LES ÉLIAS ET LES PÉTROV… PENDANT SEPT ANS
Deux familles ont fui leur pays pour sauver leur peau. Il y a les Élias, un couple de Guatémaltèques et leurs trois marmots. Il y a aussi les Pétrov, qui, eux, débarquent d'ex-Yougoslavie. Ne parlant ni français ni anglais, ces réfugiés réinventeront leur vie à Sherbrooke. Nouveau départ… Parce que nous faisons de moins en moins de bébés au Québec, notre avenir passera en grande partie par l'immigration. Sauf qu'au-delà de notre accueil proverbialement chaleureux, comment les immigrants s'intègrent-ils à la société? Y a-t-il des écueils? Ce documentaire de l'ONF, tourné sur une période de sept ans, suit les Élias et les Pétrov dans leurs efforts d'adaptation. Tout commence en 1994, un an avant le référendum. Un an avant "l'argent et le vote ethnique"… À voir à Télé-Québec, les 27 octobre, 3 et 10 novembre, 20h.
Veuillez noter que la "vedette de l'heure", Philippe Fehmiu, participera à l'émission Dussault débat, qui suivra la présentation du documentaire (le 27 octobre, 21h). Le thème: "Immigrant un jour, immigrant toujours?".
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LES ÉLECTIONS MUNICIPALES
Matthieu Dugal, animateur de Méchant contraste! À Télé-Québec. |
En 2001, 65 % des maires du Québec ont été élus par acclamation. Dans 70 % des municipalités, il y a absence d'élus de moins de 35 ans. Le pouvoir municipal sent-il trop le souper-spaghetti au goût des jeunes? Alors que les élections municipales monopolisent toutes les discussions (cela dit avec une pointe d'ironie), Méchant constraste! se promène aux quatre coins de la province afin de mieux cerner le rôle de cet espace démocratique et balayer au passage quelques idées reçues. Puisque les élus municipaux sont encore les politiciens les plus proches des citoyens, ils peuvent faire bien plus que réparer les nids de poule. La ville "verte" de Chelsea, vous le verrez, en est la preuve vivante… À Télé-Québec, le lundi 31 octobre, 19h.
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QUAND LA VIE EST UN RÊVE
En Haïti, «vivre» est un rêve. À Radio-Canada. |
Pour être à même de comprendre dans son ensemble le bourbier haïtien, on pouvait jusqu'ici compter sur l'excellent documentaire L'Agronome, de Jonathan Demme (2003). Il y a maintenant Quand la vie est un rêve, de Charles Gervais, sélectionné récemment au 1er FIFM. Le film se veut un portrait de la jeunesse haïtienne pour qui le rêve, c'est vraiment le strict minimum: un toit, des enfants, une existence normale. À Radio-Canada, dans le cadre de l'émission Zone libre, le vendredi 28 octobre, 21h.
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GALA DE L'ADISQ
Michel Rivard anime le 27e Gala de l'ADISQ. À Radio-Canada. |
On sentait presque un trémolo dans la voix de Guy A. Lepage lorsqu'il a annoncé, dimanche dernier, que son Tout le monde en parle ferait relâche la semaine suivante pour laisser la place au 27e Gala de l'ADISQ. Celui-ci, animé cette année par Michel Rivard, promet de célébrer la musique avec humour, mais sera certainement moins baveux que les années précédentes. Pas de "lancer du Félix" cette année, comme l'avait fait monseigneur Lepage l'an dernier. À Radio-Canada, le dimanche 30 octobre, 19h30.
Je n’écoute jamais les galas quels qu’ils soient, mais je voulais quand même dire que j’aime beaucoup Michel Rivard.
Il est d’une rare authenticité et d’une sensibilité désarmante ! Pour aller jusqu’à avouer avoir fondu en larmes après avoir entendu Richard Desjardins déclarer : « Je vais mettre un disque de Michel Richard et je vais faire semblant d’aimer ça », il faut savoir faire preuve d’une humilité qui n’est pas monnaie courante dans notre société !
J’ai commencé à vraiment le découvrir vers mes 13 ans et il m’impressionnait fortement. À vrai dire, je l’admire encore aujourd’hui non seulement pour son art, mais aussi pour toute sa personne. Contrairement à bien d’autres, il ne m’a jamais déçue, car il est toujours resté fidèle à lui-même.
J’ai juste hâte que ces maudites élections soient maintenant chose du passé afin que les gens enlèvent les pancartes qui sont vraiment posées n’importe où. J’ai failli avoir un coin dans un oeil l’autre jour à cause d’une de ces pancartes justement. Elles sont placées à une hauteur qui n’est pas idéale, mais ça ils s’en foutent tant qu’on peut les voir et reconnaître leur petite face. Une élection qui commence de plus en plus à une histoire de bitchage où tout le monde essait de caler le camp adverse. Et dire qu’ils veulent gouverner une ville ces grands bébés!!
J’avoue que de cette programmation deux émissions m’intéresse plus que les autres. En premier lieu « Les Alias et les Petrov pendant sept ans », car suivre l’intégration d’immigrants sur le long terme est rare et c’est cependant sur le long terme que l’on peut s’appercevoir si l’intégration est faite et réussie ou non. Par ailleurs il faut du temps pour se faire à un nouveau pays et à ses habitudes et puis essayer de créer un réseau social est un labeur de longue haleine. Alors j’attends de voir comment se sont intégrés ces deux familles.
Et puis dans le registre de la détente je regarderais le gala de l’adisc où les coups de gueules de Guy A Lepage me manqueront sûrement car messieur Rivard est certainement quelque avec plus de retenu mais on espère qu’il offrira quand une soirée qui ne sera pas plate!
Cette année, il y a des élections dans presque toutes les villes du Québec exceptée la deuxième plus importante ville: Laval. Encore une fois, le maire Vaillancourt sera nommé faute d’opposition. Infoman a fait un très interessant reportage sur ce sujet vendredi passé. Pourquoi n’y a t’il personne d’un temps soit peu crédible qui se présente contre lui? La direction de la deuxième ville n’intéresse personne? Au pire, tant qu’a aller perdre contre le maire Tremblay, M. Bourque n’aurait pas intérèt a s’essayer à Laval. C’est moins prestigieux mais la réussite est quasi-certaine. Après 16 ans de règne n’importe qui le battrait. Es-ce que le salaire de maire de Laval est si ridicule? J’aimerais bien voter contre n’importe qui d’autre, mais la plus « sérieuse » candidate est une éudiante de 18 ans qui espère recevoir un cours sur comment être maire advenant une victoire. C’est quoi le problème? Pourquoi ca se bouscule à Québec et à Longueil mais que personne ne veut de Laval? Stéphane Gendron n’est pas tanné d’être à Huntington? Je prendrais n’importe qui pour avoir un semblant de démocracie à Laval.
Pas particulièrement emballant ce programme que nous présente cette semaine Steve Proulx… Peut-être que l’engourdissement qui vient progressivement s’installer avant que l’hiver nous congèle pour de longs mois fait déjà son oeuvre à la télé. Mais, pour si peu varié que soit le menu proposé, j’y décèle un point commun – certainement involontaire – qui transparaît: l’urgence qu’il y a à se secouer.
Ainsi, il sera question de deux familles d’immigrants venues prendre une place parmi nous. Des gens devenus nos concitoyens et, on dirait bien, notre relève… Il faut accueillir sans pour autant laisser aller l’avenir. Vite, on se met debout! Si ça peut vous consoler un brin, le cas d’Haïti viendra illustrer qu’il y a autrement plus déconnecté que nous, une situation encore plus urgente que le mot « urgent » ne parvient à exprimer.
Et puis, on nous envoie à la figure deux cirques, deux autres dossiers où un vigoureux passage à l’aspirateur commercial ne saurait nuire: les élections municipales et le défilé des « vedettes » locales. Dans le premier cas, cela ne nous intéresse pas, semble-t-il, et dans le deuxième, cela n’est pas très intéressant. Gros manque de pertinence pour l’un et pour l’autre, alors qu’il devrait être évident qu’il y a urgence à mettre les pendules à l’heure au plus tôt, à commencer par samedi soir notamment… Ne pensez-vous pas?
Premier gala de la rentrée c’est celui des Félix, l’ADISQ distribue les récompenses de la musique, Guy A. Lepage sera devant sa télé, pas dedans, c’est réconfortant de retrouver Michel Rivard à l’animation de ce gala. Malgré ma réticence aux gradués de Star Académie, certains sont en nomination et vont gagner, plus par l’amitié spontanée des spectateurs-acheteurs que par le talent à long terme, un présent réel et un futur éphémère, l’avenir le dira. Notre industrie est bien locale, à part Céline, Ginette et Roch, bien peu de nos artistes québécois sont connus dans le reste du Canada. Cette année c’est au tour de Pierre Lapointe de se lever plusieurs fois et d’accumuler les statuettes sur sa tablette. En ce 30 octobre « Tout le monde en chante » au lieu de tout le mode en parle, ce sera en fait un beau spectacle de chansons où chacun pourra constater s’il a fait un bon choix dans l’achat de ses disques au cour de la dernière année et l’occasion sera idéale pour se laisser séduire et d’aller entendre en salle ses artistes préférés.
Voilà le gala de l’ADISQ ce gala qui me permet de confronter ma perception de qui devraient être lauréats avec les véritables choix. Cette année, en partie sinon en tout, le gala « hors d’onde » a été diffusé sur ArTV. Bravo, à la relève qui y a récolté la majorité des félix. Personnellement j’aime bien Guy A Lepage ainsi que Michel Rivard, mais avoir à choisir je préfère Guy A Lepage qui respecte moins les obligations et censure. Je nous souhaite un bon gala avec de bonnes prestations.
Les haïtiens, comme bien d’autres peuples, on la vie dure. Pour eux, le simple fait d’avoir une toit sur la tête, de quoi nourrir les siens et de l’amour, les reste importe peut. Ils ont une grande foi en l’avenir et ils savent qu’ils vont s’en sortir. Ce n’est jamais facile de regarder un reportage qui nous montre les misères du monde. Pâr contre, lorsqu’on voit comment ils vivent et qu’ils réussissent à être heureux, ça nous recentre sur les vraies valeurs. Zone Libreà le chic pour nous remettre dans la réalité. Les reportages qui y sont présentés sont tout aussi intéressants les uns que les autres. Alors, soyons au rendez-vous afin de vivre ces moments instructifs et de réalité.
Je suis très content que Lepage ne soit pas animateur pour le Gala de l’Adisq cette
année. Enfin ce gala sera axé sur les artistes et l’animateur choisi Michel Rivard
ne cherchera pas a voler le show , d’attirer tout l’auditoire sur sa super performance.
Rivard est très professionnel et fait partie de la famille des auteurs-compositeurs du
Québec plutôt que des p’tits comiques de la famille des humoristes qui eux ont leur
Gala.
En ce qui a trait aux élections municipales, les gens ont l’impression que les élus
municipaux n’ont pas le pouvoir de changer autres choses que le ramassage des
ordures et de la neige et les nids de poules car l’argent vient de Québec et Ottawa.
Et parfois c’est totalement vrai , mais il faut quand même des » gestionnaires »
dans les villes. Alors allons voter !!!
J’ai travaillé dans une commission de revision électorale municipale dernièrement et j’ai été surpris du nombre d’immigrants qui sont venus se faire inscrire sur la liste électorale .
Tout cela pour dire qu’il y a deux émissions intéressantes qui porteront sur ce sujet . Premièrement comment un immigrant peut il s’intégrer dans une grande ville qui n’est pas Montréal ? Je remarque que nous sommes souvent prêt à faire des concessions pour ne pas déplaire à celui ou celle qui n’est pas ‘ un québécois pure laine ‘ et que cette personne aura plutôt tendance à s’enfermer dans un ghetto où elle pourra souvent continuer à vivre ses coutumes et sa langue comme dans le pays d’origine .
Mais dans un plus petite ville où le terme de minorité visible ou audible prend tout son sens , il est certain que l’immigrant doit s’intégrer et vite à part çà , car le gars du dépanneur à Jonquière ne parle pas farsi ou tagalog .
D’un autre coté les élections municipales . Pourquoi si peu d’intérets ? Pourtant votre échevin demeure près de chez vous , il ne siège pas à Ottawa et prend des décisions qui ne concernent pas l’achet de sous-marins usagés mais qui ont des répercussions sur les heures d’ouverture de la patinoire ou sur l’enlèvement de votre sac à vidanges . Espérons que le documentaire présenté à Télé-Québec incitera les gens à aller voter le six novembre , car n’oublions pas que les immigrants ont eu compris que c’est important de voter surtout quand tu habitais un pays totalitaire .
Quand vient le temps des élections, cette espèce que l’on nomme courramment la « Maface surinpoteau » se met à pousser un peu partout, comme de la mauvaise herbe. Caractérisée par sa constante « grosse face » et son « slogan poche », on ne peut passer à côté (ou plutôt, on ne fait que ça..).
Et donc une question se soulève: Pourquoi? Quel est le but de cette publicité envahissante? Un peu comme la publicité « physique » (dans les salles de bain, sur les panneaux, sur les abris-bus, etc.), le but semble davatange de marquer l’attention, d’inscrire (voire même d’estamper) au fond de nos connaissances ces jolis visages, que l’on arrive ensuite facilement à associer à leurs noms respectifs.
Pas de débats, pas d’idées, pas de réelles connaissances. Que de l’image, de l’esthétique, du persuasif. Bref, que de la merde. N’hésitons plus, devenons, en cette période électorale, du pesticide…
Wow, quel changement dans l’horaire pour la société de Radio-Canada de ne pas diffuser son meilleur talk show du dimanche.
D’accord présenter l’ADISQ est très important mais ils aurait pu soit le mettre plus de bonne heure ou une autre journée comme le Samedi et je suis sûr qu’il y aurais eu beaucoup de personne qui aurais aimé voir ce gala une autre journée.
Pourquoi toujours mettre le Dimanche soir on n’a jamais pensé à une autre journée…
J’ignore si le volume du sonotone de l’auteur de ce texte était assez élevé, mais je n’ai vraiment pas entendu de trémolo dans la voix de Lepage, dimanche dernier…
On peut s’attendre à un gala sans saveur, sans Guy A… Michel Rivard est un excellent chanteur, et un formidable musicien, mais assurément pas un animateur talentueux. C’est sans doute la raison pour laquelle on ne lui avait demandé qu’une seule fois d’animer ce gala, sans retour l’année suivante. Cette histoire, avec le trophée de Richard Desjardins, l’an dernier, c’était vraiment monter un truc sans importance en épingle.
Résultat: on perd un animateur drôle et piquant au profit d’un qui ne fâchera pas personne, mais qui sera sans goût…
Mon Dieu qu’on n’a pas grand chose à faire dans la vie au Québec si on continue de parler de Guy A. Lepage et de sa réaction à l’absence de Richard Desjardins. Encore une fois, les médias nous bombardent tellement avec la même nouvelle insignifiante qu’on en oublie la raison du gala de l’ADISQ: la célébration de la musique. Avec toute l’emphase portée sur le lancer du Félix, on en oublie les gagnants de l’année précédente. Au lieu de célébrer et de nous remémorer les bonnes nouvelles de l’année passée, on préfère se répéter et nous donner un semblant de nouvelle.
L’éclat de Lepage a à tout le moins mis du piquant dans la soirée car si on s’en tient à ce que l' »autre gala » nous a montré lundi dernier sur les ondes de ArtTV, y a pas grand chose qui va bouger et qui va froisser les petites sensibilités. Est-ce qu’on ne peut pas nous offrir autre chose que ces semblants de dialogues entre présentateurs? Les deux présentateurs de lundi dernier avait l’air aussi candide qu’une candidate sur Le Bachelor qui dit se rendre sur le plateau pour trouver l’amour et non pour espérer fort fort fort qu’un producteur va la trouver cute pis l’inviter à faire de la figuration sur Virginie. Si on veut nous faire croire à du spontané, qu’on permette aux animateurs de l’être. Sinon, qu’on assume que les textes ont été préparés à l’avance pis que les gens les livrent comme tel. Il n’y a rien pour créer un bon malaise que deux animateurs qui font semblant de se surprendre par une réplique alors que l’autre ne fait que l’attendre pour pouvoir livrer la sienne.
l’ADISQ comme d’autres galas, selon moi,fête plus le mercantilisme musical qu’autre chose…mais fait d’avouer, que c’est aussi,un accomplissement…moi à a place des nominés et gagnants ?..Si je faisais partie de ceux qui ont contribué (autant musicalement que monétairement ?) OUI ! j’accepterais la nomination ou le trophée,avec plaisir,même si je penserais toujours ce que j’ai cité plus haut…après tout,une nomination ou un Félix,je reconnais que ça paraît bien sur un C.V !..Paradoxal de ma part non ?..
Dans notre société où les apparences sont plus importantes que la réalité… Un «lancer du Félix» crée beaucoup plus de remous que le dernier lancer de l’histoire des Expos de Montréal…
Pas de lancer cette année… non… le gala sera propre, propre, propre presque aseptisé !
LES ÉLIAS ET LES PÉTROV… ont repris contrôle de leurs vies à Sherbrooke. Bien heureux pour eux, je suis favorable à ce que le Québec soit une belle terre d’accueil.
Mais que nous baissions définitivement et pour toujours les bras en matière de natalité au Québec, que l’immigration soit la principale solution miracle, ben ça me laisse perplexe !!!
Comment les immigrants s’intègrent-ils à la société ? Sûrement pas de la même manière à Québec, Sherbrooke et Rimouski qu’à Gatineau et Montréal !!! C’est pas un préjugé c’est la réalité !!!
Autre question, pourquoi mettre l’accent encore et encore sur «l’argent et le vote ethnique»… Pourquoi ? Si on veut que qulqu’un vote oui au référendum, il faut lui expliquer correctement en quoi sa sécurité et son avenir seront en sécurité dans un Québec Souverain… Et c’est vrai autant pour un immigrant nouvellement arrivé parmis nous, que pour une partie des gens qui ont voté non lors des deux derniers référendum sur la question de l’indépendance !!!
Aussi, si on veut que les jeunes s’intéressent un peu à la politique, comment expliquer qu’un jeune peut conduire une voiture mais ne peut pas voter !!!
Haïti, un toit, des enfants, une existence normale… Ah tiens je suis né au Québec et ayant été quelques années sans domicile fixe, c’était mon rêve à moi aussi : un toit, des enfants, une existence normale… Mais moi j’étais au Québec et j’avais mes chances !!!
Télé-Québec ? On accepte que la télé communautaire, CANAL VOX, soit moins communautaire grâce à Vidéotron mais on accepte pas la privatisation de Télé-Québec ???
On accepte que Les Canadiens ne soient plus à Radio-Canada le samedi et uniquement sur le câble, à RDS…
Premièrement. en avons-nous une immigration ? Parce que j’entends, depuis longtemps, que c’est ailleurs au Canada qu’on semble mieux que nous amener les immigrants malgré notre propre politique d’immigration. Le facteur monétaire semble compter pour beaucoup. Mais au-dela de ceci, il demeure que l’immigrant immigre d’abord au Canada. Au Canada pour son prestige dans le monde, aussi pour sa sécurité. Que sommes-nous a ce chapitre ? Que sommes-nous à nos propres yeux ? Et je pense que le manifeste, du groupe québécois de gens pour la plupart connus, présente assez bien la question sur ce sujet. Nous avons l’obligation de la lucidité… un mot que j’aime bien malgré les critiques à ce propos.
Comment pourrais-je m’intéresser aux élections municipales: j’habite Laval.
La présence de monsieur Blatter sur la pelouse de la mairie a su nous distraire tout l’été, mais cette saga (passée complêtement inaperçue dans les médias) étant bel et bien terminée, que retenir? Qu’il n’y a aucune opposition à Laval. Nous aurons bientôt le métro, mais la perspective d’une démocratie est encore loin.
Bienheureux soit le maire Vaillancourt…
Ceci dit, il se passe des choses intéressantes dans le reste de la province! Je ne raterai pas cette émission, un peu d’espoir ne fait pas de tort…
Malgré tout, Zone libre survit. Et c’est presque inquiétant. Avec la qualité de programmation que Zone libre nous offre avec les peu de moyens qu’ils ont, est-ce que l’émission deviendra un exemple dans la réingénérie de la société d’État? Servira-t-elle d’exemple quand viendra le temps de couper à nouveau dans les émissions d’informations et de service public (en reste-t-il d’autre?) Il faut applaudir le travail de l’équipe de Zone libre, mais sans oublier qu’elle pourrait faire mieux avec plus. Il faut continuer de réclamer que Radio-Canada investisse dans ce type de programmation plutôt que dans l’accumulation de mièvreries que je n’ai pas besoin de nommer.
Bien que je ne déteste pas Guy A., mettons que je ne m’ennuierai pas du bitchage habituel qui prévaut souvent à ce gala. Gageons que l’humour sera un peu plus fin et aussi un peu plus fin au gala de l’ADISQ de cette année. Le grand Michel Rivard à toutes les qualités pour se retrouver à l’animation du gala, dont un sens de l’humour qui aurait pu lui valoir une carrière d’humoriste. Ce sera bon de le voir au commande de cet événement, un grand parmi les siens.
Voyons voir si le public choisira les ex académiciens en nomination ou ceux en devenir. Le combat de ceux qui travaillent pour leur survie d’artiste et les nouveaux qui sont propulsé dans un carosse « d’argent » en attendant que le dit carosse perde quelques roues….
Moi ce que j’ai de la misère a comprendre c’est que nous vivons dans un pays démocratique et que nos ancêtre se sont battus pour avoir un droit de vote et maintenant les gens n’utilise pas ce droit c’est quand même le monde à l’envers… C’est un droit que nous avons puisque nous vivons dans un pays démocratique alors ALLONS VOTÉ.. Dans certain pays les gens n’ont pas ce pouvoir alors au lieu de chialer sur ce qu’il ont fait ou pas les politiciens et bien voter pour celui que vous penser qui fera une bonne job et ne vous plaigner pas …. Faite votre devoir de citoyen…
A Laval il n’y a pas d’opposition; seulement quelque dandidats indépendants.
Pourtant, avec une dette de plus de 700 000 000 $, qui n’a pas dimunuée dans les 7
dernières années, de quelque dollars seulement, devrais inciter les contribuables à voter massivement et en particulier pour les 4 frères; Louis,Robert,Alain,et François BORDELEAU.
Conseillers indépendants.
Mince consolation! Il n’y a pas de pollution visuelle avec d’affreuses et beaucoup trop
nombreuses pancartes, comme on en voit à Montréal.
Alors! Quoi faire ?
Il faut qand même aller voter massivement pour une ville aux » BORDELEAU »
Vive la démocratie!
P.S. Il faut aussi voter pour cette réaction.
Je ne veux pas faire la chialeuse, mais je préfère que ce soit un artiste de la chanson qui anime le gala. Je suis contente du choix de l’ADISQ. Je suis certaine que Michel Rivard fera un travail exceptionnel. Il a une belle présentation et un talent pour la comédie.
J’aime bien regarder les galas, surtout celui de l’ADISQ. Il est essentiel de féliciter le travail de nos chanteurs et chanteuses, parce que selon moi, c’est un métier des plus difficiles. Surtout depuis le commencement du piratage. Les temps sont de plus en plus dur pour nos artistes.
Bon gala tout le monde !
Cette année nous aurons droit à un autre gala de l’ADISQ bien évidement, le 27ème pour être exact. Encore une autre année de pareil au même, disons presque ennuyeux dans le domaine musical. Par contre, j’ai été content d’apprendre que Michel Rivard (Beau Dommage) sera l’animateur de ce gala. Il faut dire que même si ce n’est pas de mon temps, j’adore cet artiste en tant qu’homme mais également en tant que compositeur et interprète, il est génial sous tout point de vue. J’aurais bien plus d’intérêt à la musique québécoise si il y avait plus d’artiste comme nous avions auparavant.
Michel Rivard au Gala? Il est à sa place. C’est comme un éléphant en Afrique ou un phoque en Alaska. Un compositeur de chanson qui anime un Gala récompensant les artistes de la chanson, quoi de plus normal. J’aime bien Guy A. Lepage, mais sa place n’est pas vraiment au Gala. C’est comme demander à Jojo Savard d’animer le festival juste pour rire (quoique ça pourrait être drôle). Et Guy A. qui a tenté d’inventer une nouvelle discipline olympique avec le « lancer du trophée ». Je tente d’analyser le pourquoi de ce geste et je n’arrive pas à comprendre. Comme si l’absence d’un nominé lui enlevait quelque chose personellement. Au fond, il s’en fout royalement. En fait, je comprend bien, finalement. Monsieur Guy A. « Sensationnalisme » Lepage sait que pour rester sur la map, il faut faire jaser le peuple. Michel Rivard n’est pas de cette trempe. Il fait chanter le peuple. Voilà donc les raisons pour lesquelles je suis d’avis que Michel fait partie de ceux qui sont en mesure de remplir les exigences normales de la fonction d’animateur au Gala de l’ADISQ.
Cette situation me fait plutôt rire. En fait, Michel Rivard ne porte pas non plus Richard Desjardins dans son coeur, car il dit dans l’une de ses chansons, je n’arrive malheureusement pas à trouver les paroles exactes, mais c’est quelque chose comme j’aime mieux rien faire que d’écouter les records de Michel Rivard. Monsieur Rivard en a même déjà parlé dans l’une de ses entrevues télévisées.
Je ne pense pas que cela arrivera à cause de la gêne de Rivard, mais je trouverais assez drôle qu’il fasse un retour sur les événements de l’année dernière en dénigrant subtilement Desjardins, je trouve qu’il le mérite ; s’il ne voulait pas son trophée parce qu’il n’aime pas l’idée de l’ADISQ il mérite bien de se faire rire de lui un point et c’est tout.
Bon un peu drastique comme opinion, mais je me laisse aller pour une fois !
Oui, jai comme l’impression que ça va zapper pas à peu près dimanche soir entre le Gala de l’ADISQ à Radio Canada et la finale des gars à Star Académie sur TVA.
Les vidéos vont se faire aller si on ne veut rien manquer, tout est possible dans un cas comme dans l’autre.
Mais n’oubliez pas qu’il y a un grand artiste invité à Star AC. Dennis de Young de Styx, ça risque d’être mémorable.
En fin de compte, pas de regret du tout pour le retrait ( malheureusement temporaire) de Tout le monde en parle, il y a toujours autre chose à écouter que ce gâchis-lâ.
Premièrement, cette émisson sur LES ÉLIAS ET LES PÉTROV… PENDANT SEPT ANS me semble bien intéressante. J’ai bien hâte de voir comment on traite nos immigrants. Sommes-nous généreux, respectueux, accueillant, avenant envers eux. J’espère que oui. Il y a tellement de négatif autour de nous, j’espère que ce documentaire nous donne de l’espoir d’être finalement de bonnes personnes.
Ensuite, pour ce qui est du gala de L’ADISQ, pourquoi est-il présenté à la place de Tout le monde en parle ? Je comprends l’an passé, puisque c’était le même animateur, mais là, pourquoi ne pas présenter ce gala à un autre moment donné. J’ai envie de voir des gens discuter de sujets d’actualité, pas de voir du monde remercier Dieu et pleins de gens inconnus pour un prix qu’ils reçoivent. Pourquoi ne pas présenter cela, le lundi soir, ou un autre soir. Pas toujours le dimanche. C’est plate en titi de manquer notre émisson favorite.
Que Guy A. Lepage se console! Même s’il n’aura pas droit à son émission habituelle du dimanche soir, je ne crois pas me tromper en disant que tout le monde parlera du Gala de l’ADISQ le lendemain. Tout comme on le fait aux USA, à Londres ou à Paris pour le même genre de gala, c’est l’occasion de faire parader sur le traditionnel tapis rouge tout le gratin artistique que compte le Québec. C’est souvent aussi, direct oblige, la chance de croquer sur le vif quelques scènes ou discours plus percutants que d’autres. C’est finalement, l’occasion de vérifier si nos connaissances artistiques sont fiables, à savoir quelles sont les vedettes de l’heure et les futurs talents… de quoi permettre de faire de meilleurs choix aux enchères de « Voir »!
Tant mieux ! Finalement dimanche sera une soirée consacrée à l’étude ! Vu le manque de bonne émission au petit écran, et tant qu’à encourager les émissions américaines, il vaut mieux se consacrer à ses études ! Consolez-vous tout le monde Guy A. s’est mértié un petit congé, rien de plus et il le mérite avec toute la contreverse de l’émission avec le «doc» (si on peut l’appeler ainsi…) Mailloux. Pour moi un gag c’est les résultats qui comptent, c’est un autre type de reality show ça, reagrder les artistes brailler devant 1 000 000 de téléspectateurs avides de potins. Pour savoir si votre artiste préféré a remporter son petit doré, il y a la presse qui donnera toute cette liste, sans pub, sans chialage et sans attente ! Malgré tout, passez une bonne soirée, moi j’étudierai…
Je ne sais pas si vous pensez comme moi, mais j’ai trouvé le dernier gala de l’ADISQ assez ennuyant merci. Au niveau de l’animation, on ne peut pas dire que Michel Rivard a cassé la baraque. Plusieurs de ses blagues ont malheureusement tombées à plat et la confiance ne semblait pas l’habiter. Il faut quand même admettre que la barre était haute pour l’ex-Beau dommage qui tentait de prendre la relève à Guy A. Lepage.
Outre cet énorme défaut qu’était michel Rivard, notons quand même certaines réussites. Il y a premièrement eu le discours de Loco Locass qui était tout simplement incroyable, mais également la flèche lancée aux radios commerciales par Pierre Lapointe. Ce furent en effet les deux moments forts du gala. Malheureusement, ce ne fut pas suffisant afin de sauver cette 27e soirée de la musique québécoise. Dommage.
Des émissions de divertissement, il faut bien qu’il y en ait, personne ne le conteste. Mais quand le divertissement conteste la place de l’information dans la grille-horaire et que l’information doit céder la place devant toute nouvelle avancée du divertissement, on est en droit de ne pas trouver la chose divertissante. Non seulement les émissions d’information doivent elles céder les meilleures plages-horaires à leurs concurrents du divertissement, mais même les émissions de divertissement qui ont quand même un contenu informationnel intelligent doivent elles aussi reculer devant les sirènes du divertissement. Heureusement que dans ce paysage médiatique de plus en plus superficiel, il reste encore de la place parfois pour de l’information de qualité. Pour avoir vu le beau documentaire sur Haïti, je me console un peu de cet envahissement du divertissement qui a l’air de nous considérer comme des enfants attardés du point de vue de l’âge mental qu’il nous prête. Comment est-il possible, après avoir vu le document de Zone libre, de penser aux problèmes du tiers-monde, ou plus précisément à ceux du quart-monde, de la manière dont ils sonts habituellement présentés dans les medias. Heureusement qu’il y a aussi des émissions de divertissement qui doublent certaines émissions dites d’information sur leur gauche, telle celle de cet Infoman qui nous a montré à quel point des personnalités politiques ont des idées pour le moins discutables de leur fonction et de la polpulation qu’elles sont censées représenter. Qui osera, en comparant le contenu de ces deux émissions au sujet d’Haïti, prétendre que la nomination d’une Haïtienne au poste de gouverneur général est un début de solution pour ce pays. Il y a des images qui valent décidément des milliers de mots.
Ce qu’il en compte des erreurs de parcours, notre pauvre Gala après toutes ces années ! Félix doit sûrement s’être déjà retourné dans sa tombe. Enfin ! Nous avons eu droit à Guy A. Lepage qui nous a fait tout un show en se comportant comme un pauvre imbécile par ses critiques désobligeantes envers un « tout autant que lui », tout simplement parce que monsieur Desjardins brillait par son absence. Nous avons eu droit à la remise d’un Félix à Isabelle Boulay, découverte de l’année alors qu’elle était en sabbatique. Nous avons eu droit également à la visite de Diane Tell, il y a quelques années, laquelle nous a fait part comme elle s’adaptait bien à sa nouvelle terre d’adoption, en plus de renier ses racines québécoises en nous parlant avec son accent chiant et pointu et ce, en plein Gala de l’ADISQuébécois. Nous avons également eu droit à Luc Plamondon qui en a profité pour critiquer la régie des droits d’auteur au Québec et avec raison. Bravo Luc ! Et sans compter les artistes qui détestent ce genre de « glamour » à l’Américaine, comme Marc Labrèche qui, sans la moindre gêne, a clamé en pleine TV qu’il avait horreur de ce genre de rencontre de JetSet ! Diane Dufresne qui n’a plus besoin de ce genre de parade pour se faire reconnaître et plusieurs autres. Mais je me demande si on avait approché Michel Rivard du temps qu’il était avec « Beau Dommage », quelle aurait été sa réponse ? Car le vedettariat est une dépendance aussi dommageable que l’alcool ou les drogues et qui s’aggrave d’année en année. Maladie grave et progressive dépendamment de la valeur de notre cachet. Peut-être pire, qui sait ?
Bref, j’ose espérer que Michel Rivard n’oubliera pas qu’il a commencé « petit » et en groupe car depuis qu’il vole de ses propres ailes, il semble parfois voler trop haut ! Ah ! Le vedettariat, la vie de star. j’aurais voulu être un artiste, pour pouvoir faire mon numéro ! J’aurais voulu être un auteur, pour pouvoir inventer ma vie ! J’aurais voulu être un chanteur …
J’ai écouté le fameux gala de l’ADISQ dimanche soir (comme probablement beaucoup de gens) et j’ai été très déçue… Oui, peut-être que Guy A. Lepage est baveux, qu’il est même un peu fendant à la limite… mais au moins il est intéressant! Le gala animé par Michel Rivard ne m’a pas impressionnée du tout.. Les numéros de chant étaient tout à fait fantastiques! Mais ses animations… on a déjà vu mieux. C’était long et pas très drôle à mon avis… vivement le retour de Guy A…
et oui, on zap entre le gala de l’ADISQ et Star Académie 2005, mais il ne faut pas oublier que les 2 émissions étaient excellentes et surtout la qualité des 2 spectacles étaient à couper le souffle (pour des émissions québécoises) mais il ne faut surtout pas oublier qu’on aime ou on n’aime pas, tout dépend de tous et chacun. On aime ou on aime pas certains chanteurs, mais c’est avec la diversité qu’on construit le monde. On peut dire , en tout cas, qu’on en avait plein la vue…
Bien beau vouloir récompenser publiquement les artistes, mais quand on regarde quel a été le prix de l’album de l’année catégorie jazz décerné par l’Adisq, on peut dire que ce flafla est une véritable joke.
Le Martini pour Noël de Frédérick de Grandpré, comédien-chanteur est l’album de l’année?! Des chansons de Nowell pour les matantes, avec un peu de shoubidou pour garnir.
C’est une outrance au monde de la musique, au jazz. Qui sont ces gens qui font partie du jury? Ils ne savent carrément pas ce qu’est le jazz, en tout cas.
Cette année a été une année EXCEPTIONNELLE côté production de disques de jazz. C’est une amatrice de musique à l’affût des nouveautés musicales qui parle. Le monde du jazz montréalais n’a pas fini de se faire massacrer. Je me console toutefois des prix bien mérités de Pierre Lapointe.
Et voila, le gala de l’adisq est passé et qu’est-ce qu’on en retient cette année? Que la plupart des prix sont encore une fois remis à des minettes qui ont un bon agent. Fete de la chanson mon oeil, il s’agit plutot de la fête des dollars. Les plus beaux habits, qui en a gagné le plus, qui est la fille qui a le plus jouer à rock detente cette année.
C’est lamentable. Je préfère une émission ou les vrais artistes sont récompensé. La première année de Star académie l’Adisq avait boudé la fameuse émission de téléréalité. ensuite TVA avait protesté. Alors l’adisq remet depuis deux ans des prix au minette de star académie.
Je suis tanné de cette fete de gros sous. Ou est la musique. Il en a que pur lM’aniomaeur qui lance ou non des trophés. Il n’y en a que pour la robe décolleté de la fille avec des gros seins.
Les vrai groupe ion les ignores. La vrai musique elle est ignoré. Elle ne se produit pas au st-denis et ne passe pas à star académie le dimanche pour faire moussé les ventes de son album. La vrai musique elle est plus souvent dans les tripes d’un jeune qui joue de la guitare dans son sous-sol que dans la production ultra financé de Marie-Chantal Toupin.
Le sujet du film sur les immigrants est tout a fait intéressant! Il va s’en dire, au Québec le taux de naissance est très bas. Résultat, beaucoup d’immigrants peuvent trouver une place ici pour vivre. Mais comment s’intégrent-ils vraiment à notre société? Nous n’en savons presque rien et ils font partis d’une réalité bien ancrée au Québec. Comment faire pour s’intégrer dans un pays dont on ne maîtrise pas la langue, un pays qui a déja ses propres coutumes, etc. Je pense que c’est tout a fait fascinant, et j’adore le sujet de ce film très intéligent.
Le deuxième film, Quand la vie est un rêve est tout aussi captivant. Tout le monde sait que ca ne va pas bien en Haiti, mais les médias nous offrent souvent peut d’explications. Lorsqu’il vient le temps d’aider ses pauvres gens, souvent on n’hésite puisqu’on ne sait presque rien des enjeux de ce peuple. C’est alors un bon film qui nous offre beaucoup plus qu’un divertissement, il offre de l’information.
J’ai écouté comme surement beaucoup d’entre vous le gala de l’ADISQ cette année. J’ai été surprise par la variété de style qu’on peut retrouver au Québec. J’ai bien aimé le gala en général, surtout l’animation avec Michel Rivard. L’évènement le plus marquant est sûrement la figure barbouillé d’Isabelle Boulay, cela m’a bien fait rire!