir.
Aujourd’hui, il est facile de se faire comtaminer par l’information.
Vous etes au travail et la radio passe,
vous etes dans l’autobus et les gens parlent,
vous etes au centre d’achat et les gens parlent, la radio passe.
On vous demande votre avis
on vous donne son avis.
Peu importe en fait que vous lisiez les journaux et écoutiez les bulletins
télévisé. l’information est partout, elle circule de bouche à oreille. Elle
s’ouvre devant vous sur votre page d’acceuil d’internet.
Surtout si vous etes à l’université. C’est mon cas et je vais vous dire que même
si je n’ai jamais lu d’articles sur le Vénézuela et que je n’ai jamais étudié
la situation au Vénézuela j’en ai suffisament entendu parlé par les autres
étudiants que je pourrai répondre à beaucoup de question sur le sujet et engager
une conversation de plusieurs heures sur la chose.
L’information nous survole, c’est peut etre une bonne chose. Parce que si
l’information « bohème » peut laisser glisser de la subjecivité, elle est tellement
diffuse que le sens donné à l’information n’est pas un sens unique. Alors que
l’information donné par une grande compagnie ou une institution étatique est
necessairement à sens unique.
l’information que j’appelle Bohème est aussi efficace quand on c’est l’utilisé
et elle est plus objective par la multitude des sources.
Pourquoi se surprendre des scandales financiers auxquels se livrent nos gouvernements des 3 paliers (municipaux, provinciaux, national) puisqu’ils le font en toute impunité. Pris la main dans le sac, il n’y a jamais de moyens coercitifs mis de l’avant pour les punir de cette fraude dans les fonds publiques. Ils sont à peine blâmé pour manquement à leur devoir et légalement ils demeurent intouchés. Le scandale des commandites a identifié des coupables et on leur donne une sentence bonbon d’aller donner des conférences aux HEC, aucune sanction criminelle, c’est totalement inadmissible. Un cirque où le public rie jaune.
Le stade olympique, la route 30 non prolongée depuis 40 ans!, le métro de Laval, la réfection du réseau routier au Québec.. il y a des dizaines d’exemples. Il y en aura d’autres: le réseau d’aqueduc de la ville de Montréal, le futur Casino qu’on veut déplacer, le CHUM et sa enième étude d’experts (à grands frais, par des amis de politicaillerie Mulroney et Johnson!) pendant qu’aucune brique réelle ne soit placée pour que le problème de la santé soit en train d’être traité..
Du fait que la politique ne résulte qu’en une très faible quantité de nouveaux visages, on utilise toujours le même réchauffé, les mêmes bandits, pour gérer à la-va-comme-je-te-pousse nos deniers publics. La mauvaise gestion sans cesse reprise par les mêmes administrateurs ineptes, faute d’avoir du monde compétent, neuf, pour prendre les bonnes décisions, se répète. Pendant ce temps, politiciens de tout acabit ont un salaire à vie, et ont l’audace de se voter des augmentations, pendant qu’ils échouent à rentabiliser l’opération de leur gouvernement. Dingwall n’est que l’exemple du jour.. il y en aura bien d’autres.
Tant que la loi est dans les mains des politiciens, la politicaillerie continuera, car même si le texte de loi est clair, la fourberie des canailles les absouds à la prosécution judiciaire. Les abus n’attendent que le prochain laron. Triste constat il est vrai.
Ce n’est pas un hasard si les USA ont établi leur supériorité économique dans tous les domaines. La guerre des cotons est un exemple parmi d’autres. Depuis la traite d’esclaves pour les plantations de coton en passant par l’implantation des grandes corporations.
Comment le Mali, deuxième pays producteur de coton au monde, peut-il concurrencer les Etats-Unis qui subventionnent ses fermiers à hauteur de milliards$$$$. ?
C’est la question que pose un des chefs d’entreprise malien dans cette émission à TV5. L’homme donne l’exemple d’une équipe de foot dont l’une jouerait avec les mains et l’autre avec les mains et les pieds. Un exemple qui illustre l’impuissance des pays pauvres que l’on considère, souvent à tort, responsables de leur condition.
Il n’y a pas de hasard. Alors que les subvention sont interdites par l’OMC, l’Afrique qui n’a pas le choix, respecte les règles que transgressent les autorités américaines. De plus, les USA établissent eux-mêmes les critères de qualités, bloquant ainsi l’accès aux marchés à des pays qui ne peuvent lutter contre eux à armes égales.
Quoique la production de coton du Mali soit compétitive et de la plus haute qualité, faute de moyens, les infrastructures sont inexistantes pour le traiter. Les pays les plus pauvres ont dû s’aligner sur les politiques des différents organismes qui gèrent l’arène économique que contrôlent les USA.
Si le colonialisme avait pour fonction de conquérir des terres pour y puiser les matières premières, l’impérialisme américain impose les lois de l’offre et de la demande, étouffant toute possibilité pour les populations africaines de prendre eux-mêmes le contrôle de leur travail.
Tandis qu’une politique de quotas est imposée à la France par l’UE, les fermiers américains, eux, se sentent lésés par les coûts de programmes de sécurité des travailleurs qu’ils doivent assumer. Qui sont les plus à plaindre ?
Ce nouveau type de film me questionne sur l’évolution du cinéma au Québec.J’ai eu la chance de le voir et je pense que c’est plus une émission de télévision qu’un film.Le coté cinématographique est de moin en moin présent dans le cinéma québecois.Miss météo est peut être un signe des tendances futur du cinéma québecois.Un cinéma plus simplice, donc le but ultime est de faire du profit.Bref, un belle exemple d’une idée moyenne fait pour être moyen.
Ma réaction au texte : DÉFI INFO ZÉRO
Nous pouvons être peu ou mal informé malgré la quantité d’information qui nous entourent et qui parfois même nous assaillent. Mais «jamais au grand jamais» je ne souscrirai à la théorie qui veut que nous soyons trop informés…
Depuis ma tendre enfance, j’ai pris l’habitude de me tenir «au courant» de ce qui se passer dans mon monde, sur la planète Terre et même dans l’espace (dans l’Univers).
Je m’informe chaque jour, chaque semaine, sur ce qui se passe et sur ce qui ne se passe pas dans mon quartier, dans ma ville, dans ma région, dans ma province, dans mon pays, en Amérique du Nord et partout sur la planète.
Pour moi c’est important parce que ça me donne le sentiment d’avoir une opinion qui se base sur quelque chose et non sur du vent !!! Je peux faire erreur avec une opinion ou deux mais jamais j’aurai «tout faux», parce que je sais forcément un peu de quoi je parle !!!
Prenons deux courts exemples :
On n’y pense pas toujours mais les hommes aussi peuvent développer un cancer du sein (c’est «niaiseux» mais je l’ignorais avant de le lire sur internet il y a quelques jours).
Les États-Unis de Bush font mieux que le Canada contre la pollution (j’ai de la misère à croire ça, sauf qu’à bien y penser eux ils éliminent tout ce qui est pas bon pour eux… alors peut-être que c’est pareil avec la pollution !!! Ah… tiens de la pollution, tire dessus, tire dessus, BOUM !!!).
Le fait de me tenir informé me justifie dans une de mes philosophies de vie :
Prendre la vie au sérieux quand c’est le temps, par exemple je vais toujours voter pour le meilleur candidat et non pour le moins pire, je suis membre d’Amnisite Internationale, ETC.
Et le reste du temps je suis un clown dans l’âme.
D’ailleurs, pendant que j’y pense… Regardez mes souliers géants !!!
Et mon nez rouge rond qui fait pouet pouet quand on le compresse
Essayez le…
J’avais vu « Maman Last Call » et franchement je n’avais pas aimé du tout. Je voyais partout des critiques disant que « Miss Météo » était franchement meilleur… ce que je suis allé vérifier d’emblée. Oui, il est vrai que pour moi, le second dépasse de beaucoup le premier. Anne-Marie Cadieux est vraiment drôle dans ce rôle d’une Miss Météo angoissée, colorée et jeune de coeur et d’esprit.
Par contre, je ne dirais pas que ce film est un excellent film. Il est bon, mais sans prétentions. C’est une histoire pas plus originale que ça (les crises existentielles ne sont pas ce que j’appelle un sujet nouveau), mais qui est vraiment une meilleure comédie que « Maman Last Call ».
À voir sans trop d’attentes sinon celle de passer un moment agréable sans prétentions.